@quijote
extrait d’un de mes articles, elle vaut réponse à votre commentaire. j’espère une contre argumentation bien étayé de votre part
Ce qui nous amène directement au problème de l’immigration de masse
avec sa menace de remplacement des populations et des identités
culturelles. La encore, cet argument qui crée une peur et un fort
courant de violence à l’encontre des immigrés, ne vaut que dans le
maintien du système politico-économique actuel, mais s’effondre
totalement en système basé sur la coopération et sur la responsabilité.
Pour bien comprendre, il faut commencer par distinguer l’immigration
volontaire de l’immigration contrainte et de remarquer qu’autant la
première est totalement acceptée, autant la seconde est rejetée, tant
par l’immigré lui même que par la population locale. Car ce que feint
d’ignorer l’anti-mondialiste, pro ou anti-capitaliste réactionnaire,
c’est qu’il y a d’immigration volontaire que pour épouser la culture
locale, alors qu’il y a d’immigration contrainte que par déracinement de
sa culture propre. Autrement dit pour ce dernier, la volonté de
préserver sa culture quasiment intacte et d’épouser la culture du pays
d’accueil seulement à la marge. Tendant donc à importer sa tradition
culturelle et non de s’adapter à celle de son pays d’accueil.
Transmettant une culture familiale en décalage avec la culture du pays
d’accueil et posant le plus souvent de graves problème d’insertion pour
les enfants, bien plus que pour les parents migrants.
Cela veut dire que si la contrainte n’existe plus, alors, il n’y a
plus d’immigration de substitution culturelle, mais uniquement une
immigration d’intégration culturelle, laquelle est toujours acceptée par
la population locale, car n’y voyant pas une menace, mais au contraire,
une affirmation de sa valeur culturelle. Ce qui implique de regarder
les raisons de cette immigration contrainte et de voir qu’elle est de
deux ordres. Soit économique, ou soit politique. C’est à dire, liée à
des situations d’urgences et qui ne peuvent êtres levées det le
mouvement renversé que par la coopération et en aucune manière par la
compétition entre les peuples de différentes nations. Par un monde fondé
sur un système politico-économique paisible et non comme aujourd’hui,
en état de guerre permanent. Par une garantie mutuelle en cas de
catastrophe naturelle. Tant que le système sera fondé sur la
compétition, la seule manière de stopper l’immigration sera par la
violence