@Clocel
Si vous me permettez, je vois surtout que vous connaissez la musique... victimaire. Vous la jouez en l’absence de tout refrain de cet ordre.
Mais pas grave. Je suis assez provoc pour accepter facilement qu’on soit sur la défensive.
Quoi qu’il en soit, encore une fois, j’ai la même chose à dire : nous sommes d’accord sur le tableau présenté ET... vous éludez le dilemme du jour.
La tactique est fine et pas sans une certaine légitimité apparente : quand on a une vue d’ensemble du projet de NOM et la conscience que les coups peuvent venir de tous côtés avec des conséquences possiblement incalculables, les dégâts de la politique sanitaire criminelle sont comme relativisés.
ça semblerait conforter l’aquoibonnisme mais c’est une erreur de parallaxe : un confusion entre la position future de l’aiguille et le présent.
Au présent, la seule chose qui soit à faire, c’est ce qu’il y a à faire.
Demain est un autre jour. Le Ciel nous tombera peut-être sur la tête mais pour le moment, il s’agit de parer au danger très réel, très présent de la vaccination généralisée adulte-enfant qui nous pend au nez avec Macron.
Voilà l’enjeu. Comme je vous l’ai dit, aucune stratégie d’évasion hédonique ou autre ne pourra vous faire échapper à ce questionnement lorsque vous serez confronté, directement ou indirectement, à ceux qui vont mourir du tout vaccinal : vous avez fait ce que vous pouviez ou vous ne l’avez pas fait.