@Eric F
copié-collé :
« Personne ne conteste l’incidence de la pollution surtout sur les personnes déjà fragiles et concernant l’effet cumulé à long terme, mais celle-ci ne réfute pas ipso facto l’existence et l’action des virus (ni des bactéries mais celles-là vous ne pouvez pas les nier vue leur taille). »
Et bien si parce que la mortalité par la pollution a lieu durant les inversions thermiques, enfin, les pics de pollution.
Vous avez donc le choix de penser que ce sont les « virus » qui tuent ou que se sont les matières polluantes qui tuent. Mais pourquoi diable les « virus » ne seraient-ils pas actifs en dehors des périodes d’inversion thermique, à savoir de forte pollution ?
Vous voulez méconnaitre le principe du rasoir d’Ockham ?
Vous n’avez pas compris, en regardant la carte de la pollution, que si celle-ci est effectivement « intense » en Chine, mais aussi en Lombardie et en Afrique, il faut des conditions météorologiques particulières pour que la pollution reste « capturée » au niveau du sol, enfin dans les quelques centaines de mètres au dessus du sol. Sinon il n’y a pas d’épidémie. Mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de malades ni de morts tout au long de l’année du fait de la pollution.
Faites donc un effort pour comprendre ce qu’est une inversion thermique, comment elle se produit, et pourquoi la pollution est augmenté dans ces conditions.
Quant aux bactéries, leur attaque dans les alvéoles pulmonaires s’appellent une pneumonie. Qui vous parle de nier les attaques bactériennes ??? J’en parle souvent, en citant, d’ailleurs, l’Institut Pasteur. Je pense qu’il y a de nombreuses lacunes dans votre raisonnement pour tenir de tels propos.