@chantecler

Je vais être « hors sujet », mais, puisque l’on parle de « ressources », je rebondis sur « pollution atmosphérique ». 

Etude « inversion thermique » à Téhéran. Mais 2021.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que la pollution de l’air cause environ sept millions de décès prématurés chaque année.La prévalence du COVID-19 a encore renforcé le risque car la pollution de l’air peut augmenter le risque de maladies respiratoires et augmenter leur gravité. La pollution de l’air(et le COVID-19) peuvent causer divers problèmes tels que l’asthme, les troubles pulmonaires, les maladies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, le diabète, l’hypertension, les infections du foie, de la peau et des yeux, le cancer et les maladies neurologiques, car c’est l’une des principales causes de décès.

Selon certains experts, spécialistes et l’Organisation mondiale de la santé, l’augmentation de la concentration de polluants, y compris les particules, peut affecter la propagation du coronavirus. En tant que contaminant des métropoles, les particules sont causées par des émissions directes et des réactions chimiques. Ce polluant réduit généralement la qualité de l’air et rend le ciel poussiéreux les jours froids de l’année. La propagation du coronavirus peut être exacerbée par les polluants atmosphériques, en particulier les particules de moins de 2,5 μm (2,5 micronmètres).

Par conséquent, la pollution de l’air augmente le risque de Covid-19. Il existe un lien direct entre la pollution de l’air et la propagation du COVID-19 et la possibilité d’un taux de mortalité plus élevé. De plus, les polluants atmosphériques affaiblissent le système immunitaire et peuvent ainsi ouvrir la voie à la maladie.

Chaque augmentation unitaire de la concentration de particules polluantes de moins de 2,5 μm augmente de 8 à 15 % le nombre de décès de patients infectés par le Covid-19.

 La hauteur « d’inversion thermique » a un impact direct sur l’intensification et la réduction des contaminants au sol.

• Lorsque la hauteur de l’inversion de température diminue, les polluants se dispersent dans une moindre épaisseur de l’atmosphère et la concentration de contaminants à la surface du sol augmentera.

• Au contraire, l’augmentation de la hauteur de l’inversion thermique entraînera un mélange à une altitude plus élevée , ainsi, la densité des contaminants au sol diminuera.

  En conséquence, dans des attitudes d’inversion plus faibles, les polluants de l’atmosphère stable étant plus denses, le virus Covid-19 a une durée de conservation plus longue dans la couche infectée, ce qui peut affecter davantage de personnes. Lorsque la hauteur de l’inversion de température diminue, les polluants se dispersent dans une moindre épaisseur de l’atmosphère et la concentration de contaminants à la surface du sol augmentera.

Note personnelle  : Plus l’air froid est concentré sur une faible épaisseur à la surface de la terre et plus la pollution est importante et plus les maladies respiratoires et cardiovasculaires sont nombreuses. Les symptômes aigus des maladies respiratoires apparaissent après le premier jour de l’inversion thermique et s’étalent jusqu’au 8ème jour. Ainsi, si l’inversion thermique est « solide » et qu’elle « dure quelques jours », alors les maladies respiratoires prendront la forme d’une épidémie.

P.S : les « virus respiratoires », jamais vus et jamais isolés, séquencés par « informatique », pourraient ne pas exister que les maladies respiratoires et cardiovasculaires seront au même niveau en période de pollution intense.