@pemile

Et alors pemile, il a tort ? Et bien non il a tout à fait raison : la transmission n’est pas inter-humaine parce que les matières particulaires polluantes nous les respirons tous mais jamais on ne se refile de maladies respiratoires. Ces dernières atteignent toujours les mêmes organismes, ceux dont l’endothélium vasculaire est dégradé et donc le sytème antioxydant est diminué. C’est toujours comme ça. Il suffit d’examiner le « profil » des défunts. On le connait : les diabétiques, les obèses, les malades des coronaires, les malades du coeur, les insuffisants rénaux, les hypertendus. Ajouté à cela les porteurs de maladies génétiques rares comme la drépanocytose. 

Un « virus » n’a jamais pu voyager depuis l’hémisphère sud pour « contaminer », les personnes de l’hémisphère Nord, et réciproquement. Cela n’est jamais arrivé. Les épidémies de maladies respiratoires ont lieu durant l’hiver austral, dans l’hémisphère Sud et également durant l’hiver de l’hémisphère Nord. Il y a toujours eu un « décalage » temporel entre les épidémies de l’hémisphère Sud et celles de l’hémisphère Nord. Même lors de l’épisode du covid19. 

Et vous savez pourquoi ? Parce que la pollution se déplace dans l’hémisphère Nord d’Est en Ouest, sans jamais pouvoir rejoindre l’hémisphère Sud. Et c’est pendant l’hiver, lors des périodes d’inversion thermique, que la pollution est la plus intense et la plus redoutable. Elle provoque des maladies cardio-respiratoires. Et l’été, durant les canicules, la pollution fait aussi des dégâts, et toujours dans les mêmes organismes.

Mais ceci n’a pas l’air de vous poser le moindre problème. La « contamination » et la « propagation » peuvent se faire depuis la Chine, mais jamais depuis l’Australie. Ce simple fait vient à lui seul démentir toute la théorie de la contamination inter-humaine.