@Jacques Pollini

Je ne peux que souscrire à votre avant dernier paragraphe à propos des vaccins.

Et je suis intimement convaincu qu’une grande partie du problème de la vaccination vient de cette technologie et des messages qui l’ont accompagné.

Il est clair que l’avancée « médicale » à fait des progrès grace à la technologie, on ne peut le nier.

Au début tout à été trop vite en fait, la population n’a pas été préparée à ça, éduquée qu’elle était dans la définition d’un vaccin depuis plus d’un siècle.

En 1881, Pasteur énonce le principe de la vaccination : (inoculer) « des virus affaiblis ayant le caractère de ne jamais tuer, de donner une maladie bénigne qui préserve de la maladie mortelle ».

Evidemment que depuis la technologie de fabrication de ces derniers à évoluée, fort heureusement, mais en gardant les mêmes principes.

Lorsque que les vaccins ARNm sont arrivés, L’image collective était « Nous sommes sauvés », le vaccin contre le C19 existe. Passé ce moment d’euphorie et de liesse, des questions forts logiques à mon sens se sont posées.

Qu’est ce que l’ARNm ? Et il a bien fallu que les « autorités » soulèvent une partie du voile. Nous expliquant que cette technologie est connue, assez ancienne et donc de ces faits fiable et sans risques.

Pour tenter de résumer, il y a dans la population trois catégories principales

La première.

Ceux qui ont une « confiance » totale envers les « autorités », du moins en ce qui concerne le domaine de la santé, n’étant pas niais non plus des abus et faits divers de cette « autorité », mais là ont parle de santé publique. Il est inconcevable pour eux que les autorités mettent en danger la population par un vaccin « dangereux ».et l’arrivé de ces vaccins, calment leurs peurs. Il faut dire aussi à leur décharge, qu’il s’en fallait de peu, pour que le C19 soit perçu comme la peste noire, faute en fait d’une part aux messages gouvernementaux et le traitement médiatique d’autre part. On ne peux pas leur jeter la pierre.

La deuxième

Ceux qui ont des doutes légitimes, ont eux aussi ont la même « confiance » en matière de santé, mais des faits sont venus les troubler lors des premières explications sur ces vaccins.

1°) Technologie connue, ancienne, soit. Mais qui en fait n’a jamais donné de véritables résultats ou de progrès significatifs, sinon il en aurait été largement fait état.

Et pour reprendre un mot employé en ce moment, cette technologie venait de faire un bon fulgurant, grace à l’argent déversé abondement. Etrange que l’impact de l’argent arrive à accélérer des principes physique ? 

Bref même si le concept initial d’action de ces vaccins dans nos organismes (malgré les nombreuses contradictoires ou incomplète) peut se concevoir technologiquement, si l’on fait abstraction que notre corps n’est pas un ordinateur dans lequel ont injecte c’est « anti-virus », car nous sommes physiologiquement tous pareils, mais différents tout de même. Il est à noter que ce point n’est toujours pas vraiment éclairci, vulgariser non plus afin que la majorité comprenne, la seule réponse c’est « Ayez confiance ». point.

2°) L’efficacité et les effets à long terme.

D’accord, ces vaccins sont efficaces. (n’oublions pas d’une part la citation de Pasteur) et les siècles de vaccinations avec leur résultats incontestables), et là à nouveau une valse des chiffres allant de la prestation du camelot au vendeur de voiture. Notez que pendant cette période le monde scientifique, de la médecine aussi (à part certains prédicateurs) ont été bien silencieux et conservé une certaine prudence.

En ce qui concerne les effets à long terme, la seule réponse qui a été fournie par manque de recul, fut en réalité celle-ci « Jugeons de la balance bénéfices/risques »

Pour ma part si je conçoit ce concept dans d’autres domaines, en matière de santé, ce n’est pas pareil, ce n’est pas de l’argent que je vais perdre, mais la vie. donc....

Et pour finir les fameux effets secondaires ! . .Tout traitement quel qu’il peut avoir des effets secondaires plus ou moins importants, d’ailleurs quand vous lisez le petit document dans chaque boîte de médicament, passé la posologie, 90% de la feuille traite de ces derniers. Mais ont les prends quand même, car nous sommes souffrants. 

On ne peut pas nier, que ces vaccins ont des effets secondaires, comme tout les traitements médicaux d’ailleurs. Une séance de « radiothérapie » vous fait perdre vos cheveux n’oublions pas. C’est quand même spectaculaire. Si l’on cumule les effets secondaires en comparant le nombre de dose injectée, le pourcentage est très faible tout de même. Mais il reste important car nous ne pouvons le comparer à rien d’autres hélas. N’oublions pas tout de même que le risque zéro n’existe que dans l’utopie ou les esprits farfelus.

Enfin

La troisième catégorie

Constituée de personnes qui doutent de tout, toujours. Il y en a, il y en aura toujours et pour ma part je ne les juges pas. De quel droit d’ailleurs.

Et pour conclure

Devant tout ça, les deuxième et troisième catégories qualifiées d’anti-vax. Les autorités se servant (ou exacerbant) des thèses de la troisième, pour y inclure la seconde, car ne sachant pas fournir de réponse concrète à la seconde (dont le questionnement augmente) suite aux multiples « couacs » de communications du début.

Alors pourquoi « les gens » se jettent sous les aiguilles salvatrices ? Par résignation ? Non je ne pense pas, Par certitude de ne pas mourir du C19, une majorité OUI et autres ? 

Uniquement par « confort ». Les mesures mises en place (saufs aux pics) atteignent le « confort » de vie, mais pas véritablement les libertés.

Sans « pass » ne pas pouvoir aller au cinéma, au théatre, au restaurant (lieu extrême de propagation virale !!!! d’après les autorités et les médias), à un concert atteint plus notre « mode de vie » que notre liberté réelle, si l’on en oublie pas le sens réel du mot.

En tout cas cette réduction de notre « mode de vie » assez généralisé a un impact bénéfique pour notre petite planète. Faut-il voir là une mise en condition, face à ce qu’il nous attend dans un avenir assez proche ? Allez savoir, je vous laisse juge.