@Iris
Bonjour, et merci pour votre commentaire.
Le divorce est me semble-t-il une autre question...
Question par ailleurs définie clairement dans la révélation coranique, ou tout est très codifié (légitimité suivant des critères précis
soit plus de dix / douze siècles avant que le sujet ne fasse surface dans nos latitudes juridiques.
Depuis cette époque, au moins sur cette base, je reconnais que cela pouvait être amélioré, de même que pour les questions d’héritage, eux aussi clairement définis dans cette même révélation. Un tiers revenant à l’épouse, alors que rien, ou si peu, une dot peut-être (?) sous nos latitudes patriarcales ne revenait à l’épouse délaissée, comme à la veuve.
Bref, que l’on trouve un intérêt spirituel ou non au Coran, force est d’admettre que le texte se posait comme une référence juridique, d’Essence révélée, donc inaliénable, pour ne pas dire « de droit naturel » dans les relations, conjugales, sociales, là où sous nos latitudes de sources chrétiennes et les mêmes siècles les femmes n’avaient pour ainsi dire aucun droit.
Faut-il rappeler que Napoléon, pourtant grand réformateur du droit romain, avait fait de la femme une mineure à vie, assujettie à son mari. Qu’une femme n’avait même pas droit au vote, ni d’ouvrir un compte bancaire à son nom sans l’aval de son mari jusque dans les années 50.
Alors, oui il me semble que ce « progressisme », opportuniste, se doit d’être critiqué.