Je pense qu’on a eu l’illustration d’une gestion politique par des incompétents conseillés par des « représentants » des laboratoires ayant des conflits d’intérêts majeurs. Décisions prises dans l’opacité (en particulier en France , avec ce « Conseil de Défense ») et utilisant les grands médias de propagande (incluant les réseaux sociaux, agences de presse et « Fact checkers ») pour esquiver tout débat scientifique et tout examen des faits.
On peut soupçonner que les « essais en double aveugle » ont la même motivation que la méthode « HACCP » en agroalimentaire, à savoir imposer en toute circonstance une méthode qui nécessite des moyens humains et financiers dont seules les très grandes entreprises disposent, tout en discréditant toute alternative. Ainsi elles se posent en seules détentrices de l’information primaire et peuvent dire ce qui sert leurs intérêts en utilisant les médias qu’elles possèdent pour discréditer toute information n’émanant pas d’elles ou de leur méthode.
Et pourtant pour de nombreuses maladies les méthodes comparatives sont excellentes mais elles ont le grave défaut de pouvoir être pratiquées à petite échelle un peu partout.
La volonté de discréditer par le mensonge éhonté deux molécules comme l’hydroxychloroquine et ensuite l’ivermectine a été patente. Il fallait que les laboratoires soient aux aboies pour qu’une étude complètement bidon, un faux grossier, sur la toxicité de l’HCQ soit publiée par le « Lancet » et devienne parole d’évangile même après rétractation , ou que l’ivermectine soit présenté comme un « antiparasitaire pour chevaux », alors que n’importe qui (mais pas les « fact checkers » ) pouvait vérifier qu’il a été consommé par des centaines de millions d’humains.
S’il fallait la preuve que les grands médias sont les porte paroles des gouvernements et des grands fonds d’investissements (qui ont aussi des actions de ces grands laboratoires dans leur panier d’actions...), je pense qu’on ne pouvait trouver de meilleure.
C’est sérieux puisque de nombreux gouvernements pratiquent la fuite en avant en considérant implicitement que la vaccination vaut certificat de non portage viral, ce qui est une foutaise sur le plan scientifique avec ces « candidats vaccins » qui sont de véritables passoires.