Vietnam, Covid et corruption : ça s’est passé loin de chez vous !

@paparazzo
La question des ’’cas positifs’’ pouvait être pertinente au tout début pour déceler les premiers porteurs du virus non (ou non-encore) symptomatiques venus de régions du monde où est apparue la maladie, ou encore dans les tout premiers foyers où la maladie s’est manifestée dans le pays pour tenter de cantonner l’épidémie. Mais il n’y avait alors pas assez de dispositifs de dépistage et les labos d’analyse n’étaient pas prêts.

Dès qu’il est apparu que la maladie s’est répandue sur quasiment tout le territoire (dès fin mars 2020), le dépistage préventif massif n’a plus servi à rien. Seuls alors les malades symptomatiques auraient pu être concerné par un dépistage (avec un coefficient d’amplification raisonnable) afin d’identifier s’il s’agissait bien de cette maladie, mais encore fallait-il alors que ça serve à appliquer un traitement adéquat (ce qu’a proposé notamment Didier Raoult). Notons que le suivi de l’intensité épidémique au niveau national ne nécessite pas de dépistage massif en population, mais se serait satisfait d’un échantillonnage hebdomadaire. On aurait économisé des milliards qui ont creusé la dette.

Les doses de vaccin ’’fournies’’ par des pays du G7 et associés sont vraiment des ’’dons’’, il y avait un mécanisme de financement (dispositif covax), et les labos ont justement cherché à ne pas livrer directement dans ce cadre. Le côté ’’intéressé’’ était de faire régresser globalement la maladie dans le monde et éviter de nouveaux variants (ce qui a été utopique pour ce type de maladie). Certains pays en ont profité pour refourguer des vaccins dont ils ne voulaient plus (dont Astrazénéca). La charité des ’’dames patronesses’’ de Brel !

Sur la question subsidiaire : qui paie les fournitures d’armes occidentales à l’Ukraine ? concernant les pays européens, c’est sensé être l’UE qui dédommage les pays qui envoient des armes, parfois il y a un deal de remplacement avec les américains (certains pays livrent des vieux coucous déclassés). Des fonds sont également alloués à l’Ukraine pour acheter ailleurs. Donc Kiev ne paiera rien, pas même avec la simple gratitude, car il n’est jamais satisfait.
(quand on dit que c’est l’UE qui paye, c’est donc les pays contributeurs -comme la France-, qui paient indirectement pour les autres). 

[Noter que pour sa part, la France avait remboursé la totalité des armes achetés à l’extérieur lors de la première guerre mondiale, même après que les indemnités dues par l’Allemagne aient été suspendues (elle n’a payé que 17% des réparations du traité de Versailles, chose peu connue). On s’est souvent fait avoir au cours de l’histoire 

@Eric F

Et pendant ce temps là, les cheminées des usines fument comme les pots d’échappement. Et, malheureusement, pas de test pour déterminer les cas positifs à l’intoxication par la pollution. Juste des nez qui coulent, des maux de gorges, des céphalées, de la fièvre, des difficultés à respirer, parfois des AVC, des détresses respiratoires, des arrêts cardiaques, des embolies pulmonaires, des thromboses, mais toujours pas de test, c’est ballot.

On se pose vraiment la question de savoir à quel moment de l’année décèdent ces 48.000 personnes victimes de la pollution en France ? Elles se font très discrètes. Elles restent tout autant invisibles durant les pics de pollution qui, pourtant, provoquent un afflux considérables de malades dans les hôpitaux.

@Legestr glaz
Les facteurs de maladies respiratoire s’additionnent : mauvais état de santé, pollution, agents biologiques pathogènes, et on peut rapprocher leur effet de l’adage employé pour les heures de la vie : ’’toutes blessent la dernière tue’’.

De manière générale, si on comptabilise les décès impliquant chaque type de cause, on aboutira à plusieurs fois le nombre total de décès dans le pays, car à part les meurtres, la plupart des décès cumulent différentes causes. C’est pourquoi les études indiquent souvent la ’’cause principale’’
Dans ce tableau général (moyenne consolidée entre 1990 et 2017), les maladies du système respiratoire représentent un peu moins de 45 000 décès par an sur 600 000, mais hors tumeurs et hors impact circulatoire.

@Eric F

Je me demande combien de temps il vous faudra pas être lucide ?

Examinez tranquillement la figure 1 de l’article sur la mortalité covid19 par région en France. La façade atlantique est préservée comparativement à d’autres régions.
Question : est-ce le fait d’une « moindre circulation du virus » ou d’une moindre pollution sur la façade atlantique ?

Quant à l’Allemagne la région bavaroise est la région la plus durement touchée par le covid19. Une fois encore, est-ce une circulation « plus importante » du virus ou est-ce des niveaux de pollution plus dense dans cette région allemande (conjugués à des inversions thermiques) ?

Mais c’est vrai, Eric F, lorsque l’on ne veut pas, on ne veut pas ! 

https://theconversation.com/geographie-de-la-mortalite-due-au-covid-19-en-france-et-en-allemagne-141235

... « Le taux de particules fines est actuellement très élevé en Europe et en Bavière.

Comme au lendemain de la Saint-Sylvestre, les conditions météorologiques ont pour conséquences que les particules restent en suspension dans l’air. Cette fois, elles ne sont pas dues à un phénomène aussi exceptionnel que les feux d’artifices mais à une pollution récurrente. Il s’agit essentiellement de la pollution engendrée par le trafic routier (surtout les moteurs diesel) et par les installations de chauffage. Le froid engendre une consommation accrue de chauffage par les particuliers et augmente ainsi la pollution. 

