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Accueil du site > Tribune Libre > Doliprane : l’or blanc de 2023 ?

Doliprane : l’or blanc de 2023 ?

Difficile à croire, et pourtant la tendance se confirme. Nous sommes début janvier 2023, et il est parfois impossible de trouver du doliprane ou toute autre forme de paracétamol dans certaines pharmacies. Mais que se passe-t-il avec ce médicament parmi les plus utilisés en France ?

 

Une fin d’année 2022 sous le signe des épidémies

Rares sont les Français qui ont terminé l’année 2022 en ayant échappé à tous les virus. La grippe, silencieuse depuis l’arrivée de la COVID-19, semble avoir cette fois pris sa revanche. Mais elle n’est pas venue seule. Du côté des enfants, la bronchiolite était elle aussi, comme chaque fin d’année, de la partie. Mais en 2022, elle a fait son entrée avec un temps d’avance, et dans des proportions inattendues. La conséquence ? Une ruée sur le paracétamol et en particulier sur le doliprane, dans sa version standard et pédiatrique. Une situation qui ne touche pas uniquement la France, mais beaucoup de pays d’Europe et du globe.

À l'autre bout du monde, c’est un autre combat qui se joue. En Chine, le nombre de contaminations quotidiennes à la COVID-19 explose. Et il se trouve qu’une grande partie du paracétamol consommé en France y est produite. Le lien est alors facile à établir. Les salariés des usines produisant les médicaments sont victimes de la COVID-19 et donc à domicile. Les chaînes de production fonctionnent au ralenti, entraînant une importante baisse de la quantité produite. La demande de paracétamol devient alors largement supérieure à l’offre, et nous ne pouvons en obtenir assez pour traiter les maux de l’hiver et autres pathologies plus ou moins graves. Cela pose une nouvelle fois la question de notre dépendance sanitaire vis-à-vis de la Chine (et de l’Inde) mise en lumière lors de l’arrivée de la COVID-19.

 

L’intervention du gouvernement

Face à ces tensions, le gouvernement intervient. Le 3 janvier 2023, un arrêté est publié au Journal officiel. Ce dernier fait état de l’interdiction de vente en ligne de médicaments à base de paracétamol jusqu’au 31 janvier. Les e-pharmacies sont donc pointées du doigt, et se sentent victimes d’une décision dont l’effet sera négligeable. Compte tenu de l’ampleur des problématiques d’approvisionnement, des mesures de plus grande envergure doivent en effet être prises. Déjà évoquée par le président Macron en 2020, la possibilité d’une production de paracétamol (et d’autres médicaments) 100 % française refait plus que jamais surface. Dans cette optique, une usine doit voir le jour en Isère. Cette dernière, qui devait être opérationnelle en 2023, risque cependant de ne pas mettre à disposition ses premières livraisons avant 2026. Reste à savoir si ce projet sera réellement mené à bien.

Déjà largement envisagée pour divers secteurs de l’économie, la question de la relocalisation de la production de médicaments en France est plus que primordiale. S’il y a des biens de consommation dont on peut se passer à plus ou moins long terme en cas de pénurie, il en va ici de la santé des Français. Les trois dernières années ont mis en lumière notre trop forte dépendance vis-à-vis de la Chine, et ce dans de nombreux domaines. Désormais, il devient plus qu’urgent de stopper l’hémorragie.


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60 réactions à cet article    


  • hans-de-lunéville 1 9 janvier 2023 17:00

    Mais vous répétez ce que dit la radio, dans ma pharmacie il y a un stock de doliprane qui fait presque concurrence avec la rayon « jambons » à l’hyper


    • Giordano Bruno - Non vacciné Giordano Bruno - Non vacciné 9 janvier 2023 17:40

      Le glutathion, essentiel à une bonne santé, est diminué par le paracétamol.


      • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 9 janvier 2023 17:55

        @Giordano Bruno - Non vacciné
         
         ’’Le glutathion, essentiel à une bonne santé, est diminué par le paracétamol.

        ’’
         
        Merci de diffuser cette info importante et que les médias ne diffuseront jamais, au contraire.


      • amiaplacidus amiaplacidus 9 janvier 2023 18:26

        @Giordano Bruno - Non vacciné

        De même, il est très mauvais de soigner une gueule de bois avec du paracétamol.

        Déjà seul le paracétamol est un toxique pour le foie, la dose journalière maximale est de 4000 mg (la dose conduisant à coup sûr à de sévères complications, assez létales est de 9000 mg).

        Alors, si on y rajoute l’alcool, cela fait un cocktail dangereux.

        Préférer l’aspirine, cela fout en l’air l’estomac, mais pris avec un gros volume d’eau, 3 ou 4 verres, on minimise les dégâts. Avec l’avantage supplémentaire que l’eau combat la déshydratation due à l’alcool et diminue la durée de la GDB.


      • nanobis nanobis 9 janvier 2023 18:45

        @amiaplacidus
        Il ne faut pas oublier le « Kardegic » qui comporte le principe actif de l’aspirine mais sous forme de sel et donc ne donnant pas trop de mal d’estomac.


      • Cyril22 10 janvier 2023 11:10

        @amiaplacidus
        Le problème de l’aspirine c’est que c’est un fluidifiant sanguin, risque d’hémorragie.


      • amiaplacidus amiaplacidus 11 janvier 2023 11:10

        @Cyril22
        Vous avez raison, c’est pourquoi il ne faut non plus en prendre de trop fortes doses sur une longue période.

        Mais l’aspirine est aussi utile comme fluidifiant sanguin, à la suite d’un infarctus en 2014 (sans séquelle jusqu’à aujourd’hui) je prends quotidiennement, sur prescription médicale, 100 mg d’aspirine cardio, c’est une aspirine enrobée par une substance qui ne ne dissout pas dans l’estomac et la prise de cette aspirine ne peut donc pas, en principe, causer un ulcère.

        À noter que l’effet fluidifiant c’est 100 mg par jour et que les comprimés contre les douleurs vendus en pharmacie sont en général dosés à 500 mg.


      • njama njama 9 janvier 2023 19:57

        Bonjour Flora M et bienvenue sur Agoravox

        L’industrie pharmaceutique est simplement une industrie comme une autre. Vous avez un client A, et d’autres B, C, D...

        Vous êtes une multinationale, vous vendez à l’international un produit (ici le Doliprane dans votre exemple), votre client C par exemple vous l’achète et le revend plus cher sur son marché intérieur (la Bulgarie par exemple) que vos clients A, B, D que faites vous ?

        ...

        après en pays A, B, D on nous raconte des histoires de pénuries...sauf que c’est juste le marché qui la crée

        Ceci dit le Doliprane n’est pas une grosse perte, à part d’être un peu antalgique et antipyrétique il est assez toxique, une partie entre 10 et 15 % est transformé par le foie en un métabolite qui capte le glutathion et donc diminue d’autant l’immunité naturelle.


        • Joséphine Joséphine 10 janvier 2023 00:57

          Doliprane , m’or Banc. cela me fait penser à ces docteurs qui veulent exiger le prix de la consultation à 50 euros ! Heuuuu, cinquante euros pour 15 minutes de consultation et pour prescrire du Doliprane, y’a que moi que ça choque ? 


          • Joséphine Joséphine 10 janvier 2023 00:58

            Erratum, Doliprane l’or Blanc, pas m’or blanc. Oh excusez moi....


          • zygzornifle zygzornifle 10 janvier 2023 08:53

            @Joséphine

            En fait le gouvernement leur en pique la moitié ....


          • Cyril22 10 janvier 2023 11:18

            @Joséphine
            Le gouvernement avait prévu de revaloriser les consultations 30 euros. Les médecins veulent 35, alors ils demandent 50.

            La question de base est celle-ci : où vont les 30% de médecins (idem les autres soignants) qui quittent la fonction en cours de carrière ? La réponse serait qu’ils vont dans les labos ou cliniques privées parce que c’est mieux rémunéré et moins risqué, ou au Canada.

            Pour ce qui est de prescrire du doliprane, c’est tout à fait exact, les principales consultations hivernales sont pour des rhumes et grippes, et il apparait qu’on ne sait pas les soigner, juste atténuer certains effets (pour ce qui est du préventif pour augmenter la résistance naturelle de l’organisme, de toute façon le jour de la consultation c’est trop tard). Ceci dit, les sirops contre la toux sont également en rupture de stock.


          • Cyril22 10 janvier 2023 13:33

            @zygzornifle
            ’’En fait le gouvernement leur en pique la moitié’’
            oui, mais il leur donne auparavant la totalité, payée par nos cotisations...


