@Le Cri des Peuples

Sans aucune pensée dite « complotiste », ni emprunte de Machiavélisme, la question qui se pose à propos de ce sabotage est :

A qui profite le crime ?

Pour les Russes, ils leur suffisait simplement de fermer plus ou moins progressivement le « robinet » juste avant, c’est plus rapide, moins cher et plus sûr, ce dernier pouvant être réouvert, à l’issue d’un sommet de réconciliation Europe-Russie. Qui ne va pas arriver de suite compte-tenu de l’inconséquence de beaucoup de dirigeant en place, y compris chez les choux.

Bref, il ne faut pas chercher bien loin. Les conséquences de cet acte, permettant aussi de faire un peu vaciller une économie dite Européenne, déja mise à mal, la grenouille voulant se faire aussi grosse que le boeuf par ses trains de sanctions.

Hors nous savons qu’en matière ferroviaire, nous sommes loin d’être les champions, qui l’est d’ailleurs ?

Hégémonie ! Nos chers amis d’outre Atlantique, fort d’un succès vieux de d’environ 77 ans ont une terrible envie de tranquillité. de stabilité aussi, très profitable au commerce à leur commerce, à leur intérêts. Elle doit s’exercer mondialement bien sûr, quitte à orchestrer un certain chaos, d’où « ils » en tire profit.

N’oublions jamais « In God we trust »

Bon l’exercice devenu difficile depuis quelques temps, par une montée en régime, d’une puissance tierce, venue semer le trouble dans le petit jeu Est-Ouest. Si puissant soit-il, mener un combat simultané contre deux adversaires est délicat, voire difficile.

Mais revenons à cet acte de sabotage. Il fit la Une des organes de propagandes Européens, pendant un certain temps, puis soudain, disparait, pour d’autres sujets futiles. Nous ne savons même pas aujourd’hui si des travaux de réparation ont été engagés. En fait nous ne savons rien. Le sujet est tu, passé sous silence, à ce demander même si les organes de propagande ne regrettent pas d’avoir communiqué dessus.

Seul fleurissent ça et là, des déductions (comme la mienne d’ailleurs), saurons nous un jour la vérité ? J’en doute fortement, voir très fortement. Comme sur beaucoup de sujet. A partir de là, toute les options sont ouvertes pour discourir du sujet à l’infini.