... le modèle economico social sud américain n’a rien avoir avec le modèle europeano américain.

Vous ne pouvez pas faire de comparaisons directes alors que ces pays ont une double société à l’interieur de chaque pays...

— une conforme a nos standards mais extrèmement dure car il n’y a pas les correctifs legaux ...

— et une beaucoup plus humaine mais où ne s’applique pas les standards économiques sauf pour acceder à la mixité de ces doubles espaces.

Il faut savoir que les pays que vous citez la « deuxieme » société n’a pas acces au systeme bancaire, est payée à la tache en liquide, il n’y a aucune obligation de pârticiper a une quelconque couverture sociale donc cela empeche tout controle autre que répressif par les autorités.

L’amenagement du territoire n’existe pas non plus car l’administration de ces pays ne sert qu’a la premiere société pour garantir son fonctionnement en empechant l’application des droits garantis pour les uns et pas pou les autres. c’est pour cela qu’il existe, par exemple, des « favelas ».

Le virus n’a pas fragilisé la societe pseudo puissante parce qu’elle a des liens avec les grands pays du monde, donc elle nous parait lisse et transparente et elle attend le vaccins et la reouverture des frontières.

Le vrius est une catastrophe sans bruit pour la societe pauvre, des hommes et des femmes qui sont morts, sans soins, dont une grande majorité a echappé aux souffrances grace a la chloroquine (eh, oui... ça marche la-bas, mais comme vous le savez cela ne marche pas en France). La manne financière apportée par leur travail issu des « riches des beaux quartiers » s’est arreté brutalement et cela a induit une nouvelle econnomie des pauvres entre eux qui est tres resiliente parce que strictement survivaliste. Elle reprendra presque sans problème lorsque le systeme se reveillera, car rien ne changera

Reste le problème de l’Argentine qui paye le melange des genres, entre l’etat qui a cru appartenir au monde des riches et son peuple qui appartient au monde des pauvres. Je suis sûr qu’a la sortie, ils s’en sortiront mieux — comparativement— que d’autres