          • zygzornifle zygzornifle 10 janvier 2023 08:52

            Le pinard remplace très bien le Doliprane .....


            • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 10 janvier 2023 09:13

              @zygzornifle
               
               ’’Le pinard remplace très bien le Doliprane .....’’
              >
               Ah bon ? Le pinard détruit aussi le glutathion ?


            • Legestr glaz Legestr glaz 10 janvier 2023 10:01

              copié-collé : «  Rares sont les Français qui ont terminé l’année 2022 en ayant échappé à tous les virus. La grippe, silencieuse depuis l’arrivée de la COVID-19, semble avoir cette fois pris sa revanche ».


              Le froid qui s’est abattu sur la France a provoqué une augmentation des taux de pollution atmosphérique. Les personnes « ’sensibles » aux particules atmosphériques polluantes, celles qui y sont exposées depuis des dizaines d’années, développent alors des maladies cardio-respiratoires.

              ... «  la pollution aux particules fines est une caractéristique de l’hiver. « Elle est liée à trois phénomènes : le  transport, le chauffage et l’activité industrielle. » Les particules fines étant émises lors d’une combustion, « tout est combiné au creux de l’hiver », note la physicienne.

              Mais le froid n’explique pas seul ces épisodes de pollution, sinon les seuils seraient dépassés pendant trois mois. La météo joue en fait un rôle majeur. « Si les masses d’air sont stables, qu’il n’y a pas de vent, pas de pluie, la pollution s’accumule », explique Cathy Clerbaux. La spécialiste belge note d’ailleurs que ces épisodes de pollution sont « faciles à prévoir », tant ils sont directement liés à cette stabilité météorologique. »...


              Depuis la mi-décembre 2022 les conditions météorologiques ont changé en France et en Europe. Les températures sont plus élevées et les taux de pollution ont diminué. Les conditions climatiques permettent aux particules polluantes d’être « évacuées » dans la haute atmosphère. Il y a donc moins de maladies cardio-respiratoires.

              C’est d’ailleurs ce que signale le « bulletin hebdomadaire de la grippe », autant en France qu’en Suisse. Le nombre de malades de maladies respiratoires est en chute libre depuis la mi-décembre.


              Grippe - Bulletin hebdomadaire Semaine 52 04/01/2023

              https://www.bag.admin.ch/bag/fr/home/krankheiten/ausbrueche-epidemien-pandemien/aktuelle-ausbrueche-epidemien/saisonale-grippe---lagebericht-schweiz.html

              Les virus ont « bon dos ». Par absence de pluie, par absence de vent, par absence de rayonnement solaire, les taux de particules polluantes atmosphériques augmentent très dangereusement dans l’atmosphère en hiver et déclenchent les maladies cardio-respiratoires chez les personnes « sensibles ».

              https://www.fne-aura.org/actualites/isere/inversion-thermique-et-pollution-atmospherique-une-liaison-dangereuse/

              Quant au « doliprane » il s’agit simplement d’une molécule de « confort » qui ne règle aucun problème. La « douleur » et la « fièvre » signalent un dysfonctionnement de l’organisme lequel lutte contre une agression. Le « doliprane » ne règle strictement aucun problème, au contraire, il « empêche » l’organisme d’actionner ses mécanismes de défense comme la « fièvre » par exemple. La fièvre est « salutaire » dans l’organise parce qu’elle permet à l’organisme de mieux gérer et contrôler l’expansion des agents pathogènes. 


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 10 janvier 2023 11:40

                @Legestr glaz
                 
                 ’’La fièvre est « salutaire » dans l’organise parce qu’elle permet à l’organisme de mieux gérer et contrôler l’expansion des agents pathogènes. ’’
                >
                 C’est une question qui me tracasse depuis un moment : depuis que j’ai abandonné l’idée que ce sont des virus qui rendent malade.
                 
                Cette phrase que je cite ne me convainc pas. En effet, si les agents pathogènes se multiplient, alors la théorie virale est vraie, non ?


              • Legestr glaz Legestr glaz 10 janvier 2023 12:12

                @Francis, agnotologue

                Je parle des bactéries, des « sur-infections » bactériennes. Même le célèbre institut Pasteur est obligé d’en convenir. Et, bien évidemment, d’autres « agents pathogènes ». Les pseudo-virus-artefacts« sont insignifiants et ne provoquent aucune pathologie, et pour cause ! 

                https://pasteur-lille.fr/centre-de-recherche/thematiques-de-recherche/maladies-infectieuses-et-inflammatoires/surinfections-bacteriennes/

                ... » La principale cause de mortalité de la grippe en France n’est pas le virus lui-même, mais les surinfections bactériennes. Celles-ci sont particulièrement actives chez les personnes dont l’organisme est fragilisé. Mieux protéger et traiter les personnes” à risque”, c’est donc tout l’enjeu des recherches sur les surinfections bactériennes post-grippales.« 

                Fatigué par l’infection grippale, l’organisme se défend moins bien contre les autres microbes. Une surinfection bactérienne peut survenir, surtout si la personne est très jeune et que son système immunitaire n’est pas mature ou inversement si la personne est âgée et que son système immunitaire est moins performant. Les surinfections bactériennes post-grippales se traduisent par des pneumopathies, des bronchites, des infections ORL (otites ou sinusites, surtout chez l’enfant) et, plus grave encore, des septicémies.

                Ainsi, ce n’est pas le virus de la grippe lui-même qui a été le plus meurtrier lors de la pandémie de grippe espagnole de 1918 mais la surinfection bactérienne, notamment à pneumocoque, une bactérie des voies respiratoires supérieures. »...

                Et puis, dès qu’il y a « agression » d’un agent « pathogène » dans l’organisme, lequel peut être une particule polluante atmosphérique (PM2,5 ou PM0,1,HAP, COV, ), lequel peut être également une « mycotoxine » ou un « parasite ». Les matières particulaires polluantes atmosphériques sont des « agents pathogènes ». Elles ne sont pas « vivantes » mais déclenchent pourtant l’action du système immunitaire. Parce que l’organisme humain doit se débarrasser de ces substances néfastes pour lui, et ce sont souvent les macrophages qui s’en chargent en produisant des oxydants tel que le H2O2 (peroxyde d’oxygène = eau oxygénée).

                L’inflammation et la fièvre permettent le « recrutement » sur « site » des globules blancs.
                ... «  Les globules blancs (leucocytes) jouent un rôle important dans la défense de l’organisme contre les micro-organismes infectieux et les substances étrangères. Pour qu’ils soient efficaces, il faut qu’un nombre adéquat de globules blancs soient informés de la présence du micro-organisme infectieux ou de la substance étrangère. Ils se dirigent alors où ils doivent aller, puis détruisent et digèrent le micro-organisme ou la substance néfaste. »

                Les virus sont des artefacts.

                Les « mycotoxines » pratiquement inconnues du « grand public » ! 

                ... « Les mycotoxines sont de métabolites secondaires produits par de nombreuses espèces fongiques. Les effets sanitaires induits par l’ingestion de ces substances sont bien documentés et certaines mycotoxines font désormais l’objet de réglementations quant à leurs teneurs maximales tolérables dans les aliments. Cependant, d’autres voies d’exposition à ces contaminants sont possibles. Si l’action irritante ou allergisante liée à l’inhalation de spores fongiques ou de fragments mycéliens a été démontrée, l’inhalation de mycotoxines est aussi suspectée d’induire certains troubles respiratoires ou certaines pathologies. En effet, les mycotoxines peuvent être retrouvées dans les spores mais également sur des particules plus fines facilement aérosolisables et donc susceptible d’être inhalées. Cependant, les données concernant le danger associé à l’exposition humaine aux mycotoxines par inhalation sont encore très parcellaires. Dans ce contexte, nos travaux ont eu comme objectif principal la caractérisation de l’aérosolisation des mycotoxines lors de la colonisation de différents matériaux rencontrés dans les environnements intérieurs par des moisissures toxinogènes. »

                https://librairie.ademe.fr/air-et-bruit/334-mycotoxines-et-environnement-interieur-aerosolisation-lors-de-developpement-d-especes-toxinogenes-et-developpement-d-outils-de-surveillance-des-habitats.html


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 10 janvier 2023 12:31

                @Legestr glaz
                 
                 ’’Je parle des bactéries, des « sur-infections » bactériennes. Même le célèbre institut Pasteur est obligé d’en convenir.’’
                >
                 Mais oui, suis-je bête. C’est tellement évident.
                Encore merci pour ces réponses et ces liens.
                 smiley


              • Cyril22 10 janvier 2023 13:49

                @Legestr glaz
                ’’dès qu’il y a « agression » d’un agent « pathogène » dans l’organisme, lequel peut être une particule polluante atmosphérique (PM2,5 ou PM0,1,HAP, COV, ), lequel peut être également une « mycotoxine » ou un « parasite »’’

                Un virus est finalement une forme de parasite au sens générique du terme, il attaque d’autant plus fort un organisme que celui-ci est déjà affaibli, ou non encore entrainé à le combattre. Des virus comme celui du chikungunya ou de la dengue ou celui de la fièvre jaune ne sont pas liés à des conditions saisonnières ou de pollution, mais propagés par piqure d’insecte. Toutes ces saloperies nous infectent à qui mieux mieux....


