L’homme affecte
énormément son environnement, que ce soit avec le nucléaire, le fameux CO2, les
moteurs thermiques (et bientôt électriques) et principalement par la chimie.
Dans le même
temps, il fait des découvertes scientifiques qui allongent son espérance de
vie.
L’équilibre entre
nuisances créées par l’homme et progrès scientifico-techniques s’est révélé jusqu’à
présent favorable. On envisage de vivre en moyenne plus de 100 ans dans les
pays développés, et tout le sud de l’humanité se précipite vers les pays dotés
de centrales nucléaires.
L’article
lance une alerte à propos du nucléaire. Il charge la barque au maximum (un peu
comme les anti-automobile qui accusent la pollution auto de centaines de
milliers de morts/an, mais c’est quand même dans les villes que l’on vit le plus
vieux !).
Il y aura
encore des accidents de centrales nucléaires. Il y aura des morts, mais si ce
nombre n’excède pas le nombre de victimes de toutes les grandes activités de l’homme
moderne, en particulier la chimie, on continuera de construire des centrales
nucléaires compte tenu de l’énergie qu’elles apportent pour pas trop cher.
La vie humaine
est un équilibre complexe. Quand on croit bien faire, en supprimant le tabac destructeur des poumons,
on voit l’usage des drogues destructrices du cerveau exploser. Les voitures électriques apportent une
pollution chimique extrême en remplacement de la pollution de l’air.
Le « progrès »
humain poursuivra sa route, dans le nucléaire comme ailleurs. Tant que le
confort de vie s’améliorera et l’espérance de vie augmentera, le processus se
poursuivra. Après, on verra bien …
Alors vive
le nucléaire, et Jancovici !