@Claude Simon
la science obéit à la causalité, sans cela, il est impossible de parler de science, tout simplement parce que la science repose sur la reproductibilité d’un phénomène dans les mêmes conditions qui est la définition de la causalité. Sans cela, je vous met au défi de pouvoir définir une loi physique quelconque. Le langage mathématique obéit aussi à la causalité, tout comme la géométrie.
Mais pour en être convaincu il faut renoncer à la causalité telle que défini par Aristote. Ici, la causalité reprend certains éléments connu d’Aristote comme le tiers exclu ou le principe de non contradiction, mais en ajoute d’autres, dont la polarité, la récurrence, l’itération et la fractialisation (de fractale donc). Une de ses première lois dit par exemple qu’un principe est fondamentalement (dans ses conditions d’existences) invariant quelle que soit l’échelle ou le domaine auquel on l’applique, seul change la forme qu’il peut prendre et qui est totalement, radicalement différent selon l’échelle ou le domaine auquel on l’applique. Ici, le principe de causalité, ordre premier de la réalité, est métaphysique et est donc l’outil qui permet de valider ou invalider une théorie quelconque.
par exemple, ce que vous écrivez sur le quark reste valide du point de vue de la causalité telle que défini ici, car cela respecte ou plutôt ne viole pas le principe de fractialisation, qui veut que l’évolution de la matière en structures plus complexe rend toujours plus discret les niveaux ou échelles antérieures sans réduire leur action et propriétés physique dans la réalité. A ce que je sache, aucune expérience de physique réfute ce principe, mais le confirme sans cesse ! C’est le principe de stratification, qui s’applique avec la même rigueur au niveau humain comme la construction de la plupart des nations par stratification et qui au niveau de la mondialisation sociale aboutit à ce que soit les peuples finissent par obéir aux mêmes lois fondamentales, soit finiront par s’atomiser les uns les autres. Car le principe de causalité dit aussi qu’une échelle ne peut être franchie qu’à la condition d’avoir établie les lois physiques d’équilibre de l’échelle en cours, ici, les lois d’équité socio économiques. Et croyez moi ou pas, c’est impossible à passer outre !
Ceci dit, pour moi, la matière physique est l’expression d’une relation de causalité où il faut distinguer trois grandes classes de particules avec chacune des propriétés propres et intriqués. Les particules avec la propriété de récurrence, les particules avec les propriétés de récurrence et d’itération et celles avec les propriétés de récurrence, itération et fractialisation, c’est à dire, les atomes.
Quand au quark, a ce que j’en sais, il n’existe pas en dehors de l’atome !