@Yann Esteveny
Je ne vois pas en quoi le sujet a été repris correctement. Donnez moi un exemple de pass, certificat ou autre document qui sous une République française, a organisé un Arpatheid dans la vie quotidienne et un Apartheid fondé sur l’irrationnel dès lors que le vaccin, n’empêchant pas d’être contaminé et contaminant, et les test PCR n’étant pas fait pour identifier des malades, on organise des droits d’accès à certains lieux sur des bases farfelues. Par ailleurs, à supposer qu’une telle insulte aux droits ait pu exister dans le passé, en quoi cela empêche de critiquer et dénoncer le Pass actuel ?
Je ne cherche pas à tisser des relations et briser l’isolement pour se serrer les mains et boire un verre en rigolant face à l’horizon. Je crois qu’il est impératif de faire masse pour faire sens et pour influencer le pouvoir et ceux qui se laissent happer par l’hypnose des médias.
La violence doit être écartée car au final elle conduit à des horreurs et, dans les chaos, le plus fort l’emporte toujours et le plus fort n’est pas forcément le mieux attentionné.
Vous parlez « littérairement » d’une violence pour sortir de la léthargie mais quelle forme aura votre violence ? Par quel procédé agira-t-elle ?
Si vous croyez que mon seul soucis est de taper fraternellement sur l’épaule de mon voisin en échangeant une bise, vous avez des interprétations des textes qui ouvrent des perspectives infinies sur des sens cachés et enfouis.
Vous croyez que vous exercerez une influence en vous présentant seul à une terrasse de café ou dans un cinéma qui exigera le Pass pour le refuser et le dénoncer ? Je crains que vous preniez un coup de pied fraternel au cul sans que le pass soit perçu comme un outil de dictature. Si nous sommes 10, 20 ou 100 à venir en même temps et au même endroit pour refuser le vol de nos libertés par un Pass crétin, alors cette action aura du poids. Mais pour venir à 10, 50 ou 100 il faut s’organiser, se connaître, être en état de se contacter. Et je ne crois pas qu’en lisant dans les entrailles d’un poisson, on puisse se fédérer...