              • Legestr glaz Legestr glaz 10 janvier 2023 15:11

                @Cyril22

                Les virus sont des « artefacts ». 

                Les maladies que vous citez sont en lien soit avec des bactéries, soit avec des parasites, soit avec des polluants, soit avec des spores, soit avec des mycotoxines, soit des toxines, soit des micropastiques, soit des nanoplastiques...

                Une eau insalubre et un mauvais assainissement peuvent entraîner la malnutrition ou l’aggraver. « Quelle que soit la quantité d’aliments qu’un enfant atteint de malnutrition absorbe, sa santé ne s’améliorera pas si l’eau qu’il boit est insalubre », explique Manuel Fontaine, Directeur des programmes d’urgence de l’UNICEF. Une eau insalubre peut provoquer des diarrhées, ce qui empêche les enfants d’obtenir les nutriments dont ils ont besoin pour survivre et finit par les mener à la malnutrition. Les enfants souffrant de malnutrition sont également plus vulnérables aux maladies transmises par l’eau, comme le choléra. On estime que l’accès insuffisant à l’eau, à l’hygiène et à l’assainissement est responsable d’environ 50 % de la malnutrition dans le monde.

                L’eau contaminée et le manque d’assainissement entraînent la transmission de maladies comme le choléra, la diarrhée, la dysenterie, l’hépatite A, la fièvre typhoïde et la poliomyélite.

                L’eau véhicule des bactéries, des parasites, des micro-organismes végétaux ou animaux, qui peuvent provoquer des maladies graves, voire mortelles pour l’être humain.

                Ces maladies liées à l’eau insalubre sont appelées maladies hydriques. Elles tuent environ 5 millions de personnes chaque année, et 2,3 milliards en souffrent.

                On dénombre de nombreuses maladies véhiculées par les mico-organismes présents dans l’eau :

                  - la schistosomiase, qui est une maladie hydrique considérée comme la deuxième infection parasitaire après le paludisme

                  - les amibes, qui provoquent de fortes diarrhées entraînant une déshydratation qui peut s’avérer mortelle

                  - la fièvre typhoïde, qui provoque des troubles digestifs et de fortes fièvres

                  - la bilharziose, responsable de troubles du foie, des intestins et de la vessie, dues à un petit ver qui se développe dans les eaux stagnantes

                  - l’onchocerchose, qui engendre la cécité

                  -l es eaux stagnantes sont également les habitats des moustiques qui propagent le paludisme

                  - le trachome, qui est une maladie infectieuse des yeux qui peut provoquer une cécité après des infections répétées

                  - l’hépatite A et E entraînent une infection et une inflammation du foie

                  - le choléra


                La liste des maladies est longue, et la mortalité due aux maladies hydriques est très élevée.



                Sans vous renseignez davantage vous aurez beaucoup de mal à sortir de votre dissonance cognitive concernant la « théorie virale. Je le comprends aisément.

                https://observatoireprevention.org/2017/08/24/limpact-devastateur-de-pollution-atmospherique-sante-cardiovasculaire/

                Il suffit de se rendre compte des types de pathologies provoquées par la pollution atmosphérique, lorsque celle ci est »augmentée« pour comprendre que les pseudo-virus-artéfacts » sont de vulgaires plaisantins liés à une supercherie pharmaceutique et à un bourrage de crâne de tous les instants.


              • chantecler chantecler 10 janvier 2023 16:03

                @Legestr glaz
                Ah bon, les virus sont des artefacts ?
                Ils n’existent pas !
                Mais quand vous avez la grippe et une fièvre qui monte à 40 en une journée , c’est aussi une invention ?
                Vous m’étonnez Legestr ! ....


              • Cyril22 10 janvier 2023 17:00

                @Legestr glaz
                Il y a encore d’autres agents organiques infectieux, comme le prion, protéine déformée qui ’’contamine’’ par réplication de sa déformation, et qui s’attrape par ingestion.
                Je ne pense pas que les chercheurs aient la berlue quand ils analysent ces divers agents, l’application de ’’modélisations’’ est un élément qui entre en jeu dans divers domaines de la science, ce qui n’implique pas que ceci soit de la falsification délibérée.
                Mais bon, j’ai compris l’objectif : affirmer que les virus sont une invention des scientifiques au profit des fabricants de vaccins, ceci afin de réfuter la vaccination pour les maladies virales. Il semble que cela rencontre une certaine audience

                Mais si c’est la pollution qui engendre toute ces maladies, il faut recommander un masque N99 tel Rpur nano (pas seulement en trottinette).


              • Legestr glaz Legestr glaz 10 janvier 2023 17:53

                @chantecler

                Si vous lisiez les études scientifiques que je poste vous ne réagiriez pas comme vous le faites. Je suis très déçu que vous ne l’ayez pas fait. 

                En effet, les polluants atmosphériques sont des saloperies qui déclenchent le système immunitaire, voyez-vous, provoquent des inflammations et vous rendent fiévreux, en autres choses. Tout ceci est parfaitement bien documenté.

                Les matières particulaires présentes dans l’atmosphère (PM10, PM2,5, PM0,1), les HAP (hydrocarbures aromatiques polycycliques) les COV (composés organiques volatils), le « black carbone », le SO2, le CO, le NO2, les métaux lourds, les mycotoxines, les nanoplastiques, les spores, provoquent l’inflammation et la fièvre..... jusqu’à 40° en une journée... oui, sans aucun doute, en fonction de la nature et des quantités de particules inhalées.

                Santé publique France, cela vous va comme référence ? Sinon j’ai un tas d’études scientifiques récentes à vous proposer.

                https://www.santepubliquefrance.fr/determinants-de-sante/pollution-et-sante/air/articles/pollution-atmospherique-quels-sont-les-risques

                ... «  L’étude des scientifiques du King’s College a mis en évidence que les participants exposés à des concentrations supérieures à 10 μg/m3 de particules fines présentaient un risque accru de 21 % de souffrir de multimorbidité par rapport à ceux exposés à des concentrations moindres.

                Les participants exposés à des concentrations de dioxyde d’azote supérieures à 30 μg/m3 courent un risque 20 % plus élevé de souffrir de deux maladies en même temps par rapport aux participants exposés à des taux plus faibles.

                Par ailleurs, la gravité des maladies chez les personnes souffrant de multimorbidité était plus importante chez les personnes qui étaient plus exposées à des particules fines d’une taille inférieure à 2,5 μm et à du dioxyde d’azote. »...


                https://www.atmo-nouvelleaquitaine.org/article/les-effets-de-la-pollution-de-lair-sur-la-sante


                La « fièvre des métaux » vous connaissez ? La pneumopathie des soudeurs, aussi appelée « fièvre des soudeurs » ou « fièvre des métaux », résulte de l’inhalation de nanoparticules de métaux lourds responsable d’une inflammation des bronches. Elle dépend du type de procédé de soudage et du niveau d’empoussiérage. Il s’agit d’une pathologie mal connue du milieu pneumologique, sous diagnostiquée, efficacement contrôlable par des méthodes de prévention simples.

                Nous rapportons le cas d’un patient de 56 ans ayant consulté en 2017 pour des symptômes stéréotypés évoluant depuis de nombreuses années et devenant mensuels, associant fièvre brutale jusqu’à 40 °C, sueurs nocturnes et douleurs thoraciques à caractéristiques pleurales

                https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0761842518301232


                Chantecler, vous ne m’avez pas pris au sérieux lorsque j’ai évoqué le « stress oxydatif » comme étant l’un des effets les plus défavorables à l’organisme, et pourtant... Une fois encore, puisque vous n’avez pas les renseignements qu’il conviendrait d’avoir, vous jugez trop rapidement. Il vous suffit de vous documenter.


                Vous m’étonnez chantecler ! ...





