@Robin Guilloux,
certes, il s’agit là pour les élèves d’expliquer un texte et non de
donner leur propre opinion, mais il me semble que nous ne sommes pas,
ici, dans le cadre de l’examen et où donc il est tout à fait permis de
donner son opinion. On peut même dire que faire une explication de texte
est tout à fait inutile et absurde , puisque c’est l’objet de votre
article et où donc ne reste que la critique éventuelle pour les
commentaires !
juste une précision à mon commentaire précédent. A mon avis, le seul
fait social qui existe indépendamment de toute conscience individuelle,
c’est qu’une société ne peut pas exister sans règles, lois communes, que
ce soit de manière informelle ou formelle, car c’est la condition
d’existence de toute société. La morale, la culture, la philosophie ou
encore la religion n’ayant alors pour but que de justifier les règles.
lois régissant la vie en communauté. De motiver les graduations des
sanctions en cas de déviance ou non observation des règles et par voie
de conséquence, motiver les récompenses et les honneurs.
Par généralisation, la seule chose qui existe indépendamment de toute
conscience individuelle, c’est la causalité, qui définit les moyens par
lesquels l’être peut atteindre le but ou finalité qui donne sens à son
existence. La fin ne justifie pas les moyens, elle les nécessites. Mais
le contenu de la loi, morale, etc, sont le seul fait d’une conscience
individuelle (souvent résultat d’un débat avec d’autres) prise comme
norme collective.
Une norme sociale est d’abord subjective et ne prend une forme objective, qu’une fois établie comme norme collective. Mais parce qu’elle est d’abord une subjectivité, elle peut toujours être contesté et supprimé et ne peut pas exister indépendamment de toute conscience individuelle. Sauf dans un cas précis...
Maintenant, libre à vous de ne pas être d’accord en contre
argumentant, mais comme dit le proverbe, qui dit mot, consent. Mais peut
être avez vous une raison particulière à ne pas répondre à mes
commentaires ?