Il faudrait remettre les choses à leur place. Le péché à l’époque de la chrétienté primitive, orientale et de langue grecque était toujours considéré par les saints comme UNE BLESSURE qu’il fallait soigner, le Christ était la réponse, le MÉDECIN DES ÂMES. La charge légaliste de culpabilité n’était pas aussi importante qu’aujourd’hui et ne l’est d’ailleurs toujours pas en orient. (Augustin n’est pas un saint en orient catholique orthodoxe). L’homosexualité était alors vue comme UNE PASSION comme tant d’autres, pas extrêmement plus grave qu’une autre, d’ailleurs. Les gens s’adonnant aux passions ont TOUJOURS été accueillis par l’église, qui basait son institution (en orient, du moins) sur la pratique de l’amour du prochain. Par rapport à leurs passions et à leurs questionnement, étant donné que LE JUGEMENT D’AUTRUI étant strictement interdit, étant donné qu’il était toujours rappelé DE NE PAS JUGER LE PÉCHEUR MAIS LE PÉCHÉ, la personne qui était définitivement homosexuelle arrivait simplement à un équilibre mais JAMAIS il n’y avait de publicité de ces actes, bien au contraire. Fréquemment, dans l’orient chrétien, on entend l’analogie entre la personne qui est profondément violente et qui arrive à se contrôler et la personne qui est totalement homosexuelle. Personne ne peux le juger, lui-même peux trouver son équilibre avec l’aide de Dieu. Évidemment, l’homosexualité n’est pas une pratique violente (directement) et l’équilibre, parfois, du fidèle, sera d’être dans une telle relation malgré tout et personne ne pourra le juger.
À l’époque de l’origine de la chrétienté, jamais il n’aurait été imaginé d’imiter le couple, l’origine de la famille et des enfants en aillant deux personnes du même sexe unis de façon officielle. Le « mariage homosexuel » serait donc un non-sens dans l’antiquité tardive. Hors, tout “catholique” qui se respecte COMMUNIE (au moins théoriquement) d’une communion sacralisée avec l’esprit, les événements, la foi et les mœurs de cette époque. Il est donc normal d’y trouver un certain conservatisme. Les catholiques romains et les catholiques orthodoxes vous demanderons donc de respecter ce conservatisme qui fait partie de leur foi.