Alors que les experts s’emballent dans
la possibilité de travailler sur place et même d’effectuer des travaux
de réparation, de leur côté, les autorités locales n’envisagent qu’une visite d’une journée avec un programme, qui risque de ne pas plaire :
"Le
programme de la visite est conçu pour une journée. Ils doivent voir le
travail de la station en une journée. (...) Jusqu’à présent, il a été
annoncé que le but de la mission est de "se familiariser avec le travail
de la station." Pour nous, c’est un concept vague. (...) Nous sommes
prêts à montrer les lieux d’impact. Nous sommes prêts à montrer des
fragments très différents : ceux de style soviétique tirés par les
Grads, les Hurricanes et l’obusier M777. Montrez les drones, de qui ils
sont la production, où et comment ils sont tombés », a-t-il dit. De
plus, des témoignages de résidents locaux peuvent être fournis. "Après
tout, on y voit clairement comment le projectile frappe, où va l’onde
d’inertie. De plus, il est très facile de prélever un échantillon de sol
et de déterminer quelles munitions ont été utilisées dans l’ogive."
http://russiepolitics.blogspot.com/2022/08/la-bataille-politique-de-zaparojie-est.html
Une journée devrait suffire, et le constat serait un bon moyen de sécuriser la centrale une fois que Rafael Grossi et son équipe auront pu constater que ce sont les FAU qui ont bombardé les abords du site depuis les positions qu’elles occupent...