J’invite donc les lecteurs à consulter mon articles « Les défenseurs de Poutine » (j’avais oublié le lien). Jusqu’à maintenant il est refusé sur AgoraVox mais il est encore en modération.
J’en profite pour rappeler ce qu’est un poutinolâtre .
"Les poutinolâtres sont les admirateurs sans limite d’un tyran. Ils
boivent ses paroles comme si elles venaient d’un Dieu. Ils n’émettront
jamais aucune critique contre lui. Ils n’ont plus aucun discernement
personnel et répandent la divine propagande sans compter. Ils lui sont
entièrement soumis et préoccupés de satisfaire ses désirs : prédominance
de la culture slave, récupération des territoires perdus, domination de
la Russie... Ils reprennent la théorie nazie en remplaçant seulement
les aryens par les slaves tout en parlant – comble de contradiction – de
« dénazification ».
Les défenseurs de Poutine ne se contentent
pas, en général, de justifier et d’approuver sa politique. Ils le
vénèrent et le glorifient. Ils se plient en quatre pour répéter et
justifier les énormes mensonges de Poutine : « C’est Lénine qui a inventé l’Ukraine », « Les américains avaient promis que l’OTAN ne s’étendrait pas à l’Est »
… Ils n’hésitent pas à se rouler dans la fange pour inventer les pires
sornettes qui pourraient justifier ces mensonges (Voir notamment à ce
sujet mon article « Les poutinolâtres en remettent une couche »).
La fin justifie les pires moyens s’il s’agit de confirmer les propos de
leur Dieu. Ils sont prêts à mentir et à falsifier à leur tour en
déployant pour cela des records de fourberies en tout genre. Chez eux,
perfidie, ruse, trahison et tromperie deviennent des qualités quand il
s’agit de servir Poutine. Staline n’est-il pas l’un des grands hommes
qui ont façonné l’histoire de la Russie ? C’est assurément l’avis de
Poutine et tous les poutinolâtres lui emboitent le pas. Ils marchent à
la même cadence et jouent la même partition. Hitler et les américains
sont assurément de grands massacreurs mais Staline est l’ange
purificateur qui les a combattus. Tout est à l’avenant. Aucune nuance
critique ne trouve place dans leurs discours sur leur héros."