              • Legestr glaz Legestr glaz 10 janvier 2023 18:10

                @Cyril22

                Les virus sont des artefacts, ils sont « confondus » avec les vésicules extra cellulaires, bien réelles, elles. Je l’ai déjà souligné, je le répète : c’est le protocole appliqué pour « isoler » et « purifier » les « pseudo-virus » lors des prélèvements chez les malades qui donnent naissance à des « artefacts » que l’on nomme « virus ». Revoyez mes posts et leurs références scientifiques.
                https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2018/12/msc180 134/msc180134.html

                Les masques sont dont l’impossibilité la plus totale de filtrer les nanoparticules. Dessus, dessous, sur les côtés, l’air passe et n’est pas filtré. C’est débile de penser qu’un masque, même FFP2 puisse arrêter des particules manométriques. Si vous parvenez à obtenir de l’oxygène à travers un masque, cela veut dire que d’autres molécules de taille manométrique ont également pu se frayer le même chemin pour parvenir dans vos voies respiratoires. 

                Puisque la saison des infections respiratoires arrive, je vous laisse observer ce qui va se produire lorsque les inversions thermiques auront lieu. Vous serez un observateur très « privilégié » puisque vous « saurez », par avance, que si les taux de pollution atmosphérique restent trop élevés trop longtemps, alors une épidémie de maladies respiratoires aura lieu. On pourra la nommer « grippe » ou « covid23 », à choix, mais, en réalité, ce sont les conditions atmosphériques dégradées qui feront tomber malades les personnes au système immunitaire diminué et provoqueront la mort de nombre d’entre elles. Les principaux « candidats » aux attaques des polluants atmosphériques sont : les diabétiques, les insuffisants rénaux, les hypertendus, les malades des coronaires et du coeur, les obèses. Voilà les prochains candidats désignés pour la « future grippe », qui n’est rien d’autre qu’une attaque en règle de particules polluantes atmosphérique. Parce que les personnes présentant ce « profil » ont toutes : 
                 Un endothélium vasculaire dégradé
                 Un système anti-oxydant diminué
                 Des taux de glucose importants dans leur liquide des voies respiratoires
                En un mot : leur système de défense des voies respiratoires est à l’abandon.


              • Legestr glaz Legestr glaz 11 janvier 2023 10:08

                @Cyril22

                copié-collé : « Je ne pense pas que les chercheurs aient la berlue quand ils analysent ces divers agents, l’application de ’’modélisations’’ est un élément qui entre en jeu dans divers domaines de la science, ce qui n’implique pas que ceci soit de la falsification délibérée. »...

                Le « protocole » utilisé par « isoler » et « purifier » les virus date de plus de 60 ans, à l’époque de John Enders. Jamais ce protocole n’a été remis en question. Jamais il n’a fait l’objet d’une étude randomisée en double aveugle (on utilise un prélèvement d’une personne malade et on utilise un prélèvement d’une personne saine. On soumet les 2 prélèvements au même protocole et on observe les résultats. Et bien, ceci n’a jamais été fait ! ).

                Et, depuis une vingtaine d’années, de nombreuses études ont mis en avant le rôle des vésicules extra cellulaires.
                ... « Les VE correspondent à des nanovésicules qui sont dérivées des membranes cellulaires et sont sécrétées dans le milieu extracellulaire. Elles circulent à la faveur des nombreux fluides de l’organisme (sang, lymphe, urine, lait, etc.).
                Les vésicules extracellulaires transportent une variété de cargaisons, y compris des ARN, des protéines, des lipides et de l’ADN, qui peuvent être absorbées par d’autres cellules, à la fois à proximité directe de la cellule source et à des sites distants dans le corps via des biofluides, et suscitent une variété de réponses phénotypiques. »...

                Lors d’un prélèvement nasopharyngé, celui qui est utilisé pour « rechercher les virus », il est évidement que celui-ci contiendra des vésicules extra cellulaires, obligatoirement. Et le processus d’ultra-centrifugation fera apparaître ces VE dans le « surnageant ». C’est ce « surnageant » qui est utilisé pour « cultiver » les « virus ». Ce « surnageant » contient « obligatoirement » des VE, lesquelles transportent des protéines, de l’ARN et de l’ADN, comme souligné plus haut.

                ... " Lorsque l’on descend à la taille des nanoparticules et que l’on s’attend à des milliards de particules identiques à ce niveau, il serait logique de supposer que séparer complètement la particule exacte que recherche un virologue de tout le reste de l’échantillon est carrément impossible
                Ainsi, demander aux virologues de purifier et d’isoler complètement les particules “virales” suspectées dans l’échantillon non altéré d’un patient malade peut sembler une tâche herculéenne et une demande injuste.




              • Legestr glaz Legestr glaz 11 janvier 2023 10:08

                @Legestr glaz

                Suite...

                Cependant, c’est dans ce coin que la virologie et la théorie des germes se sont fourvoyées.Pour pouvoir affirmer qu’une particule particulière est un “virus” et peut provoquer les symptômes de la maladie qui lui est associée, la logique veut qu’elle soit complètement séparée de tous les autres variables/facteurs potentiels afin de prouver que cette particule particulière est bien la cause de la maladie. C’est la seule façon logique de montrer qu’aucune autre particule présente dans l’échantillon n’a pu être à l’origine de la maladie et, dans le cas de la génomique,que les séquences d’ADN/ARN n’appartiennent qu’à cette particule particulière que l’on croit être un “virus”.

                Nous pouvons savoir si une purification/isolation complète est possible en examinant la recherche sur les exosomes et les méthodes utilisées. 

                Les “virus” sont considérés comme des exosomes dans tous les sens du terme, car ils sont identiques en taille, en forme et en apparence.Les méthodes utilisées pour purifier/isoler les exosomes sont les mêmes que celles qui sont censées être utilisées pour les “virus” mais qui ne le sont jamais, surtout en l’absence de procédés de culture cellulaire toxiques. Ces méthodes sont considérées comme les meilleures méthodes de purification/isolement disponibles aujourd’hui.

                Gardez à l’esprit que les exosomes et les “virus” sont presque identiques en tous points.

                En fait, les exosomes ont été appelés “virus non infectieux”. La principale différence est que la recherche sur les exosomes tente régulièrement de les purifier à l’aide d’une ou plusieurs méthodes, alors que la virologie ne le fait pas

                Voilà la « réalité » exposée ! L’isolement et la purification des virus est un mythe, lequel est « bien entretenu » ! 

                https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7249041/


              • Cyril22 11 janvier 2023 10:34

                @Legestr glaz
                Sur la question des virus, ils se distinguent des vésicules par leur composition biochimique et leur code génétique, je ne crois pas à la théorie que ce soit un simple artifice.
                Juste un mot sur le masque. Je l’évoquais ironiquement, mais le masque dont je donnais le lien est plus filtrant que FFP2, il est classé FF03+ N99, et filtre les PM0,05, PM2.5, PM10, on peut respirer car les molécules O2 sont encore considérablement plus petites, mais ça doit quand même altérer le débit. De toute façon on ne va pas vivre en permanence masqué, la pollution étant partout.


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 11 janvier 2023 11:02

                @Legestr glaz
                 
                 ’’Le « protocole » utilisé par « isoler » et « purifier » les virus date de plus de 60 ans, à l’époque de John Enders. Jamais ce protocole n’a été remis en question. Jamais il n’a fait l’objet d’une étude randomisée en double aveugle (on utilise un prélèvement d’une personne malade et on utilise un prélèvement d’une personne saine. On soumet les 2 prélèvements au même protocole et on observe les résultats. Et bien, ceci n’a jamais été fait ! ).

                ’’
                  >
                 Comment expliquer que ça n’ait jamais été fait ?
                 
                 Peut-être faut il y voir un lien avec la nouvelle notion de personnes infectées et non symptomatiques ? Si on ne sait pas dire qu’une personne est saine, alors ça fout toute possibilité de tests en double aveugle, clairement. C’est pratique pour les virologues les virocrates ? , non ?


              • Legestr glaz Legestr glaz 11 janvier 2023 11:37

                @Cyril22
                « copié-collé : »Sur la question des virus, ils se distinguent des vésicules par leur composition biochimique et leur code génétique« ...

                Vous avez probablement des sources ? Le code génétique des vésicules extra cellulaires je n’en ai jamais entendu parler. En revanche, la composition »biochimique« de VE est identique à que l’on suppose être celle des »virus« . Comme indiqué dans les sources que j’ai postées. 

