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Commentaire de Hervé Hum

sur Du droit à la dictature


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Hervé Hum Hervé Hum 15 novembre 2021 16:33

@Francis, agnotologue

Comme vous l’écrivez si bien, on ne peut poser la question de la liberté que par son contraire, la contrainte. Or, en société, autant la sécurité que la contrainte est liée à autrui, qui veut que si vous êtes seul, la question ne se pose pas. Non pas qu’il n’existe pas de situation d’insécurité ou de contrainte, mais elle ne se posent pas en terme de liberté, sauf si vous pouvez parler aux animaux, aux arbres et au vent pour leur parler de votre liberté, etc.

La notion de liberté est donc toujours en relation avec autrui et cela commence à deux personnes. Et alors se pose votre relation avec cette autre personne pour tout ce qui vous est commun.

Je ne confond donc rien et vous n’avez pas contre argumenté.

Bref, invalidez par l ’argumentation le fait que la démocratie ne fait que dire à quel niveau et comment la liberté se définie et comment elle s’applique à tout un chacun. La démocratie prétend juste que le même niveau de liberté doit être garantie à tous et non pas selon une hiérarchie de classe.

Que c’est à l’ensemble des citoyens de définir ce qui est permis et ce qui est interdit.

Comme pour les autres, de mon point de vue et sur la base de mon argumentation, vous ne maîtrisez pas le sujet.

Désolé, mais en vie commune, il faut choisir entre le fait du prince ou le fait de la collectivité. Si vous dites comme l’auteur qu’on a de devoirs que ceux que l’on s’impose à soi même, alors, vous choisissez pour le fait du prince et si vous n’êtes pas prince, c’est que vous êtes sujet, donc, sous contrainte du prince.


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