@Cyril22
copié-collé : « Je ne pense pas que les chercheurs aient la berlue quand ils analysent ces divers agents, l’application de ’’modélisations’’ est un élément qui entre en jeu dans divers domaines de la science, ce qui n’implique pas que ceci soit de la falsification délibérée. »...
Le « protocole » utilisé par « isoler » et « purifier » les virus date de plus de 60 ans, à l’époque de John Enders. Jamais ce protocole n’a été remis en question. Jamais il n’a fait l’objet d’une étude randomisée en double aveugle (on utilise un prélèvement d’une personne malade et on utilise un prélèvement d’une personne saine. On soumet les 2 prélèvements au même protocole et on observe les résultats. Et bien, ceci n’a jamais été fait ! ).
Et, depuis une vingtaine d’années, de nombreuses études ont mis en avant le rôle des vésicules extra cellulaires.
... « Les VE correspondent à des nanovésicules qui sont dérivées des membranes cellulaires et sont sécrétées dans le milieu extracellulaire. Elles circulent à la faveur des nombreux fluides de l’organisme (sang, lymphe, urine, lait, etc.).
Les vésicules extracellulaires transportent une variété de cargaisons, y compris des ARN, des protéines, des lipides et de l’ADN, qui peuvent être absorbées par d’autres cellules, à la fois à proximité directe de la cellule source et à des sites distants dans le corps via des biofluides, et suscitent une variété de réponses phénotypiques. »...
Lors d’un prélèvement nasopharyngé, celui qui est utilisé pour « rechercher les virus », il est évidement que celui-ci contiendra des vésicules extra cellulaires, obligatoirement. Et le processus d’ultra-centrifugation fera apparaître ces VE dans le « surnageant ». C’est ce « surnageant » qui est utilisé pour « cultiver » les « virus ». Ce « surnageant » contient « obligatoirement » des VE, lesquelles transportent des protéines, de l’ARN et de l’ADN, comme souligné plus haut.
... " Lorsque l’on descend à la taille des nanoparticules et que l’on s’attend à des milliards de particules identiques à ce niveau, il serait logique de supposer que séparer complètement la particule exacte que recherche un virologue de tout le reste de l’échantillon est carrément impossible.
Ainsi, demander aux virologues de purifier et d’isoler complètement les particules “virales” suspectées dans l’échantillon non altéré d’un patient malade peut sembler une tâche herculéenne et une demande injuste.