@I.A.
Personne ne peut être tenu responsable de la fragilité d’autrui,
monsieur. Et ce, quels que soit le ou les bénéfices réels et prouvés
d’un traitement médicamenteux.
Pour le cas en débat, c’est certains, mais dans d’autres cas, une personne peut être tenu responsable de la fragilité d’autrui. Notamment lors d’un accident, d’une nourriture avariée, d’un médicament aux effets secondaires délétères, etc.
Ceci dit, relisez bien mon commentaire, j’écris bien qu’en l’absence de preuves suffisantes et parfaitement étayées par les faits, se faire vacciner ou non relève du choix personnel et ne peut pas être imposé sans faire appel à une forme de dictature violente. Ne relève pas de la responsabilité, mais de la souveraineté de chacun pour lui même.
Comme aucune preuve ne peut être apportée, aucune obligation et forme de contrainte ne devrait pouvoir être imposé. Mais une fois prouvé, alors la vaccination peut être une obligation pour vivre dans une société mettant en avant la sécurité réciproque, mais doit rester libre pour ceux qui vivent en dehors et appliquent les mesures de protections suffisantes en dedans.
En l’état actuel, aucun vaccin ne devrait pouvoir être imposé, car leur non nocivité n’est pas prouvé, bien au contraire.
Par comparaison (qui a ses limites), pendant longtemps, le fumeur mettait en avant son droit de fumer, jusqu’à ce que la preuve fut donné que la fumé nuisait à la santé d’autrui et inversant alors le sens de la relation, c’est à dire, où c’est le droit du non fumeur à ne pas subir la nuisance du fumeur qui a pris le dessus. Notamment car sa fumée pouvait être tenu responsable de la fragilité d’autrui.
On retrouve la même comparaison avec la pollution des moyens de transports, mais là, comme une écrasante majorité participe à la pollution, les autres n’ont qu’une solution, vivre à la campagne profonde. Idem pour ceux qui souffrent des ondes électromagnétiques.
Bref, contrairement à ce que vous dites, selon le cas considéré, nous pouvons êtres tous plus ou moins responsables de la fragilité d’autrui, mais lorsqu’il y a réciprocité la responsabilité s’effondre d’elle même. Ainsi, les fumeurs entre eux ne s’accusent pas de se rendre fragile, idem pour les non vaccinés.