@Laurent Herblay

Bonjour,

La Gauche, une idéologie non dénuée d’intérêt selon sa situation ou position dans la société. Rapidement classée dans notre Pays en deux camps, les modérés donc le socialisme, les « durs » le communisme.(je fais abstraction des diverses factions).

Socialisme :

Un nom revient sans arrêt, M. Jaurès. (Comme De Gaulle pour leur opposants). Tous sont des fils de Jaurès, des descendants, prônant cet idéal de justice sociale. C’est quand même assez fou d’avoir sans arrêt besoin de faire référence au passé ou à un personnage. (N’oublions pas les origines Bourgeoises de l’homme)

C’est quand même assez fou que le culte de l’image soit prépondérant aux idées.

Pourquoi ? Est ce que la conséquences des actions, combats, idéaux et actes se sont tellement éloigné des origines qu’il est nécessaire de rappeler sans arrêt une image, comme dans les cultes religieux.

Bref, si l’on observe bien le « Socialisme » à débuté sa destruction le lendemain du 10 mais 1981. Bien après « Les lendemains qui chantent », le bon peuple ont été durs après quelques années, venant sincèrement à se poser la question sur la différence qui pouvait finalement réellement exister entre « les socialistes » et « la droite ».

Bref, nous en connaissons la fin.

Aujourd’hui le Socialisme se trouve représenté par Mme HIDALGO.

Je pense sincèrement que là, nous avons atteint les sommets de l’éloignement originel des idéaux de M. JAURES.

Communisme :

Pareil, l’idéologie née ailleurs s’est trouvée « incarnée » par un homme M. THOREZ (d’origine ouvrière lui) au parcours certes chaotique, mais reconnu tout de même par le monde ouvrier, dont il est issu et qu’il a toujours défendu.

Le communisme une idéologie plus extrême que le socialisme, mais disparaissant inexorablement par le mondialisme, la désindustrialisation faisant diminuer une partie de la classe ouvrière Française (habilement remplacée par l’immigration).. Il faut reconnaître que ce parti n’a pas beaucoup varié de combat, d’idéologie non plus pendant sa vie, ayant eu aussi le « bonheur » d’avoir des représentants charismatiques. Ce qui n’est pas le cas de M. ROUSSEL aujourd’hui ne conservant que les fidèles. L’autre partie s’étant réfugiée sous l’égide d’un très brillant orateur M. MELENCHON et ses « insoumis ».

Le sursaut de la « Gauche » à eu lieu en 2012. Ce ne fut pas un sursaut, mais plutôt les dernières convulsions de la « Gauche », enfin plutôt du Socialisme, qui a entraîné le restant avec lui.

Regardant l’histoire, la « Gauche » n’a jamais été si utile au Pays que lorsqu’elle est une véritable force d’opposition au pouvoir en place, pas à sa place.

Le problème aujourd’hui c’est que la « Gauche » n’est pas divisée, elle l’a toujours été, mais n’est plus vraiment représentative (à part peut être M. ROUSSEL) de l’idéologie qu’elle doit véhiculer.

L’ont sent trop dans les protagonistes issus du cadavre du socialisme, un intéressement par le pouvoir, que des idéaux. En plus il y a t-il vraiment une différence entre les « dirigeants » du socialisme en France et ceux représentant la « Droite ». A mon sens non.

Je ne parle pas des « Verts » groupuscule ou amalgame immature d’idéaux loufoques, qui bien sûr ont à coeur l’écologie/environnement, mais trop radical, même si il est nécessaire que cela bouge.

Enfin à mon sens, ce qui est actuellement en place aux « Affaires » du Pays doit être chassé, Ne représentant pas la France, mais plutôt une technocratie libéraliste Européenne, qui ferait perdre encore un peu plus la souveraineté de notre Pays, déja durement endommagée.

Alors certes, ils y à assurément, qui sont favorables, certains profitant du système, d’autres voyant dans leur actes abolitionnistes de nos acquis le moyen de tout changer, sans se rendre compte qu’ils impacteront dramatiquement leur avenir.

Maintenant l’Autodestruction de la « Gauche » est réelle tellement leurs différences sont énormes.

Je comprends parfaitement l’attitude de M. MELANCHON (rêvant du pouvoir luis aussi) devant la demande de Mme. HIDALGO aux antipodes de ses idéaux.

Ce « socialisme » achève lentement, inexorablement ce qu’est (ou était) la « Gauche ».