                Par ailleurs, il faut savoir que les amorces qui sont utilisées pour établir le code génétique d’un virus donné sont »délibérément«  »choisis« par les opérateurs qui se chargent de ce travail. Ces »amorces« font partie d’une »collection« gardée précieusement. Ces »amorces« , venues d’ailleurs, sont supposées être en relation avec le code génétique d’un »nouveau" virus ? Ceci n’est plus de la science mais du bricolage.

                Dans les laboratoires P4, les opérateurs ne portent pas de masque mais des équipements très spéciaux parce que les masque ne peuvent pas arrêter les nanoparticules. Et lorsque vous évoquez les PM0,05 nous sommes bien dans le domaine de l’immensément petit. 

                lien (pour la photographie de l’équipement).
                https://fr.wikipedia.org/wiki/Laboratoire_P4


              • Legestr glaz Legestr glaz 11 janvier 2023 11:46

                @Francis, agnotologue

                Il n’y a pas d’explication. C’est comme pour « l’efficacité vaccinale ». Il n’y a pas d’étude. Cela doit probablement convenir à certaines personnes.

                La science s’est totalement égarée avec la théorie virale. C’est aujourd’hui un dogme aussi solide que ne l’était la théorie du géocentrisme dans les siècles passés.
                Déjà en 1918-1919 l’expérience menée lors de la grippe espagnole par Milton Rosenau avait fait éclater aux USA le problème de la contagion et de la contamination : impossible de contaminer des personnes saines à partir de sécrétions de personnes malades, même en contact direct, même en intra-veineuse. Mais cette « théorie de la contamination » a « quand même » poursuivi son petit chemin bien rentable.

                Cette dérive de la science nous a mené aujourd’hui aux malades asymptomatiques ! Une découverte fabuleuse digne du docteur « Knock ». 


              • chantecler chantecler 11 janvier 2023 12:09

                @Legestr glaz
                Quelle chance d’avoir un scientifique comme vous sur ce site !


              • chantecler chantecler 11 janvier 2023 12:14

                @Legestr glaz
                Donc selon vous les virus n’existent pas .
                il n’y a que des nanoparticules et des « phénomènes oxydatifs » ou réducteurs  !


              • Legestr glaz Legestr glaz 11 janvier 2023 16:06

                @chantecler

                Je perçois comme une ombre, un soupçon, d’ironie. Mais cela me va très bien.

                Au plus fort des évènements « covid », les médecins de plateau se succédaient à la télévision. Ils parlaient biologie sans que cela soit leur domaine de compétence. Ils faisaient pourtant illusion. Un médecin est loin d’être un biologiste, sauf, bien entendu, s’il en a fait une sur-spécialité. 

                Je ne suis qu’un amateur passionné de biologie. Rien d’autre. Et je prends soin de ma santé. Et, à partir d’un certain âge, c’est un très bon investissement que de s’intéresser à sa santé. Vieillir en bonne santé, sans médicament, devrait être possible pour un maximum de personnes. Mais ce n’est pas le cas. Les « piluliers-semainiers » se vendent comme des petits pains.

                Ceci exposé, je dois dire que je ne parle jamais à la légère. Je croise toujours, et tout le temps, les informations que j’obtiens à partir d’études scientifiques et de différentes thèses. Je fais des mises en perspective. Simplement, pour votre information. Ceux qui veulent vérifier ce que je dis, le peuvent. 


              • Cyril22 11 janvier 2023 16:42

                https://michael.loeffler.io/2021/04/stefan-lanka-wissenschaftler-oder-scharlatan/

                ’’Lanka mélange de manière inadmissible des opinions personnelles sans aucune preuve avec des déclarations scientifiques en partie correctes. Pour le lecteur inexpérimenté dans la lecture de textes scientifiques, il peut toujours être difficile de trier correctement les deux et de reconnaître la rhétorique non scientifique dans ses extrapolations’’.

                nous voilà avertis


              • Legestr glaz Legestr glaz 11 janvier 2023 16:47

                @chantecler

                Les virus sont des artefacts produits par la « méthode » utilisée pour les rechercher. Ils sont confondus avec les vésicules extra cellulaires et les exosomes, appelés aussi « virus non infectieux », c’est dire. Jamais de procédure « contrôle » en double aveugle n’a été réalisée concernant ce protocole d’isolement et de purification des « virus ». C’est quand même ballot après plusieurs décennies. Oui, la « théorie virale » est fausse. 

                Et concernant votre question. Le « stress oxydatif » est une conséquence. L’organisme humain produit toujours des molécules oxydantes. D’une part, lors de la production d’ATP dans les mitochondries, d’autre part, par les macrophages qui utilisent ces oxydants pour éliminer les agents pathogènes, même ceux issus de la pollution atmosphérique. La production d’oxydants par l’organisme est compensée par la production d’une quantité équivalente d’anti-oxydants. Mais certains « phénomènes » accentuent le stress oxydatif et déséquilibrent la balance « redox » de l’organisme, et les problèmes s’accumulent. Sur du temps long apparaissent les maladies métaboliques et les cancers. 
                Ces phénomènes, qui provoquent une augmentation du stress oxydatif sont de 2 ordres : 
                 Des erreurs alimentaires (trop de glucose, trop de céréales). Ces erreurs alimentaires provoquent une augmentation du stress oxydatif.
                 Un environnement défavorable (pollution, pesticides, insecticides). La pollution provoque aussi une augmentation du stress oxydatif. 

                Le cumul des deux entraine la barque par le fond. Mettez un bol en plastique sur l’eau : il flotte. Versez de l’eau dedans. Il va flotter jusqu’à un certain point. Mais une « dernière goutte » pourra faire couler ce récipient. Notre système anti-oxydant fonctionne de la même manière. Jusqu’à un certain point il peut faire face mais, devant l’accumulation du stress, il cède.

                Le stress oxydatif, dans l’organisme, est à l’origine de l’oxydation des LDL (ces transporteurs d’acides gras et de cholestérol). Ces LDL oxydées échouent sur la paroi des vaisseaux sanguins et petit à petit, progressivement, commencent à former un étranglement quelque part dans le réseau vasculaire. Le sang circule moins bien, apporte moins d’oxygène aux cellules qui en ont besoin. La pression pour la filtration glomérulaire devient insuffisante. L’organisme se doit de réagir et émet des molécules qui « augmentent » la tension artérielle. C’est comme un tuyau d’arrosage. Si vous écrasez le tuyau, le débit de l’eau sera réduit. Pour augmenter ce débit vous aurez 2 solutions. Soit d’éliminer le point d’écrasement, soit d’ouvrir plus grand le robinet d’arrivée d’eau, ou de faire pression, près de la sortie du tuyau, pour augmenter la pression de sortie. Il se passe, grosso modo, la même chose dans notre organisme. Ainsi, ’hypertension signale que, quelque part dans l’organisme, des LDL oxydées empêchent le sang de circuler normalement. C’est le début des ennuis. Et comme pratiquement jamais les erreurs alimentaires ne sont corrigées, les maladies progressent et les vendeurs de médicaments s’engraissent. Ces médicaments ne guérissent jamais personne mais, au moins, soulagent des douleurs et permettent de durer un peu plus longtemps, mais toujours en moins bonne santé. Je vous assure, on peut faire mieux pour sa santé, tout en continuant à se faire plaisir.
                Chantecler, je consulte de 10h00 à 12h00. 

                PS : les polluants peuvent être éliminés par « oxydation ». Notre organisme utilise aussi cette méthode, sachez le : 

                ... «  Oxydation des polluants

                Les oxydants les plus couramment utilisés sont l’ozone, le peroxyde d’hydrogène, l’hypochlorite, le chlore et le dioxyde de chlore (il s’agit donc d’oxydants liquides et gazeux).

                Ce procédé permet d’aboutir à la destruction des polluants (aboutissant à la transformation en eau, gaz carbonique et sels) ou à la formation de sous-produits de dégradation généralement plus biodégradables ou moins toxiques. »...


              • Legestr glaz Legestr glaz 11 janvier 2023 16:52

                @Cyril22

                D’une part, le lien ne fonctionne pas. D’autre part, qui est Michael Loeffler ? Il parle d’or ?
                Stefan Lanka est biologiste, c’est certain. Et Michael Loeffer ?


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 11 janvier 2023 18:39

                @Legestr glaz
                tous,
                 
                La notion de ’malades non symptomatiques’ est le corolaire dun test bidon lequel devient par le fait, une pétition de principe. Si le test est positif, eurêka, les virus existent, la preuve, le patient est infecté ; s’il est négatif : cocorico, le patient n’est pas infecté.
                C’est typiquement un raisonnement infalsifiable.
                 
