@véronique
Le problème et qui n’est pas limité aux seuls béni oui oui de la politique gouvernementale, c’est que la très large majorité des gens croient que l’histoire du monde commence à leur naissance et meurt avec.
Historiquement, jamais un gouvernement quelconque ne s’est véritablement soucié de la santé et sécurité de la population, sauf lorsque les circonstances y étaient favorables, c’est à dire, qu’il n’y avait pas d’autre intérêts dits « supérieur ».
Par exemple, la dangerosité de l’amiante est connue depuis les années 50, pourtant, il faudra attendre 40 ans de plus pour voir un gouvernement l’interdire. Au niveau de l’alimentation, s’est pire encore.
Toutefois, l’espérance de vie à quand même augmenté en raison essentiellement de conditions de travail devenues satisfaisantes, mais là encore, il ne s’agit pas d’une volonté politique, mais d’une contrainte sociale lié à la menace communiste de l’entre deux guerre et de l’après guerre via l’URSS. Menace qui à conduit à l’exécution de quelques dizaines de millions de citoyens, mais contraint à la politique sociale.
Mais jamais ikl y a eut volonté politique des dirigeants d’agir pour la santé et la sécurité publique, uniquement lorsque les conditions les y contraignaient.
Le cas actuel ne fait pas exception, puisque le but était de persuader la population que le seul recours est la vaccination pour convaincre la population de la nécessité du contrôle intégral (qui en soi n’’est pas le problème) et pour se faire, ont systématiquement interdit toute alternative de lutte contre le covid.
Comprendre que si demain la situation le commande, aucun gouvernement obéissant aux intérêts de la grande bourgeoisie, n’’hésitera à envoyer se faire tuer des millions de citoyens comme cela a été fait dans les guerres précédentes.
Comprendre qu’en 14/18 ; le courage ne consistait pas à aller se faire tuer dans les tranchées, mais de refuser d’y aller et se faire exécuter par ses propres camarades.