@alinea
Attention. Tu oublies (comme « le simplet », mais lui c’est volontaire je pense) qu’il ne faut jamais inverser la charge de la preuve. Elle est entièrement imputable aux industriels qui doivent impérativement prouver que leurs produits sont sans dangers notables, à court, moyen et long terme.
Or c’est discutable à court terme, mais cela relève de la croyance au delà, vu l’absence de recul.
Certains semblent penser qu’une centaine de chênes âgés d’un an peuvent renseigner sur l’apparence d’un chêne centenaire. Il n’en est rien.
En restant factuel, on sait que tous les industriels du vaccin ont exigé l’irresponsabilité pénale (l’ont obtenue) pour éviter de dédommager toutes les victimes. En déduire qu’ils sont confiants dans la sûreté de leurs candidats vaccins serait une hypothèse hardie . Mais cela ne nous dit rien sur un avenir qu’ils ignorent autant que nous.
Ce n’est jamais donc aux victimes potentielles de prouver qu’elles vont le devenir...
J’ai vu ta vidéo : le témoignage du Dr Sherry Tenpenny n’est pas une source crédible. C’est une militante anti-vaccins (tous les vaccins) pure et dure qui picore ce qui sert son agenda pour épauler ses thèses anti-vaccinales.
Le témoignage du Dr Malone (un chercheur parmi les « pères » des vaccins ARNm) est bien plus préoccupant et instructif sur les multiples dysfonctionnements ayant aboutis à ces candidats vaccins utilisés massivement. Il est sur « France Soir » par ex mais ici est plus concis. Il par le de la toxicité de « Spike », des études (très imparfaites) de biodistribution (on sait que l’injection va se concentrer dans la moelle osseuse et les ovaires (rien de ça n’était prévu)mais aussi semble-t’il les ganglions lymphatiques et de ce qu’il a conseillé aux autorités en matière de pharmacovigilance. Mais comme il le dit , 6 mois, 3 ans, 9 ans avant de voir un signal sortir du bruit, qui peut dire ?... Pas lui en tout cas mais il a des doutes.
Pourquoi pas nous ?...