                « Un raisonnement infalsifiable devient autovalidant. Clos sur lui-même, ce qui est la définition de l’idiotie  » Amélie Nothomb in « Les aérostats »


              • Cyril22 11 janvier 2023 18:42

                @Legestr glaz
                Pourtant le lien fonctionne, j’ai réessayé avec deux navigateurs différents. Il s’agissait d’analyser un type de ’’discours’’ qui mêle des faits scientifiques et des extrapolations en fonction d’une croyance préétablie. .

                Regardons l’avis à propos des virus d’un ’’référent’’ que vous ne récuserez pas je pense, dans un article sur le présent site : Christian Perrone (il s’agissait en l’occurrence d’une déclaration contre les vaccins à ARN)
                extrait :’’... le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence’’ (c’était il y a deux ans, l’annonce était alors un peu prématurée, mais l’endémisation du covid semble désormais effective.


              • Legestr glaz Legestr glaz 11 janvier 2023 18:53

                @Cyril22
                Le rebond est simplement un autre épisode de pollution. Pourquoi faire « compliqué » lorsqu’il est possible de faire simple ?

                Avez vous prêté attention aux inversions thermiques ?

                Qui est Michael Loeffler ? (le lien ne fonctionne pas avec safari).


              • Legestr glaz Legestr glaz 12 janvier 2023 09:25

                @chantecler

                La pollution de l’air est l’un des plus grands risques environnementaux pour la santé et elle a un impact sur les systèmes de défense innés et adaptatifs des poumons. Un polluant majeur dans l’air est la matière particulaire polluante (PM), un composant complexe composé de carbone élémentaire et de métaux lourds.


                Des études épidémiologiques ont démontré une association entre des niveaux accrus de particules de pollution de l’air ambiant et la morbidité et la mortalité humaines


                La pollution de l’air ambiant est classiquement composée de particules (PM) et de plusieurs gaz, dont l’ozone (O 3), les composés organiques volatils (COV), le monoxyde de carbone (CO) et les oxydes d’azote (NOx). Les PM sont un composant majeur de la pollution de l’air, composé principalement de carbone organique et élémentaire, de métaux et d’hydrocarbures aromatiques polycycliques, et ont des associations bien documentées avec de graves effets néfastes sur la santé à court et à long terme.


                La production d’oxydants, soit directement par les particules de pollution atmosphérique, soit par la réponse de l’hôte aux particules, semble être fondamentale dans les effets biologiques observés après exposition aux particules (PM). Cependant, les composants et mécanismes précis responsables du stress oxydatif suite à l’exposition aux PM restent à définir.

                La pollution de l’air est un important facteur de risque pour la santé et est associée à un risque élevé de décès prématuré dû à des maladies cardiovasculaires (p. ex., cardiopathie ischémique, maladie pulmonaire obstructive chronique, asthme, infections des voies respiratoires inférieures et cancer du poumon).


                -La génération directe d’oxydants par les particules de pollution atmosphérique est attribuée aux composants organiques et métalliques. Les composés organiques génèrent un stress oxydatif par le cycle redox des radicaux à base de quinone, par la complexation du métal entraînant le transport d’électrons et par l’épuisement des antioxydants par des réactions entre les quinones et les composés contenant des thiols. Les métaux soutiennent directement le transport des électrons pour générer des oxydants et diminuent également les niveaux d’antioxydants. 

                  - En plus de la génération directe d’oxydants par les composants organiques et métalliques, les réponses cellulaires contribuent au stress oxydatif après l’exposition aux PM. La production d’espèces réactives de l’oxygène (ROS) se produit dans les mitochondries, les membranes cellulaires, les phagosomes et le réticulum endoplasmique. Le stress oxydatif suivant l’exposition aux matières particulaires polluantes déclenche une série de réactions cellulaires qui incluent l’activation des cascades de kinases et des facteurs de transcription et la libération de médiateurs inflammatoires, qui conduisent finalement à des lésions cellulaires ou à l’apoptose.


                  Par conséquent, le stress oxydatif dans les cellules et les tissus est un mécanisme central par lequel l’exposition aux matières particulaires polluantes entraîne des blessures, des maladies et la mortalité. En plus de la génération directe d’oxydants par les composants organiques et métalliques, les réponses cellulaires contribuent au stress oxydatif après l’exposition aux matières particulaires polluantes.



                Les matières particulaires polluantes -PM-, sont un polluant majeur dans la pollution de l’air qui contient principalement des métaux lourds élémentaires. 

                En résumé, l’exposition aux particules et aux métaux lourds des macrophages alvéolaires favorise initialement la production de cytokines pro-inflammatoires pour éliminer les stimuli nocifs par une inflammation locale. Cependant, une exposition persistante aux PM et aux métaux lourds entraîne un dysfonctionnement des macrophages, y compris une diminution de la phagocytose, une diminution de l’efférocytose et une augmentation de l’apoptose ; ces effets augmentent également la vulnérabilité des voies respiratoires


                Une exposition prolongée aux matières particulaires pollutantes et aux métaux lourds favorise également la production de cytokines M2 dans les voies respiratoires, ce qui entraîne d’autres réactions allergiques dans les voies respiratoires. De plus, l’hyper-réactivité des voies respiratoires induite par l’exposition aux matières particulaires polluantes a été démontrée dans une étude récente. 


                Pris en considération, les macrophages alvéolaires ont un rôle important dans le développement de l’inflammation pulmonaire induite par l’exposition aux matières particulaires polluantes et aux métaux lourds dans les études in vitro.



              • chantecler chantecler 12 janvier 2023 09:40

                @Legestr glaz
                Vous êtes, avec vos tautologies , aussi collant que l’était fifi dans son domaine politique .
                Adressez- vous à d’autres que moi , pour développer vos immenses connaissances biochimiques et pour démontrer in fine que la pollution c’est pas bon pour la santé et que les virus n’existent pas .
                Vous faites partie des gens ici qui me font prodigieusement chier, en balançant vos commentaires obsessionnels en permanence et sur n’importe quel prétexte .
                Si cela vous passionne , donnez de votre temps dans les universités populaires où vous intéresserez certainement les amateurs mais où vous risquez d’en trouver quelques uns qui vous remettront en place .
                merde .


              • Legestr glaz Legestr glaz 12 janvier 2023 10:12

                @chantecler

                Ce n’est pas parce que vous êtes ignorant dans ce domaine de la pollution atmosphérique et de ses effets sur la santé que cela n’existe pas.

                Par manque de connaissances vos possibilités de réflexion sont réduites et vous êtes dans l’obligation d’avaler la doxa dominante sans pouvoir engager la réflexion appropriée. Vous êtes dans une « croyance » c’est à dire que vous n’avez jamais pris le temps d’examiner les faits. Rien d’autre.
                Qu’est-ce qu’un « opinion » ? C’est une affirmation n’ayant pas été soumise à un examen critique. Elle est reçue pour vraie sans que l’esprit se soit préoccupé de savoir si cet énoncé est vrai ou faux.

                Ce n’est pas parce que mon post s’adresse à « chantecler » qu’il ne peut pas être lu par d’autres personnes. Mon but, ici, est simplement « d’informer », pas de convaincre. Je « source » mes posts et chacun engage la réflexion qu’il veut, ou pas. Si d’aucuns veulent rester dans leur « croyance », cela ne me choque pas.

                 ... " Les tempêtes de poussière peuvent provenir de nombreuses zones arides du monde et avoir un effet non seulement sur la santé humaine dans les zones arides elles-mêmes, mais également dans les environnements sous le vent, y compris certains grands centres urbains, tels que Phoenix, Kano, Athènes, Madrid, Dubaï, Jedda, Téhéran , Jaipur, Pékin, Shanghai, Séoul, Taipei, Tokyo, Sydney, Brisbane et Melbourne. Dans certaines parties du monde, des tempêtes de poussière se produisent fréquemment tout au long de l’année.

                Elles peuvent transporter des matières particulaires, des polluants et des allergènes potentiels sur des milliers de kilomètres depuis leur source.
                Les principales sources comprennent le Sahara, l’Asie centrale et orientale, le Moyen-Orient et certaines parties de l’ouest des États-Unis. Dans certaines parties du monde, mais pas dans toutes, la fréquence des tempêtes de poussière change en réponse à l’utilisation des terres et aux changements climatiques, et dans ces endroits, les conséquences sur la santé peuvent devenir plus graves.

                Les données sur les charges PM10 et P2,5 des événements poussiéreux sont discutées, ainsi que divers polluants (métaux lourds, pesticides, etc.) et composants biologiques (spores, champignons, bactéries, etc.).

