@Cyril22
Les virus sont des artefacts, ils sont « confondus » avec les vésicules extra cellulaires, bien réelles, elles. Je l’ai déjà souligné, je le répète : c’est le protocole appliqué pour « isoler » et « purifier » les « pseudo-virus » lors des prélèvements chez les malades qui donnent naissance à des « artefacts » que l’on nomme « virus ». Revoyez mes posts et leurs références scientifiques.
https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2018/12/msc180 134/msc180134.html
Les masques sont dont l’impossibilité la plus totale de filtrer les nanoparticules. Dessus, dessous, sur les côtés, l’air passe et n’est pas filtré. C’est débile de penser qu’un masque, même FFP2 puisse arrêter des particules manométriques. Si vous parvenez à obtenir de l’oxygène à travers un masque, cela veut dire que d’autres molécules de taille manométrique ont également pu se frayer le même chemin pour parvenir dans vos voies respiratoires.
Puisque la saison des infections respiratoires arrive, je vous laisse observer ce qui va se produire lorsque les inversions thermiques auront lieu. Vous serez un observateur très « privilégié » puisque vous « saurez », par avance, que si les taux de pollution atmosphérique restent trop élevés trop longtemps, alors une épidémie de maladies respiratoires aura lieu. On pourra la nommer « grippe » ou « covid23 », à choix, mais, en réalité, ce sont les conditions atmosphériques dégradées qui feront tomber malades les personnes au système immunitaire diminué et provoqueront la mort de nombre d’entre elles. Les principaux « candidats » aux attaques des polluants atmosphériques sont : les diabétiques, les insuffisants rénaux, les hypertendus, les malades des coronaires et du coeur, les obèses. Voilà les prochains candidats désignés pour la « future grippe », qui n’est rien d’autre qu’une attaque en règle de particules polluantes atmosphérique. Parce que les personnes présentant ce « profil » ont toutes :
— Un endothélium vasculaire dégradé
— Un système anti-oxydant diminué
— Des taux de glucose importants dans leur liquide des voies respiratoires
En un mot : leur système de défense des voies respiratoires est à l’abandon.