L’autre explication du smog omniprésent au-dessus de nos têtes réside dans l’absence de vent qui ne disperse pas les microparticules présentes dans l’air. Enfin, depuis plusieurs jours, Munich est couverte d’une couche d’inversion, c’est-à-dire une plaque d’air froid qui, en restant au niveau du sol, emprisonne particules et humidité. »..

https://lepetitjournal.com/munich/pollution-atmospherique-le-taux-de-particules-fines-est-preoccupant-115279

Par ailleurs, je vous laisse consulter ce site de « Ventusky.com », qui détaille les niveaux de pollution atmosphère (PM2,5 ; PM10) dans le monde, avec, à choix, focus sur une région particulière. Ainsi, vous pourrez suivre les évolutions des maladies respiratoires hivernales en fonction des niveaux de pollution. Et les « pics » correspondront avec les épidémies. 

https://www.ventusky.com/?p=47.3 ;5.8 ;4&l=pm25

@Legestr glaz

Suite....

Et concernant le tableau que vous proposez, et que je connais, il occulte totalement le fait que la pollution atmosphérique est à l’origine d’un nombre prodigieux de maladies cardio-respiratoires (AVC ; arrêt cardiaque ; trombe-embolies,etc). Et lorsque ces causes de décès sont inventoriées rien ne les rattachent à la pollution atmosphérique. C’est donc absolument contreproductif d’examiner de tels tableaux qui ne considèrent pas la cause première de la maladie.

... « L’effet de la pollution atmosphérique sur les maladies cardiovasculaires est maintenant bien établi. Les études récentes ont montré que l’exposition aux polluants externe en aigu comme à long terme, augmente la mortalité cardiovasculaire, le nombre d’accidents coronariens, d’insuffisances cardiaques, d’arrêt cardiaques, et certain troubles du rythme. Les études récentes ont montré que l’exposition aux polluants externes en aigu comme à long terme, augmente la mortalité cardiovasculaire, le nombre d’accidents coronariens, d’insuffisances cardiaques, d’arrêts cardiaques, et certains troubles du rythme. Les polluants en cause sont essentiellement les NO, NO2, SO2, O3, CO et les particules fines (PM2,5 et PM10). 

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0001407919300585

Eric F, ne regardez pas les choses avec le petit bout de la lorgnette. Prenez un peu de hauteur. La »hauteur de vue" est une valeur sure. 

@Legestr glaz

Concernant les maladies cardio-respiratoires et la pollution, une excellente étude.

... " Les preuves disponibles sur les effets de la pollution de l’air ambiant sur les maladies cardiovasculaires (MCV) ont considérablement augmenté. Dans cette revue générale, nous avons résumé les données épidémiologiques actuelles issues de revues systématiques et de méta-analyses établissant un lien entre la pollution de l’air ambiant et les maladies cardiovasculaires, en mettant l’accent sur les différences géographiques et les sous-populations vulnérables.

Nous avons effectué une stratégie de recherche dans plusieurs bases de données, y compris des articles entre 2010 et le 31 janvier 2021. Nous avons effectué une évaluation de la qualité et évalué la force des preuves. Sur les 56 revues incluses, les critères de jugement les plus étudiés étaient les accidents vasculaires cérébraux (22 revues), la mortalité par MCV toutes causes confondues et la morbidité (19). Les preuves les plus solides ont été trouvées entre une exposition plus élevée à la pollution de l’air ambiant à court et à long terme et la mortalité et la morbidité cardiovasculaires toutes causes confondues, les accidents vasculaires cérébraux, la pression artérielle, et les cardiopathies ischémiques (CI).

Expositions à court terme aux particules <2,5 μm (PM2,5 ), <10 μm (PM 10 ) et les oxydes d’azote (NO x ) étaient systématiquement associés à des risques accrus d’hypertension et de déclenchement d’infarctus du myocarde (IM) et d’accident vasculaire cérébral (mortel et non mortel).

Expositions à long terme aux PM 2,5étaient largement associés à un risque accru d’athérosclérose, d’IM incident, d’hypertension, d’accident vasculaire cérébral incident et de mortalité par accident vasculaire cérébral.

Peu de revues ont évalué d’autres issues cardiovasculaires, notamment les arythmies, la fibrillation auriculaire ou l’insuffisance cardiaque, mais elles ont généralement fait état d’associations statistiques positives. Des associations plus fortes ont été trouvées dans les pays asiatiques et les sous-populations vulnérables, en particulier chez les personnes âgées, les patients cardiaques et les personnes ayant un poids plus élevé.

Conformément aux données expérimentales, cette revue globale complète a trouvé des preuves solides que des niveaux plus élevés de pollution de l’air ambiant augmentent le risque de maladies cardiovasculaires, en particulier la mortalité par maladies cardiovasculaires toutes causes confondues, les accidents vasculaires cérébraux et les cardiopathies ischémiques.

Ces résultats soulignent l’importance de réduire les niveaux alarmants de pollution de l’air dans le monde, en particulier en Asie, et parmi les sous-populations vulnérables.

Juin 2022 : Ambient air pollution and cardiovascular diseases : An umbrella review of systematic reviews and meta-analyses

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35138681/

@Legestr glaz
Etre lucide, c’est de prendre en considération l’ensemble des éléments, non pas se focaliser sur une tocade.
Pour le covid, la propagation vers l’Ouest et le Sud de la première vague a été contenue en nous recluant à domicile. Mais ces régions ont été été touchées par les vagues suivantes, certes moins mortelles (*), et cette année l’épidémie de grippe a commencé dans l’Ouest, peu pollué.

