@Fergus
Plainte a été déposée. Certes. Peut être même pas. Qui le sait ?
Parce qu’une enquête pour prouver qu’une personne donnée est un homme ou une femme est d’une très grande complexité. Il s’agit d’interroger le registre de l’Etat civil du lieu de naissance, ce qui est fort compliqué !
Dans une affaire comme celle ci, si les faits dénoncés par cette Mme Rey étaient des affirmations fallacieuses, elle serait passible de poursuites.
« Si l’injure publique est à caractère raciste ou si elle vise une personne à raison de sa religion, de son sexe, de son orientation sexuelle ou de son handicap, alors l’amende monte jusqu’à 22500 Euros et une peine de prison de 6 mois peut être prononcée par le juge ».
S’agissant de la femme du Président de la République, les délais « d’enquête » devraient être particulièrement raccourcis, si j’ose utiliser ce qualificatif.
Rien de telle que la publicité faite à un jugement qui condamnerait Mme Rey pour rétablir Mme Macron dans sa légitimité. Mais il se trouve que rien ne se passe. L’enquête doit donc être épouvantablement compliquée. Nombre d’enquêteurs sont sur la brèche, mais le registre de l’Etat civil reste introuvable.
Il y a bien la solution de la « palpation de sécurité », par un agent du même sexe, mais ça aussi c’est sans doute compliqué ! Parce que ce sont bien des policiers hommes qui procèdent aux palpations de sécurité sur les transsexuels interpellés lors d’une affaire délictuelle ou criminelle, leur carte d’identité établissant leur sexe, peu importe l’orientation sexuelle de la personne.