@Eric F
Vous vouliez peut être dire : c’est comme si je parlais du dogme du géocentrisme n’est-ce pas ?
Jamais la théorie gravitaire n’a été prise à défaut. En revanche, la « théorie virale » est souvent prise à défaut. Vous venez vous même vous d’en faire la démonstration avec les « virus » comme « co-facteurs ».
Un excellent article vous attend en modération sur ce sujet. Nous pourrions en « débattre » ?
Extrait :... « Tout ceci exposé, la pollution atmosphérique apparaît comme un danger constant pour la santé humaine. En hiver, lorsque certaines conditions météorologiques sont rassemblées, les organismes des personnes baignées dans une atmosphère où la pollution est terriblement augmentée, doivent mettre en place des mécanismes pour éviter que les matières polluantes n’investissent les voies respiratoires inférieures, doivent faire en sorte de juguler la présence de celles-ci dans le milieu alvéolaires et actionner le système immunitaire pour les éliminer. Les organismes fragilisés sont dans l’impossibilité de le faire, la maladie se déclenche chez eux avec des suites, parfois, et trop souvent, mortelles. Les épidémies de maladies respiratoires hivernales interviennent, en période anticyclonique, lorsque les niveaux de pollution sont augmentés. Dans ces conditions, que reste t-il aux « virus » et à la théorie virale ? L’un des piliers de celle-ci est que les virus se propagent et que les humains se contaminent les uns les autres. Lors des pics de pollution, il n’y a ni propagation ni contamination : tout le monde respire le même air pollué et tout le monde est atteint en même temps par les particules polluantes atmosphériques. Il faudrait, par conséquent, interroger les faits pour savoir dans quelle mesure les virus se propagent et contaminent les Humains. »...