La pollution est un facteur favorisant et aggravant, c͇o͇m͇m͇e͇ ͇d͇’͇a͇u͇t͇r͇e͇s͇. Ainsi le froid entrave l’action de combat des agents pathogène au niveau nasal ’’quand il fait froid, la muqueuse nasale est particulièrement sollicitée pour réchauffer l’air que l’on respire, ce qui conduit à une perte d’eau (...) et un assèchement de la muqueuse. Cette dernière est donc fragilisée et les capacités immunitaires locales sont réduites’’ Je crois me souvenir que vous aviez évoqué l’an dernier ce type de mécanisme immunitaire, avant de vous convertir au dénialisme du virus.

(*) L’exemple chinois nous montre que le confinement a un effet momentané pour entraver la diffusion épidémique, mais finit par se payer en terme d’absence d’immunisation naturelle.

— — —

Et faites un zoom arrière sur votre très intéressante carte de la pollution par microparticules : la plus forte concentration se trouve en Chine et Inde et jusqu’au tiers nord de l’Afrique !!!

copié-collé : « Et faites un zoom arrière sur votre très intéressante carte de la pollution par microparticules : la plus forte concentration se trouve en Chine et Inde et jusqu’au tiers nord de l’Afrique !!! »

Certes, mais il faut des conditions atmosphériques particulières pour que les particules polluantes ne puissent pas s’échapper vers la haute atmosphère, ce qu’elles font généralement, sauf...en période d’inversion thermique.

Et vous savez quoi ? La pollution est bien plus meurtrière en Asie et en Afrique qu’en Europe.

Renseignez vous avant d’écrire des contrevérités.

Les particules fines sont responsables d’au moins un quart de la mortalité dans une demi-douzaine de pays, tous en Asie.

https://www.geo.fr/environnement/la-pollution-de-lair-ampute-lesperance-de-vie-surtout-en-asie-du-sud-etude-195155

En Afrique subsaharienne, le taux de mortalité liée à la pollution de l’air est de 155 décès pour 100 000 personnes, soit près du double de la moyenne mondiale (85,6), a expliqué le HEI dans un rapport

https://www.agenceecofin.com/sante/0705-56709-la-pollution-de-l-air-tue-pres-d-un-million-d-africains-chaque-annee-selon-l-oms

@Eric F

Lors de l’épidémie covid19 en France, les chiffres ont montré que certaines régions françaises présentaient une moindre mortalité que d’autres. La Bretagne, et toute la façade atlantique française en général, avait à déplorer un nombre de morts bien moins important que la région parisienne ou que les régions de l’Est, par exemple. La mortalité a été 4 fois supérieure en Ile de France qu’en Bretagne.

Devant cette « réalité », certains ont avancé certaines hypothèses. Les Bretons étaient-ils plus résistants aux virus ? Les Bretons avaient-ils une meilleure santé que les habitants d’autres régions ? Compte tenu des mesures de confinement prises, le virus a t-il été empêché de se propager ? La Bretagne ne serait pas un lieu de passage ? Bref, des supputations multiples pour tenter d’expliquer ce que l’on ne parvenait pas à comprendre. Je parle ici de « mortalité » et non « de cas positifs ». En effet, lors de cette période covid9, nous sommes entrés dans une dimension nouvelle : l’on pouvait être malade sans le savoir, sans présenter aucun symptôme, aucun dysfonctionnement, même léger, sans aucun désagrément. C’est un « test positif  » qui validait l’idée que nous étions malades. Le « docteur Knock » n’était pas loin : « tout bien portant est un malade qui s’ignore  ». Il est impératif de comparer ce qui est comparable. Comparer une mortalité avec une autre est une chose simple à comprendre. En revanche, comparer un nombre de « cas positifs » avec un autre nombre de « cas positifs » pose la question « centrale » de savoir combien de personnes ont été testées. En effet, lors de la maladie covid19, plus le nombre de personnes qui étaient testées était important et plus le nombre de cas positif s’élevait. Comme l’a souligné Pierre Chaillot : « nous avons assisté à une épidémie de tests ».

Finalement, la solution à cette « énigme » d’une moindre mortalité en Bretagne, et sur la façade atlantique, est venue de la consultation des conditions météorologiques régnant dans ces régions. Il se trouve que la pollution y est moins importante, généralement. Une étude scientifique, du mois de juillet 2022, est venue confirmer le rôle exceptionnel que joue la pollution atmosphérique dans l’émergence des maladies respiratoires hivernales (16). « Relation entre la pollution PM2,5 et la mortalité liée au Covid-19 en Europe de l’Ouest pour la période 2020-2022 ».

La conclusion des auteurs est celle-ci  :

... « Cette étude a confirmé que la pollution PM2.5 est d’une importance majeure pour la santé humaine. Bien que l’effet direct de la pollution sur la santé soit bien établi, il montre que les PM2,5 ont également un fort effet indirect sur la mortalité du Covid-19 via l’inhalation et des facteurs irritants. »...