                Les charges particulaires peuvent dépasser de loin les niveaux sains.

                Parmi les effets des tempêtes de poussière sur la santé humaine figurent les troubles respiratoires (y compris l’asthme, la trachéite, la pneumonie, la rhinite allergique et la silicose), les troubles cardiovasculaires (y compris les accidents vasculaires cérébraux), la conjonctivite, les irritations cutanées, la méningite à méningocoque, la fièvre de la vallée, les maladies associées à la prolifération d’algues toxiques et à la mortalité. et les blessures liées aux accidents de transport.

                Février 2014

                https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24275707/


              • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 12 janvier 2023 11:04

                @chantecler
                 
                 ’’Vous êtes, avec vos tautologies ... ’’
                >
                la tautologie elle est dans la théorie virale, qui est typiquement une pétition de principe :
                 P1 les virus sont responsables des maladies, la preuve est fournie par un un résultat positif au test PCR des personnes malades.
                 P2 si un test PCR est positif sur une personne sans symptômes, elle est déclarée infectée asymptomatique.
                 
                C’est aussi simple que ça.


              • Legestr glaz Legestr glaz 12 janvier 2023 12:20

                @Francis, agnotologue

                Une majorité de personnes ignore que les « données » concernant les « virus » sont obtenues à la suite de recherches « in vitro » et non « in vivo », et que, par ailleurs, cette majorité n’a probablement jamais entendu parler du terme « in silico ». 

                Voici donc deux « qualificatifs » qui concernent les « virus » : « in vitro » et « in silico ».
                Nous sommes à des années lumières de la recherche scientifique qui examine le vivant. C’est une dérive lamentable mais qui sert de puissants intérêts. 

                En lien l’étude « scientifique » de l’équipe de Na Zhu, qui, la première, a « isolé », « purifié » et « séquencé » le SARS-COV-2. Cette étude a été citée un nombre impressionnant de fois : 26.683 (c’est énorme). C’est certes compliqué à comprendre mais il est facile de constater que le « virus » a été « cultivé » in « vitro », après une suite de manipulations chimiques importantes. Le séquençage a été effectué « in silico ». Des « amorces » « spécifiques » ont été « conçues » pour le PCR. 

                Voilà où nous en sommes de la rigueur « scientifique ». Sans « culture » préalable, « in vitro », les « virus » sont introuvables dans les sécrétions humaines, dans le sang, dans la lymphe. Personne ne se pose la question de savoir si ce n’est pas tout « l’arsenal chimique » utilisé « in vitro » qui produit l’effet « cytopathique » observé. 

                https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31978945/


              • Legestr glaz Legestr glaz 12 janvier 2023 15:28

                @chantecler

                ... "De vastes études de cohorte de population ont indiqué une association entre l’exposition aux particules et la morbidité et la mortalité cardiopulmonaires.

                L’inhalation de particules et de gaz toxiques de l’environnement a un impact sur les systèmes de défense innés et adaptatifs du poumon.

                Les macrophages pulmonaires jouent un rôle extrêmement important dans la reconnaissance et le traitement de tout corps étranger inhalé tel que des agents pathogènes ou des particules.

                Les macrophages alvéolaires et les cellules épithéliales pulmonaires sont les cellules prédominantes qui traitent et éliminent les particules inhalées des poumons.
                En coopération, ils produisent des médiateurs pro-inflammatoires lorsqu’ils sont exposés à des particules atmosphériques. Ces médiateurs produisent des réponses inflammatoires intégrées locales (poumons, contrôlés principalement par les cellules épithéliales) et systémiques (moelle osseuse et système vasculaire, contrôlés principalement par les macrophages).

                La réponse systémique entraîne une augmentation de la libération de leucocytes de la moelle osseuse et une production accrue de protéines de phase aiguë à partir du foie, les deux facteurs ayant un impact sur les vaisseaux sanguins et conduisant à la déstabilisation des plaques athérosclérotiques existantes.

                Cette revue se concentre sur les macrophages pulmonaires et leur rôle dans l’orchestration des réponses inflammatoires induites par l’exposition aux polluants atmosphériques.

                Année 2013
                https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24058272/


              • Legestr glaz Legestr glaz 13 janvier 2023 12:30

                @Legestr glaz

                La France est sous l’effet d’une période « dépressionnaire ». La qualité de l’air s’en ressent, la pollution atmosphérique peut s’échapper dans la haute atmosphère. Les consultations pour maladies respiratoires (état « grippal ») sont en chute libre. Il faudra attendre le retour de conditions anticycloniques hivernales pour que le nombre de cas de maladies respiratoires hivernales reparte à la hausse. 

                Santé publique de France. Bulletin épidémiologique grippe, semaine 1. Saison 2022-2023

                Points clés
                • En métropole :
                  • Diminution de l’ensemble des indicateurs de la grippe dans toutes les classes d’âge et dans toutes les régions métropolitaines
                  • Circulation toujours active des virus grippaux et reprise à la hausse possible dans les prochaines semaines
                  • Part des décès grippe élevée chez les 15-44 ans
                https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/grippe/documents/bulletin-national/bulletin-epidemiologique-grippe-semaine-1.-saison-2022-2023

              • Cyril22 10 janvier 2023 11:29

                Trop drôle : la téloche nous informe qu’une pharmacie fabrique son amoxicilline pour enfant, qui est également en rupture de stock. Mais en fait ils ne font que la mise en pilule de poudre du produit achetée en gros. La relocalisation doit concerner la substance active, pas seulement la flaconisation ou pilulisation !

                Selon ce rapport de l’ANSM, il y a des labos en Europe (mais semble-t-il pas en France) fabriquant le principe actif, à partir de constituants ((PEN G et 6-APA) fabriqués hors Europe, majoritairement en Chine !


                • zygzornifle zygzornifle 10 janvier 2023 12:12

                  Un doliprane un cacheton de Merde a tor et un rappel de vaccin anti covid, bienvenue dans un monde qui bouge .......


                  • njama njama 10 janvier 2023 15:49

                    Pas de paracétamol dans la Covid, erreur thérapeutique majeure !

                    Attention, cet article est complexe mais pourtant absolument fondamental pour qui souhaite comprendre que la médecine ne se décrète pas sur les bancs de l’Assemblée Nationale. Non, en cas de Covid, le paracétamol ne doit pas être utilisé « en attendant d’aller mieux », car vous « irez » en vous aggravant. Merci au remarquable Jean Umber, ancien chimiste à l’ENS St Cloud, de nous en démontrer factuellement le mécanisme. On précise immédiatement que les références constantes à wikipédia sont intentionnelles, ce site démontre un sérieux sans faille en matière de chimie. Alors pourquoi l’absurde antienne gouvernementale Doliprane-domicile-dodo peut mener à … Décès ? Bonne lecture…


                    Introduction

                    A la lecture de l’article du 6 janvier 2021 publié par France-Soir (1) : « Le paracétamol aurait-il tué ? » , j’ai voulu approfondir mes propres connaissances à son sujet, et essayer d’étayer de manière plus rationnelle leur thèse, qui, à mon avis, n’allait pas jusqu’au bout des questions posées. Mon étude porte à penser que la paracétamol a favorisé l’apparition de difficultés respiratoires au bout du temps nécessaire pour que la quantité de glutathion cellulaire devienne insuffisante pour gérer le métabolisme d’absorption de l’oxygène. Tout ce qui suit étant connu dès 2018, on peut se demander quel a été le motif (obscur) de l’ordre de prescription du paracétamol, exclusivement à tout autre AINS.par La rédaction de l’AIMSIB | 22 Août 2021

                    lire l’article :

                    https://www.aimsib.org/2021/08/22/pas-de-paracetamol-dans-la-covid-erreur-therapeutique-majeure/comment-page-1/


                    • Cyril22 10 janvier 2023 17:12

                      @njama
                      ils avaient dit à l’époque de prendre du doliprane pour masquer quelques symptômes, mais ça n’a effectivement jamais rien soigné, et prendre quelque médicament que ce soit ’’au cas où’’ apporte juste les effets secondaires.
                      Jadis, on aurait préconisé ’’un bon grog’’, mais à trop abuser ça a aussi des effets néfastes smiley


                    • njama njama 10 janvier 2023 15:53

                      Doliprane : l’or blanc de 2023 ?

                      Un or blanc qui risque de se transformer en scandale sanitaire, genre Mediator... !


                      • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 10 janvier 2023 15:53

                        ’’Pas de paracétamol dans la Covid, erreur thérapeutique majeure !’’

