@JPCiron
Pour ma part,en dehors de la causalité, c’est l’imaginaire ou ici, l’au delà, le divin. Les règles de la causalité sont invariantes, indépendantes d’un Dieu tout puissant qui n’a d’alternative que de renoncer à la réalité avec sa conséquence principale,la perte de sens qu’est fondamentalement l’imaginaire, qui n’a de sens qu’en s’appuyant sur la causalité, mais qu’il ne peut pas commander !
C’est un raisonnement circulaire, mais qui ne peut être pris en défaut. Votre dernier paragraphe en est un exemple parmi d’autre
Tant que chacun vit en vase clos
hermétique, tout le monde est content. Autrement, il faut inventer des
règles communes : de nos jours, plein de pays ont accepté les règles
communes, mais veulent faire prévaloir la leur, ici et aussi là !
La réalité, c’est cela, le principe de règles communes et qui ne sont des règles que si elles sont causales et communes que si elles s’imposent à tous (imaginez un univers où les atomes n’obéissent pas aux même lois !). De là, il faut intégrer le principe de fractale qui l’explique très bien. Notamment pour expliquer que pour voir l’humanité vivre en paix, il n’y a pas d’autres alternatives que des règles communes et qui s’imposent à tous que si la détention de la force est dans le droit international, donc, où les citoyens renoncent à la souveraineté, propriété, tout comme ont dû le faire les régions d’un même pays
Sans cela, l’aphorisme de Bossuet s’applique « Dieu se rit de ceux qui vénèrent les causes dont ils déplorent les conséquences »
CQFD