Une autre étude, américaine cette fois, d’avril 2020, montre très exactement la même chose (17). « Pollution de l’air et mortalité par COVID-19 aux États-Unis : forces et limites d’une analyse de régression écologique. »

… « Nous avons constaté qu’une augmentation de seulement 1 μg/m 3 des PM 2,5 est associée à une augmentation de 8 % du taux de mortalité lié à la COVID-19. Les résultats étaient statistiquement significatifs et robustes aux analyses secondaires et de sensibilité. »...https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35901896/https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7277007/

Eric F

Vous envoyez quand même du lourd avec ceci : « L’exemple chinois nous montre que le confinement a un effet momentané pour entraver la diffusion épidémique, mais finit par se payer en terme d’absence d’immunisation naturelle. »

Propagande « pur jus  ». Il n’existe pas « d’immunisation naturelle ». Soit notre système immunitaire est « compétent », soit il ne l’est pas. Les personnes « saines » ne tombent pas malades, ou très peu, et surtout ne meurent pas. Les personnes « saines » ont un système immunitaire qui leur permet de surmonter les épisodes de pollution augmentée. Les personnes au système immunitaire diminué, parce des mécanismes de défense font défaut, se défendent moins bien. 

Ce sont toujours les mêmes profils de personnes qui sont les principales victimes des maladies respiratoires hivernales. « L’immunisation naturelle » est une supercherie parce qu’elle n’a jamais été démontrée.

 Eric F, vous êtes bien dans le fil de la « désinformation ». Tout commence par la protection des voies respiratoires supérieures.

L’ASL, vous connaissez ? Le liquide de surface des voies respiratoires. Contrairement au « mucus » il est appauvri en glucides. Mais chez les personnes « sensibles », il est riche en glucose. Et c’est la « panne » de l’Escalator ! Parce que « l’Escalator mucociliaire » montre des signes de faiblesse, chez les diabétiques, les hypertendus, les insuffisants rénaux, les obèses, enfin, ceux qui tombent gravement malades de maladies respiratoires et qui en meurent. Hélas, chez eux, aucun « immunisation naturelle ». L’organisme humain ne fonctionne pas comme ça. 

@chat maigre

Merci. 

Je viens de rédiger et de terminer un article sur l’origine des maladies respiratoires hivernales. Il est relativement détaillé et, sans doute, un peu long parce que toutes les explications doivent être posées. Je le relis et je le propose à la modération.

Point particulier. Les mécanismes de défense des voies respiratoires, supérieures et inférieures, opérationnels, sont importants pour se prémunir des attaques des agents pathogènes. Lorsque j’écris « agents pathogènes », je pense agents pathogènes et non « virus ». 
Il se trouve que les diabétiques, les malades des coronaires, les hypertendus, les malades cardiaques, les obèses, ont la particularité de présenter un ASL (acronyme anglais pour liquide de surface des voies respiratoires) riche en glucose parce que, malheureusement, leur glycémie constamment élevée empêche l’organisme de moduler à la baisse la présence de glucose dans cet ASL. Je comprends bien que c’est assez « technique ». Ce « dysfonctionnement » nuit non seulement au bon fonctionnement de l’escalator mucociliaire mais, par ailleurs, « propose » aussi un « habitat » riche en glucose aux bactéries commensales qui se développent facilement à cet endroit. Le mécanisme de défense de première ligne des voies respiratoires est endommagé et ouvre la porte aux « invasions » d’agents pathogènes.

On peut trouver cette information dans l’étude scientifique ci-dessous (par exemple, mais ce n’est pas la seule à évoquer ce sujet).

«  L’appauvrissement en glucose dans le liquide de surface des voies respiratoires est essentiel à la stérilité des voies respiratoires  »

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3029092/

Court extrait : ... «  Baker et al. [10]ont montré que la concentration de glucose dans l’ASL est augmentée chez les hyperglycémiques non diabétiques et diabétiques, et chez l’homme atteint de mucoviscidose (FK). Dans d’autres études, le même groupe a démontré que la détection de glucose dans les aspirations bronchiques de patients intubés était corrélée au risque d’infection à SARM et que le glucose dans les sécrétions nasales d’humains atteints de diabète lié à la mucoviscidose facilitait la croissance de Staphylococcus aureuset de Pseudomonas . aérugineux].
Le diabète sucré prédispose l’hôte aux infections bactériennes. De plus, l’hyperglycémie s’est avérée être un facteur de risque indépendant d’infections respiratoires. La surface lumineuse des épithéliums des voies respiratoires est recouverte d’une fine couche de liquide de surface des voies respiratoires (ASL) et est normalement stérile malgré une exposition constante aux bactéries. L’équilibre entre la croissance bactérienne et la destruction dans les voies respiratoires détermine le résultat de l’exposition aux bactéries inhalées ou aspirées : infection ou stérilité. »...

@Legestr glaz
Vous décrétez unilatéralement qu’il n’existe pas d’immunisation acquise naturellement par contact avec l’agent infectieux, décidément vous vous enfoncez dans l’obscurantisme.
Il ne s’agit pas d’une barrière immunitaire étanche, mais d’une plus grande robustesse face à tel agent infectieux. Une population n’ayant jamais été en contact est plus sensible, l’un des cas connus est la population amérindienne décimée par les maladies apportées par les premiers colons.

Concernant les autres facteurs (état général du patient, conditions de température, pollution), inutile de vous égosiller ou de jouer au donneur de leçon, oui, ils ont une influence, j’en ai toujours convenu. Comme un vieil arbre malade est attaqué plus facilement par les nuisibles.

@chat maigre

’’’il n’y a pas d’immunité naturelle ou collective contre les rhumes’’

Il y a cependant acquisition d’une certaine robustesse, cela a été le cas de la ’’grippe russe’’ vers 1890, qui a été sévère pendant deux ans, puis s’est endémisée sous forme de rhume. Il semble que le covid suit le même schéma
.

