@Michel DROUET
Ce sont les personnes au système immunitaire diminué qui décèdent lors des épidémies de maladies respiratoires hivernales, à la suite d’inversions thermiques, plus ou moins longues, plus en moins puissantes (présence d’un anticyclone, absence de pluie et de vent, température matinale basse) qui augmentent le taux de pollution de l’air, ce qui provoque des « pics de pollution ».
Il y a une corrélation puissante entre pics de maladies respiratoires hivernales et pics de pollution. Durant la saison automne-hiver 2022-2023, il y a eu 2 épisodes de pic de pollution. La première fin novembre-début décembre, et la seconde aux alentours du 10 février 2023. Les pics de maladies respiratoires ont eu lieu très exactement les quelques jours qui ont suivi les pics de pollution.
https://www.bag.admin.ch/bag/fr/home/krankheiten/ausbrueche-epidemien-pandemien/aktuelle-ausbrueche-epidemien/saisonale-grippe---lagebericht-schweiz.html
Les vaccins n’ont strictement aucun pouvoir sur les matières particulaires polluantes (PM10, PM2,5, PM0,1), ni sur les métaux lourds ni sur les pesticides, ni sur les engrais chimiques. Il faut un système immunitaire efficace pour se débarrasser de ces agents pathogènes.
Les personnes qui décèdent de ces maladies respiratoires en automne-hiver sont des personnes « déjà » malades, des personnes qui présentent des dysfonctionnements de leur endothélium vasculaire (diabétiques, insuffisants rénaux, malades des coronaires, obèses, porteurs de maladies dégénératives, hypertendus, hyperglycémiques). Toutes ces personnes ont un métabolisme qui n’est pas adéquat, toutes ces personnes ont des vaisseaux sanguins en mauvais état de fonctionnement.
Le « vaccin » ne fait donc rien à l’affaire, ne protège de rien, est une cautère sur une jambe de bois. Le vaccin ne procure strictement aucune protection. Vaccinés ou pas vaccinés, si votre endothélium est dysfonctionnel, il le demeure et le restera après la vaccination. Si votre liquide des voies respiratoire -ASL- est encombré de glucose, vous devenez un candidat très intéressant aux infections respiratoires. 9 malades sur 10 hospitalisés en soins intensifs pour une maladie respiratoire aigüe ont un taux de glucose dans les voies respiratoires bien supérieure à la moyenne. Ce taux important de glucose dans les voies respiratoires affaiblit les défenses immunitaires de première ligne et permet aux bactéries, comme le staphylocoque pneumoniae ou le staphylocoque doré, de prospérer dangereusement, très dangereusement.
Les risques de tomber gravement malade sont les mêmes chez les vaccinés et les non vaccinés, pour autant qu’ils soient porteurs d’une maladie métabolique et qu’ils aient un problème de fonctionnement de leur endothélium. Mais chez les vaccinés, vous avez, en plus, les risques de complications dues à la vaccination, que n’auront pas les non vaccinés car chez eux il n’aura pas été introduit subrepticement dans l’organisme, par delà les défenses immunitaires de première ligne, des « nanoparticules » et des « adjuvants » dont le sytème immunitaire devra se débarrasser.