Vous écrivez :

J’analysais le vocabulaire politique du « nouveau monde »… En résumé, pour ceux qui s’y intéresseront, « une vaste escroquerie sémantique où l’on utilise des termes à tort et à travers, de manière approximative, en allant même jusqu’à leur donner une signification radicalement opposée à leur sens premier et pourtant évident !!! Cette manipulation sémantique est telle, qu’on va jusqu’à faire dire à un mot son exact contraire » 

Le pire n’est pas ça, mais que cela fonctionne, et que les « gens » gobent tout, comme si il existait une sorte « d’abêtissement » généralisé voulu ou pas, mais c’est un autre sujet.

Devant le flot invasif d’informations en tout genre, peu écoute, beaucoup entende. Même chez nos politiques de tous bords, je prend pour exemple l’intervention de notre Ministre de la Santé à l’Assemblée Nationale déclinant des chiffres à propos du C19. Un simple calcul mental faisant ressortir l’irrationalité de ces derniers.

Qui y a t-il eu en face ? Mêmes dans les opposants les plus virulents ? Ces « élites » dirigeantes ou voulant ardemment l’être.

RIEN....

Peut importe la signification exacte des mots, du moment qu’ils chantent aux oreilles de ceux qui les écoutent, qu’ils aient une action sur les « esprits ». Ca fonctionne très bien.

C’est vrai qu’il fut un temps ou les discours prononcés par de grands orateurs étaient plus « travaillés » si je puis dire, la « populasse » ne comprenant pas tout, mais se pâmant devant le « savoir » de l’orateur....

Pourquoi s’embêter aujourd’hui ? avec des discours « travaillés/réfléchis », il suffit d’y incorporer des mots « savants » l’orateur et le public ne les comprenant vraiment pas de toute façon, mais cela fait bien, renforçant l’image de ’l’élite cultivée« qui les prononces.

Tout comme aujourd’hui dans les »médias" pratiquant à outrance l’exagération tonique des premières syllabes pour mieux marteler certains esprits... Pour qui écoute c’est d’un pénible.