@Iris
J’oubliai, la souveraineté est toujours intérieure, si elle se veut extérieure, cela s’appelle la domination, le rapport dominant/dominé.
Autrement dit, dans un monde où toutes les nations sont en interrelations, interdépendances économiques et même sociales, donc, environnementales, dans ces relations entre nations, il n’y a de souveraineté que celui du plus fort et en aucun cas le respect de la souveraineté de chacun,, donc, y compris du faible. Cela n’existe pas en réalité, seulement dans l’imaginaire. Dans une relation de domination, la loi ou l’accord est toujours les concessions faites par le plus fort au plus faible en échange de sa soumission, où le faible doit toujours respecter scrupuleusement les termes de la loi, tandis que le plus fort se réserve le droit d’en changer les termes en fonction de l’évolution de ses intérêts. Dans ces conditions, le faible accepte la soumission que le temps pour lui d’inverser le rapport de force. Cette règle n’a jamais été prise en défaut dans l’histoire de l’humanité !
Pour que les (nations) faibles voient leur souveraineté (intérieure) garantie, il n’y a qu’une seule solution, pas deux, une seule. C’est à dire, que la force ne soit plus l’apanage des nations, mais de toutes les nations, donc, mondiale.
Mais pour que cette force mondiale ne soit pas au service d’une minorité prédatrice il n’y a là aussi qu’une seule solution, c’est à dire, la substitution de la propriété des moyens de production par la responsabilité. De la propriété absolue à la responsabilité relative. Et cela passe inévitablement par le transfert de la souveraineté et de la propriété dans l’individu lui même, devant la nation.
sans cela, rien ne pourra changer fondamentalement, la forme sans problème, mais pas le fond, c’est impossible dans la réalité.