@Michel DROUET
Une infection respiratoire, comme il s’en produit chaque année, avec plus ou moins de virulence en fonction du « poids » des inversions thermiques qui se seront développées et auront entrainé un taux de pollution, plus ou moins accentué, plus ou moins durable.
Michel DROUET, ce sont toujours les mêmes personnes qui sont en difficulté devant les maladies respiratoires hivernales. Leur « profil » est bien connu. Ce ne sont pas les personnes ’« saines » qui décèdent des maladies respiratoires. Vous manquez cruellement d’informations. Ce sont les diabétiques, les insuffisants rénaux, les maladies du coeur, les obèses, les porteurs de maladies dégénératives. Je l’ai écrit maintes fois et ceci est en permanence confirmé.
Les maladies respiratoires hivernales ne « frappent pas au hasard ». Elles s’abattent sur des organismes déjà « malades », sur des personnes dont l’endothélium vasculaire est dégradé, dont le métabolisme est abimé. Les « vaccinations » ne résolvent jamais un dysfonctionnement vasculaire et ne le feront jamais. Les maladies respiratoires hivernales s’abattent sur des personnes dans le système immunitaire des voies respiratoires est un péril. La présence d’un taux du « glucose » trop important dans l’ASL (liquide des surfaces respiratoires) est une source de dysfonctionnement du système de défense de première ligne. La littérature scientifique nous renseigne très largement sur ce sujet mais le « grand public » l’ignore.
... « La concentration en glucose du liquide de surface des voies respiratoires (ASL) est bien inférieure à celle du sang et est étroitement régulée par l’épithélium des voies respiratoires. La glycémie ASL est élevée chez les patients atteints de rhumes viraux, de fibrose kystique, de maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) et d’asthme. Une glycémie ASL élevée est également associée à une incidence accrue d’infections respiratoires. »...
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3605804/
https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/tag/endothelium/