@Aristide

Pourquoi ne considérez vous pas que ce même genre d’étude pour l’hydroxychloroquine étaient valables ? Ces études de calculs mathématiques ne peuvent jamais apporter un preuve de causalité ! Jamais. Ces études ne sont en aucun cas des études scientifiques (de même pour l’hydroxychloroquine). 

Il existe, et les scientifiques le savent depuis environ 10 années, des circonstances dans lesquelles les virus respiratoires aérosols sont plus ou moins « agressifs ». 

Pour le SARS-COV2, ce n’est nullement l’injection expérimentale qui produira un quelconque effet. Faire des mises en perspective c’est comprendre que : 

1°) la mortalité par SARS-COV2 (et par pneumonie également) est corrélée au taux d’obésité du pays concerné (pour des raisons de faiblesse des vaisseaux sanguins dont l’endothélium et le glycocalyx sont dégradés)

2) la mortalité par SARS-COV2 (et par pneumonie également) est corrélée au taux d’humidité absolue du pays considéré

3°) la mortalité par SARS-COV2 (et par pneumonie également) est corrélée à la rapidité avec laquelle les soins aux malades seront apportés.

Pour les taux d’obésité, c’est ici :
https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-la-mortalite-largement-superieure-dans-les-pays-a-fort-taux-dobesite-30-03-2021-OPYKK5TLAFDIVOHFSU7AFJWFFM.php

Pour le taux d’humidité absolue de l’air c’est ici : 
http://www.sciencepublishinggroup.com/journal/paperinfo?journalid=275&doi=10.11648/j.bsi.20200503.12

https://carnotcycle.wordpress.com/2012/08/04/how-to-convert-relative-humidity-to-absolute-humidity/

S’il s’agit de tromper les gens en faisant semblant de ne pas prendre en compte les facteurs qui font que les personnes décèdent plus ou moins en nombre important en fonction de leur facteur de risque personnel (obésité) et des facteurs de risque extérieurs (humidité absolue) alors il faut faire comme vous faîtes : produire une étude qui ne tient pas compte de la réalité scientifique ! 

J’ai un dernier « détail » à apporter, que vous pourrez vérifier. Les pneumonies peuvent se soigner en utilisant les « fluoroquinones ». La preuve ici : 
https://www.infectiologie.com/UserFiles/File/medias/JNI/JNI08/Sympo/pac-bayer-sollet2008.pdf
et ici : 
https://academic.oup.com/cid/article/48/10/1361/421879

Et, le « détail » qui tue : d’où vient le principe actif des fluoroquinones qui soignent les pneumonies (qui soigne aussi donc les attaques du virus SARS-COV2) ?

L’acide nalidixique (acide 1-éthyl-1,4-dihydro-7-méthyl-4-oxo-1,8-naphtyridine-3-carboxylique) est un acide organique. C’est un antibiotique de la classe des quinolones.
Isolé en 1962 des eaux mères d’une préparation de chloroquine (agent antipaludéen) par Lesher.

C’est vrai que cette information est parue dans un site absolument complotiste j’ai nommé Wikipédia ! 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_nalidixique