’’je n’ai jamais attrapé le covid alors que pour certaines personnes quelques minutes à leur contact ont eté suffisante pour qu’elles soient contaminées."

L’immunité individuelle innée (polyvalente) peut être plus ou moins efficace selon les individus, et il y a les circonstances de transmission.
On a un ’’cas d’école’’ avec le congrès évangélique en Alsace en mars 2020, où plusieurs participants ont été contaminés, et ont propagé la maladie au retour dans leur région. Certains autres n’ont pas été atteints.
Peut-être aussi vous êtes-vous immunisé avec une forme très peu ou pas symptomatique (je ne sais pas si cela peut être détecté par test sérologique).

La propagande, ici, est celle de polémistes de pacotille sans aucune compétence pour mettre en cause l’état actuel des connaissances et de la science. Je m’efforce de comprendre et expliciter, et avoir des bases pour critiquer sérieusement les errements et abus de la politique sanitaire qui a été menée. Mais jeter le bébé avec l’eau du bain est puéril et stérile.

@Eric F

Evidement qu’il n’y a pas d’immunité puisque les causes des infections respiratoires hivernales sont dues aux particules polluantes atmosphériques.

Le problème c’est que l’on trompe les gens avec les virus et qu’on leur refile un « vaccin » qui ne soigne rien, qui ne prévient de rien, parce que les virus-artefacts ne provoquent aucune maladie.

En masquant la « réalité » on se retrouve à ne pas dispenser les soins nécessaires à ceux qui en ont besoin. En situation de pollution augmentée, lorsque les conditions météorologiques sont rassemblées, il est possible d’anticiper, de surveiller et de soigner les personnes dans l’endothélium vasculaire est fragilisé et chez lesquelles les fonctions mucosales sont faibles.

C’est tout ce que je dis : en évoquant les « virus » on se trompe d’agresseur, on se trompe de combat. Il serait possible de sauver de très nombreuses vies si on s’attaquait à la racine du problème à savoir les particules atmosphériques polluantes, nombreuses et extrêmement dangereuses pour la santé. C’est totalement désespérant d’abandonner ainsi des malades juste pour faire tenir la « théorie virale » et, surtout, pour produire des vaccins onéreux (mais rentables). 

@Eric F

Je cite « toujours » mes sources Eric F, et vous le savez très bien. Je ne fais aucune propagande et je remets « l’état actuel des connaissances et de la sciences » à portée du lecteur. Comme ci-après, dans une communication de Santé publique France. Je ne suis surtout pas le VRP de l’industrie pharmaceutique qui cherche à « placer » ses produits pour le plus grand bonheur des actionnaires, mais, hélas, pas en faveur des malades ni des comptes de la sécurité sociale.

... "Santé publique France, dans une communication d’octobre 2022, détaille les effets à court et long terme de la pollution sur la santé humaine.

« A court terme. Même à de faibles niveaux, l’exposition aux polluants peut provoquer, le jour même ou dans les jours qui suivent, des symptômes irritatifs au niveau des yeux, du nez et de la gorge mais peut également aggraver des pathologies respiratoires chroniques (asthme, bronchite…) ou favoriser la survenue d’un infarctus du myocarde, voire provoquer le décès.

« A plus long-terme, même à de faibles niveaux de concentration, une exposition sur plusieurs années à la pollution atmosphérique peut induire des effets sur la santé bien plus importants qu’à court terme. De nombreuses études montrent un rôle de la pollution atmosphérique sur la perte d’espérance de vie et la mortalité, mais également sur le développement de maladies cardiovasculaires, maladies respiratoires et du cancer du poumon. En effet, par une toxicité directe sur les cellules pouvant entrainer des altérations génétiques, par une action indirecte via une réaction pro-inflammatoire et un stress oxydatif et par un affaiblissement des mécanismes de défense de l’organisme, les polluants peuvent induire : 

- au niveau cardiovasculaire : une réduction de la variabilité du rythme cardiaque, une augmentation de la pression artérielle et de la coagulabilité sanguine et une progression de l’athérosclérose conduisant au développement de maladies coronariennes (infarctus du myocarde) et d’accidents vasculaires cérébraux. 

- au niveau respiratoire : une réduction de la capacité respiratoire, une augmentation de la réactivité bronchique, une croissance cellulaire anormale pouvant conduire au développement d’une bronchopneumopathie chronique obstructive, de l’asthme, d’infections respiratoires inférieures, et dans certains cas à un cancer du poumon ». »




Ceci ne serait donc pas suffisamment clair Eric F ?




Mise à jour octobre 2022. Voilà l’état de la science.




https://www.santepubliquefrance.fr/determinants-de-sante/pollution-et-sante/air/articles/pollution-atmospherique-quels-sont-les-risques

@Legestr glaz
Personne ne conteste l’incidence de la pollution surtout sur les personnes déjà fragiles et concernant l’effet cumulé à long terme, mais celle-ci ne réfute pas ipso facto l’existence et l’action des virus (ni des bactéries mais celles-là vous ne pouvez pas les nier vue leur taille).
C’est du charlatanisme de ne retenir de l’état des connaissances scientifiques seulement ce qui vous intéresse, en escamotant ce qui ne va pas dans le sens du dénialisme caduque. Est-ce clair Legestr & Francis ? 

On a vu avec la carte mondiale de la pollution, que celle ci ne correspond pas aux régions actuellement les plus touchées par les maladies hivernales.

