@tashrin
"Rappelez-vous du référendum de 2005.
je m’en rappelle bien, j’ai plus voté depuis
Toutefois, il ne
s’agissait pas de la sortie eventuelle de l’UE, mais de l’adoption de la
« constitution européenne » qui n’aurait en rien remis en question le
destin européen.«
Peu importe ce qu’était précisément le sens de la question posée par le référendum de 2005. Les électeurs se sont prononcés pour l’UE en votant »oui« et contre l’UE en votant »Non« .
Il y a eu une majorité de »Non« et personne dans la canaille politicienne n’a l’intention de tenter l’expérience de reposer la question car ils savent ce que serait la réponse.
»Là où votre parallele est interessant, c’est qu’à l’époque les medias offraient une tribune aux partisans des deux camps «
Non ! J’ai le souvenir qu’en 2005 tous les médias disaient qu’il fallait le »oui« et que de toute façon c’était gagné d’avance le »oui« allait l’emporter. C’était évident car sinon le ciel nous serait tombé sur la tête. Et c’est le »Non« qui l’a emporté. Les règles de la psychologie sociale ne s’appliquent pas entièrement à la politique d’un pays. Il y a d’ailleurs une autre règle qui va en faveur du »Non« . Le ras le bol de la canaille politicienne poussera les électeurs à voter »Non" quelle que soit la question posée. C’est cette même règle qui va amener une abstention massive à la prochaine élection.