@vachefolle
Sauf que la mortalité générale, en France, a à peine progressé. Votre explication ne tient pas, sauf à considérer que les maladies les plus mortelles en France, jusque là, ont régressé !
Je vous rappelle l’étude de 2016 de deux chercheurs de l’INED qui précisait ceci, juste pour mettre les choses en perspective : la mortalité va augmenter jusqu’à 770.000 annuels en France à la suite du « baby boom ». La sur-mortalité constatée était donc « envisagée » déjà depuis 2016. Les explications covid19 ne tiennent donc pas l’analyse ! C’est ballot quand même ! Et nos politiciens le savaient par avance mieux que quiconque !
« En 2016 deux chercheurs de l’INED ont déterminé qu’à la suite du »baby boom« d’après guerre la mortalité française allait augmenter chaque année jusqu’en 2050, parce que cette génération est nombreuse et qu’elle atteint l’âge moyen du décès en France. L’augmentation de la mortalité de quelques dizaines de milliers était donc connue depuis plusieurs années des instances qui nous dirigent. Attribuer cette augmentation au SARS-COV2 est une supercherie, de la manipulation à des fins politiques inavouables.
Pour ceux qui voudraient vérifier cette information c’est ci-dessous !
les générations nombreuses nées pendant le baby-boom, entre 1946 et 1973, arrivent à leur tour aux âges élevés où l’on meurt, entraînant un effet inverse d’augmentation des décès annuels. Ce phénomène est déjà visible sous forme de « vague » sur la figure 2 et il va prendre plus d’ampleur dans les prochaines décennies, gonflant le nombre annuel de décès le temps que ces générations vieillissent puis dispa- raissent »…
« Les projections les plus récentes publiées par l’Insee annoncent toutes une hausse des décès jusqu’à près de 770 000 par an vers 2050 dans le scénario central [4]. Elles font pourtant l’hypothèse d’une poursuite de l’augmentation de l’espérance de vie qui gagne 7,6 ans entre 2007 et 2060 dans ce scénario, passant de 80,9 ans à 88,5 ans sexes confondus. Deux hypothèses haute et basse encadrent ce scénario central, avec des progrès de l’espérance de vie respectivement inférieurs et supérieurs de 2,5 ans à ceux du scénario central. Mais ces variantes ne modi ent en rien la tendance générale à la hausse impor- tante des décès, n’augmentant ou ne réduisant que de 30 000 les 770 000 décès annoncés par le scénario central pour 2060 ».