Concernant les ’’labos’’, personne ici ne défend la généralisation de la vaccination anticovid à toute la population ni les rappels multiples, et chacun d’entre nous s’accorde pour dénoncer les collusions entre les autorités et certains fournisseurs. Les rares jusqu’au boutistes sanitaires de ce site ont déserté le présent débat, et soyez certain qu’ils m’ont aussi étiqueté comme hérétique par rapport à la ligne médico-politique institutionnelle.

@Eric F
copié-collé : 
« Personne ne conteste l’incidence de la pollution surtout sur les personnes déjà fragiles et concernant l’effet cumulé à long terme, mais celle-ci ne réfute pas ipso facto l’existence et l’action des virus (ni des bactéries mais celles-là vous ne pouvez pas les nier vue leur taille). »

Et bien si parce que la mortalité par la pollution a lieu durant les inversions thermiques, enfin, les pics de pollution. 
Vous avez donc le choix de penser que ce sont les « virus » qui tuent ou que se sont les matières polluantes qui tuent. Mais pourquoi diable les « virus » ne seraient-ils pas actifs en dehors des périodes d’inversion thermique, à savoir de forte pollution ? 

Vous voulez méconnaitre le principe du rasoir d’Ockham ?

Vous n’avez pas compris, en regardant la carte de la pollution, que si celle-ci est effectivement « intense » en Chine, mais aussi en Lombardie et en Afrique, il faut des conditions météorologiques particulières pour que la pollution reste « capturée » au niveau du sol, enfin dans les quelques centaines de mètres au dessus du sol. Sinon il n’y a pas d’épidémie. Mais cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de malades ni de morts tout au long de l’année du fait de la pollution.

Faites donc un effort pour comprendre ce qu’est une inversion thermique, comment elle se produit, et pourquoi la pollution est augmenté dans ces conditions. 

Quant aux bactéries, leur attaque dans les alvéoles pulmonaires s’appellent une pneumonie. Qui vous parle de nier les attaques bactériennes ??? J’en parle souvent, en citant, d’ailleurs, l’Institut Pasteur. Je pense qu’il y a de nombreuses lacunes dans votre raisonnement pour tenir de tels propos. 

@Legestr glaz
L’invocation du rasoir n’est pas une démonstration, les virus sont davantage actifs dans certaines conditions, mais il est faux de prétendre qu’ils ne le sont pas du tout hors de ces conditions, par exemple le covid s’est répandu en quelques semaines dans diverses régions des deux hémisphères, mais avec une intensité épidémique dépendant des conditions. De même il y a des cas sporadiques de grippe hors saison.
En outre, il y a des maladies virales autres que respiratoires par exemple digestives qui ne dépendent pas de la pollution ou autre et se transmettent alors par ingestion.

Par ailleurs, si j’ai évoqué les maladies respiratoires bactériennes, c’est pour montrer que la seule pollution ne peut suffire à expliquer l’ensemble des maladies respiratoires, or leur mode de propagation et saisonnalité est de même nature que celles virales. ’’Dans les zones tempérées, les infections à pneumocoques sont fortement saisonnières avec un important pic hivernal, notamment dans les populations les plus à risque’’  Pas de rasoir pour celles-ci ?

@Eric F

Pas vu pas pris les virus. Ils provoquent donc « très exactement » les mêmes symptômes que les matières polluantes. 

Quelle maladie virale digestive ? 

Les pneumonies bactériennes c’est tout au long de l’année. Et s’il y a un pic c’est parce que les « pics de pollution » fragilisent les défenses des voies respiratoires et les bactéries descendent jusqu’aux alvéoles pulmonaires « où » on les retrouve, « contrairement » aux virus, éternels absents.

Et bien si, le rasoir d’Ockham s’applique. J’ai mis un excellent lien, que, visiblement, vous n’avez pas lu, sur l’ASL (le liquide de surface des voies respiratoires). Mais peu importe, vous pouvez continuer à dérouler le fil de vos pensées sans prendre connaissance des études scientifiques qui indiquent comment et pourquoi les mécanismes de défense des voies respiratoires sont altérés et permettent aux « bactéries commensales » d’investir les voies respiratoires inférieures.

Comme vous ne voulez pas vous renseigner vous ne savez toujours pas que l’air que nous respirons doit être traité par l’organisme à savoir être « réchauffé », être « humidifié »et être « purifié ». Et dans nos voies respiratoires supérieures nous abritons.... devenez quoi ? Des virus ou des bactéries Eric F ? A votre avis ? Le « microbiote respiratoire » cela vous dit quelque chose ou vous découvrez ? Et bien lorsque l’air est trop froid et trop sec, et même trop chargé de matières polluantes, les mécanismes de défense des voies respiratoires sont submergés, chez certains. Et nos bactéries commensales peuvent alors investir les voies respiratoires inférieures. Et une infection bactérienne des voies respiratoires inférieures cela s’appelle un « pneumonie ». Et vous savez quoi : on connait même précisément leur petit nom à ces bactéries : Mycoplasma pneumoniae, Chlamydia pneumoniae, Legionella pneumophila, Haemophilus influenzae et la célèbre Streptococcus pneumoniae. 

Bref, faites encore un petit effort pour comprendre tous ces mécanismes.

@Legestr glaz
Arrêtez de le prendre de haut comme si vous étiez une autorité de référence, j’ai lu les articles sur l’influence des polluants et les effets sur les voies respiratoires, et encore une fois il peut y avoir plusieurs causes qui provoquent ou collaborent pour de mêmes effets.
A votre différence, je prends en compte tous les aspects de l’état de la connaissance sur ces questions, au lieu de retenir seulement ce qui va dans un sens prédéterminé.