                        ’’on peut se demander quel a été le motif (obscur) de l’ordre de prescription du paracétamol, exclusivement à tout autre AINS’’


                         >

                        Y a-t-il une faute qu’ils n’ont pas commise ?

                         

                         Faute est ici pis dans le sens d’action fautive, condamnable, par opposition à erreur.


                        • Christophe Claudel Christophe Claudel 10 janvier 2023 16:17

                          Article sans grand intérêt et qui ne fait qu’effleurer le sujet.

                          Et surtout qui élude les questions essentielles.

                          Pourquoi un médicament aussi dangereux que la paracétamol, première cause de mortalité par intoxication médicamenteuse en France, continue-t-il d’être systématiquement prescrit en première intention ? Alors qu’il existe beaucoup d’autres analgésiques souvent plus efficaces dans la pharmacopée.
                          Pourquoi lors de l’infection Covid le Ministère a-t-on ordonné aux médecins hospitaliers de renvoyer chez eux les personnes malades qui se présentaient aux urgences des hôpitaux en les déclarant « non prioritaires », comme les vieux, les obèses, les personnes atteintes d’autres maladies chroniques, en leur donnant juste une ordonnance de Doliprane, au lieu de prendre les moyens de les soigner ?
                          Pourquoi dans le même temps a-t-il interdit aux médecins de prescrire les traitements avérés efficaces contre le Covid (et toutes les infections à coronavirus), comme l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine + azithromycine ?
                          Cette pénurie de la molécule miracle sur laquelle on s’atermoie aujourd’hui n’est-elle pas organisée ?

                          On connaît les réponses à ces questions qui soulèvent de graves problèmes d’éthique médicale, de politique de santé publique, de corruption des autorités et de choix de société.

                          On pourrait s’interroger aussi sur l’obstination à prescrire d’autres molécules dangereuses, comme les benzodiazépines dont la France est championne de consommation par habitant. Une classe de médicaments qui a failli être interdite il y a quelques années à cause de leurs redoutables effets secondaires (sans parler de leur inefficacité à soigner les maux pour lesquels on les prescrit), au premier rang desquels la prévalence des suicides parmi les personnes qui en consomment régulièrement. Un retrait d’AMM qui se serait logiquement imposé, si le lobby pharma n’était pas venu à leur rescousse en graissant la patte des institutions de santé corrompues.


                          • Cyril22 10 janvier 2023 17:16

                            @Christophe Claudel
                            ’’benzodiazépines

                            ... une classe de médicaments qui a failli être interdite il y a quelques années à cause de leurs redoutables effets secondaires’’
                            En cas d’interdiction, les aficionados auraient été s’en procurer au point de deal le plus proche, mais sans le remboursement de la sécu.


                          • I.A. 11 janvier 2023 08:32

                            Bonjour Flora M.

                            Relocaliser, oui, c’est très bien. Mais « Doliprane : l’or blanc de 2023 », ça ressemble à un appel d’air, une sorte de battage public autour d’un manque dont on pourrait bien mourir... le manque de médicaments, de gélules, de comprimés, de vaccins, de sirops, de pilules...

                            ... Avant même que d’évoquer le manque de bonne santé, ses causes probables, sa prévention.

                            Des anti-inflammatoires, en veux-tu en voilà :

                            https://www.laboratoire-lescuyer.com/blog/nos-conseils-sante/aliments-anti-inflammatoires-top-10

                            Bien mieux que votre bonbon nommé Poupée-prane dont « une partie entre 10 et 15 % est transformé par le foie en un métabolite qui capte le glutathion et donc diminue d’autant l’immunité naturelle. » (njama, 9 janvier, 19h57)


                            • njama njama 11 janvier 2023 13:19

                              Doliprane : pire que Landru avec les femmes !
                              Chère lectrice, cher lecteur,

                              Vous vous souvenez certainement de cette histoire tragique.

                              Quelques jours après Noël, le 29 décembre 2017, Naomi Musenga, une jeune mère de 22 ans, appelle à l’aide le Samu de Strasbourg en se plaignant de très violentes douleurs au ventre[1].

                              Au téléphone, sa voix est très faible. Elle peine à s’exprimer tellement elle souffre.

                              Mais l’opératrice commence par lui dire qu’elle « n’a qu’à appeler SOS Médecins » ! Puis, lorsque Noémie murmure qu’elle est « en train de mourir », l’autre répond sur un ton agacé : « Mais oui, vous allez mourir, comme tout le monde… » 

                              Seulement quelques heures plus tard, Namoie Musenga est effectivement morte, faute d’avoir été soignée à temps.

                              (...)

                              Un petit Landru dans la salle de bains !!

                              Un suspect dont pourtant, le nom n’a été évoqué que du bout des lèvres par les médias : le paracétamol. Le composé chimique qu’on retrouve dans le Doliprane, l’Efferalgan, le Daffalgan, mais aussi l’Actifed ou encore le Fervex.

                              C’est le best seller n° 1 du médicament, un antidouleur qui est dans chaque armoire à pharmacie. Il s’en vend 420 millions de boîtes par an en France et il représente 6 milliards d’euros de chiffre d’affaires pour les multinationales chaque année[3]…

                              Seulement voilà, le paracétamol est AUSSI un médicament qui peut tuer, même à doses…modérées !!! Et ça, on « OUBLIE » tout simplement de vous le dire.

                              C’est une sorte de petit Landru sans moustaches, qu’on continuerait à trouver « sympathique » malgré ses crimes. Alors pardon, mais je dis qu’il est temps de se réveiller !!! 

                              Car voici le vrai « CV » du paracétamol :

                              On connaît depuis 50 ans les dégâts causés au foie par une surdose de paracétamol (plus de 4 g / jour, soit 4 pilules de Doliprane 1000). Une étude d’observation menée dans un service britannique de transplantation du foie a montré que 66% des patients avaient été admis à la suite d’une overdose de paracétamol. [4][5]…

                              (...)
                              Le problème, comme l’explique le Professeur Jean-Paul Giroud, de l’Académie de médecine, est que même en étant extrêmement vigilant, on peut dépasser la dose maximale sans le savoir :
                              « Il existe 200 médicaments qui contiennent du paracétamol, je suis spécialiste des médicaments depuis 50 ans et je suis incapable de tous les citer ».

                              (...)
                              https://www.directe-sante.com/doliprane/


                              • njama njama 11 janvier 2023 15:04

                                Doliprane, Aspirine, même erreur médicale ?

                                Fin XIX°, début XX° siècle l’aspirine (acide acétylsalicylique) était une nouveauté présentée comme une panacée contre toutes sortes de maux. Les grippés ceux de la grippe espagnole) ne mourraient pas d’un virus dévastateur mais de pneumopathies bactériennes secondaires sévères, l’acide acétylsalicylique (aspirine) prescrit à très hautes doses en aurait été in fine l’agent morbide !

                                En somme peut-être la MÉGA-erreur médicale de tous les temps pour cause iatrogénique (?). A décharge de responsabilité pour le corps médical, et de leurs petits facteurs, les effets toxiques n’avaient pas été étudiés à l’époque, pas plus que les effets cancérigènes des aiguilles de radium...

                                Dossier NEXUS : Grippe espagnole

                                Un siècle après, on nous mène toujours en bateau ! Par Kim-Anh Lim
                                Trois études publiées aux États-Unis – le pays, rappelons-le, où la «  grippe espagnole » a débuté en Occident – devraient définitivement mettre fin au mythe d’un virus hyper-virulent venu de nulle part.
                                http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Juin-2013/Grippe_espagnole_Nexus89.pdf



                                • Naëlle Markham Naëlle Markham 15 janvier 2023 13:16

                                  Ce n’est peut-être pas plus mal que le paracétamol vienne à manquer. Je rappelle quand même que ce produit, en vente libre, selon le dosage peut tuer ou, à tout le moyen, provoquer une hépatite fulminante conduisant à l’obligation de procéder à une greffe du foie. Le paracétamol est en France selon les statistiques la première cause de greffe du foie.

                                  Si quelqu’un connait la réponse, je me demande quels essais cliniques ont été faits avant sa mise sur le marché il y a plus de soixante ans. Et je me demande également si le paracétamol passerait la rampe aujourd’hui. Je suppose que oui vu comment d’autres substances autrement délétères ont pu être validées ces dernières années.

                                  http://www.ofma.fr/toxicite-du-paracetamol-sur-le-foie-message-dalerte-desormais-obligatoire-sur-les-boites/

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Flora M


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