C’est du dénialisme de prétendre que les virus ne sont pas détectés et identifiés, c’est certes plus compliqué que pour les bactéries qui sont des organismes autonomes de taille supérieure, mais les colossaux progrès de la microscopie, de l’analyse biologique, de l’analyse génétique le permettent désormais.

Dans le cadre de mes recherches sur internet, je suis tombé sur un compte-rendu intéressant.
je soumets à la sagacité des lecteurs la question suivante : qui a prononcé cette déclaration ?

’’Quant aux délires antivaccinaux sur Internet, ils étaient incontrôlables. On parlait de poison dans le vaccin, de virus virulent, de complot.

...J’ai reçu des copies de mails effarants, envoyés aux syndicats d’infirmiers, dès le début septembre : on y prétendait que ce vaccin n’avait pas été étudié, qu’ils allaient servir de cobayes...

...Quant aux mesures d’hygiène, elles ont été très utiles. On en a vu l’impact lorsqu’on s’est aperçu qu’il y avait moins de virus respiratoires autres que la grippe cette année, les gens ayant peut-être plus fait attention à l’hygiène, à l’isolement, au lavage des mains, qui ont pu contribuer à la gestion de l’épidémie’’

.
Réponse : Pr Christian Perronne auditionné au Sénat en 2010 suite à l’épidémie H1N1 certes c’était une grippe et des vaccins classiques, mais la similitude de situation est intéressante, et du moins il n’est ni anti-vaccination par principe, ni négateur des Virus.

et je relève la phrase suivante sur le virus H1N1 ’’ moins de mortalité chez les personnes âgées que pour une grippe saisonnière. Le chiffre total était donc moins inquiétant que d’habitude mais le virus a atteint des jeunes de 15-24 ans, dont un quart environ n’avait pas de facteur de risque particulier’’.

Eh oui, un virus n’attaque pas forcément des vieillards cacochyme et des multimorbides !

@Eric F

’’ On parlait de poison dans le vaccin, de virus virulent, de complot.’’
 — >
 De virus virulent ? Je ne crois pas.
 
En revanche on dénonçait le squalène utilisé comme adjuvant, expérimenté à leur insu évidemment sur les GI’s pendant la guerre du Golfe, susceptible de provoquer des maladies auto-immunes.
Sans compter les cas de narcolepsies recensées depuis.
J’ajoute que ces vaccins étaient basé sur des virus inactivés : personne n’a jamais pu définir ce qu’est un organisme non vivant virulent ou inactivé.

@Francis, agnotologue
La virulence en terme médical se réfère à la capacité à se reproduire dans un organisme infecté, et en terme plus général à la nocivité.

Ainsi, le terme ’’virus virulent’’ concernant un vaccin fait référence au risque que dans un vaccin classique, le virus ou la bactérie soit insuffisamment atténué ou inactivé.
Inactivé implique un code génétique inefficace pour ne pas qu’il se dupliquer, et certains éléments toxiques rendus inopérants.
il y a déjà eu des accidents de ce genre (mais pas sur le vaccin H1N1 évoqué par Perronne),

A propos des ’’adjuvants’’ des vaccins classiques, ce qui avait été surtout mis en cause ce sont les sels d’aluminium (il est aussi question de mercure), et je connais une personne décédée suite à sclérose en plaque postérieurement à vaccination (la causalité est fortement suspecte). 
Le cas du squalène est également évoqué.

@Géronimo howakhan
Bonjour. Je ne pense pas que Christian Perronne ait ’’renié’’ ses positions concernant d’une part l’existence et la nocivité des virus, et d’autre part le principe vaccinal.

Dans le cadre de la crise covid, ce qu’il a réfuté, c’est d’une part la surdramatisation de l’ampleur et la létalité de la maladie et les mesures d’enfermement, d’autre part le refus de thérapie en phase débutante, et enfin la technologie de vaccin génétique.

Ma perception, c’est qu’ayant et mis au ban des institutions médicale, Perronne a peu a peu radicalisé ses positions (c’est ce qu’on pourrait nommer ’’syndrome de la dissidence’’).
J’ai été plutôt proche des ’’rassuristes’’ en début d’épidémie, mais certains sont entrés dans une forme de déni croissant (notamment à l’aube du second épisode de l’automne 2020).

Il en va de même concernant les vaccins, j’avais d’abord douté qu’il soit possible d’en développer dans un court délai, mais on a vu qu’il y en a eu rapidement tant classiques (chinois), que génétiques à virus vecteur (russe, Astra...), ou à segment ARN (pfizer, etc).
Après ça, certains pays ont déployé la vaccination avant les autres et ainsi constitué des ’’démonstrateurs’’, et chez nous l’utilisation a d’abord concerné les populations les plus âgées, où l’effet a paru spectaculaire dans la baisse de décès en Ehpad. Chacun sa perception et ses choix, je me suis déterminé en fonction des remontées de terrain, lorsque ma ’’classe d’âge’’ (sexagénaire) a été éligible en mai 2020. Mais j’ai toujours été partisan de la liberté vaccinale (comme à celle de prescription) et la focalisation sur les catégories à risque. Donc contre le pass, l’obligation pour les soignants, l’habilitation pour les mineurs.

@Eric F
 
 blablabla.
Je n’ai aucune raison d’adhérer au narratif qui fait la fortune d’une industrie corruptrice, frauduleuse et multi-condamnée.

@Francis, agnotologue
Si on détermine ses positions en fonction de considérations autres que scientifiques, c’est là qu’il y a adhésion à un ’’narratif’’ (qu’il soit maximaliste ou dénialiste).
On peut haïr l’affairisme des labos, sans devoir pour autant, par sur-réaction, nier l’évidence des virus, ce qui est une position immature et épidermique..

@troletbuse
Tu donnes l’exemple type de celui qui ne cherche pas à comprendre le fonctionnement biologique, qualifiant cela de bla bla, et se positionne sur des visions simplistes (démarche partagée par les impulsifs pro ou anti).

Un vaccin classique (virus atténué ou fragments) injecte des antigènes,
Un vaccin à vecteur viral (sputnik, Astra...) injecte un virus bénin dont l’ADN est modifié pour produire de l’ARNmessager d’un antigène qui sera produit par la cellule,
Un vaccin à ARN injecte directement l’ARNmessager d’un antigène qui sera produit par la cellule.
Dans les trois cas, un vaccin anticovid induit des protéines spike (principal antigène de la famille sars cov 2) dans les cellules, mais en quantité plus faible que ne le fait une infection par le virus.

Pour ce qui concerne ta conclusion, effectivement la technologie ARNmessager qui n’avait pas jusqu’ici été appliquée massivement pour des vaccins humains, est envisagée désormais pour d’autres futurs vaccins. On ne peut pas dans ce cadre alléguer une situation d’urgence sanitaire, il est nécessaire d’attendre les retours de terrain sur les ’’effets long terme’’ plutôt que s’emballer.
Il semble aussi, compte tenu des réticences plus larges envers cette technologie, que ce soit un mauvais choix en terme d’acceptabilité par la population

@Eric F
 
 ’’ nier l’évidence des virus, ce qui est une position immature et épidermique..’’
 — >
 Parce que c’est une preuve de maturité de faire une confiance aveugle aux labos avec tout ce que l’on sait maintenant ? D’accepter de se comporter en rat de laboratoire  ?
 
 Pfff !
 
 

@Eric F
 
Jordon Trishton Walker, le directeur de recherche et développement chez Pfizer, se fait piéger par un journaliste avec une caméra cachée

 Extrait : « Un « Gain de Fonction » (GoF) désigne toute expérience ayant pour effet prévisible d’augmenter la dangerosité d’un pathogène pandémique potentiel (PPP), comme un virus. Des scientifiques ont ainsi réussi à rendre des pathogènes plus transmissibles, plus virulents, plus immunogènes.  »
 
Question : entre ce discours et le mien, lequel est le plus susceptible d’aboutir à la fin de l’espèce ?
 
 Cette pseudo fuite de la part du directeur de recherche et développement de Pfizer est en réalité de l’huile jetée sur le feu de la passion et de la peur, destinée à entretenir la psychose des virus et la demande de vaxins.

@Francis, agnotologue
Personne ici ne fait une confiance aveugle à bigpharma, je parlais de l’état de la science concernant la virologie, issu des instances de recherche des différents pays du monde.

Pour ce qui est des vaccins de technologie génétique, je comprends que certains aient des réticences vue la nature de ceux-ci et l’absence de recul. L’abus majeur est que seuls ces vaccins aient été proposés chez nous, il aurait fallu un accord de licence avec les labos chinois pour adapter et produire ici leurs vaccins classiques, à proposer comme alternative. Et laisser chacun opter sans obligation vaccinale.

@troletbuse
’’C’est très complotiste et comme les complotistes ont toujours eu raison bien longtemps avant les demeurés’’
Il y a des complots, mais tout n’est pas complot.
a propos de la vidéo : encore des charlatans qui enchevêtrent des notions sans rapport, à destination de gogos ignares. Cela rappelle les fin-du-mondistes de 2012.

@troletbuse
tu n’as manifestement pas regardé la vidéo que tu pointais, parler de génocide est aussi énorme que la fin du monde des millénaristes ou autre.

Si le covidistes sont les maximalistes du covid ce n’est pas mon domaine, et Bill est certainement flatté d’être pris en référence.

@troletbuse
 
 voir commentaire https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/reforme-des-retraites-il-existe-d-246397#forum6517479

@Francis, agnotologue et @troletbuse

selon le commentaire, il s’agit donc bien de réduire de 50% la population n’ayant pas accès aux médicaments. Le fait d’avoir tronqué la vidéo est donc de la manipulation pour inventer un faux complot, et le fait d’extrapoler que la formulation est intentionnellement tournée pour être interprétée en la tronquant me parait surréaliste.

@Eric F
 
 je vois que vous êtes très vigilant. Et je sais que vous pouvez vous aussi, être surréaliste.

@Eric F
 
 Je voulais dire : ce que nous avons vécu ces trois dernières années et que vivent encore les médecins suspendus est surréaliste.
Toutes les personnes éveillées avec qui j’en ai parlé s’accordent à dire que jamais elles n’auraient imaginé ça.
Ce que vous appelez complotisme, c’est rien que de la clairvoyance de personnes qui refusent de se laisser hypnotiser.

@Eric F
 
 Vous voulez du surréalisme ?
 
Acquittement par La cour de Cassation d’Agnès Buzin. La cour a déclaré : « Le fait d’être ministre ne vous met pas dans une position où vous devez avoir un devoir de diligence et de surveillance particulier par rapport au risque que pourrait encourir la population. » C’est là, à 7 mn