@suispersonne
Non, je n’ai pas vu passer cette étude. Si vous l’avez, je suis preneur.
La vaccination, qu’elle soit « traditionnelle » ou à « ARN » messager, n’a qu’un seul but : faire produire, par « anticipation », des anticorps à l’organisme de manière à ce que ce dernier soit « prêt » à affronter l’agent pathogène lorsqu’il se présentera. Ceci est la « théorie officielle ».
L’injection à ARN messager est « supposée » faire produire à l’organisme la protéine « spike », celle qui envelopperait le « virus SARS-COV2 », de manière à ce que notre système immunitaire identifie cette protéine comme appartenant à un agent pathogène et contre laquelle il faudra lutter. L’injection à ARN messager a, par conséquent, pour rôle ultime, de présenter au système immunitaire cette protéine « spike ».
Seulement voilà. La protéine « spike » n’est pas une protéine appartenant à l’organisme humain. Elle fait partie du « non soi ». A ce titre, dès son apparition dans les voies respiratoires, ou dans la circulation sanguine, elle sera « identifiée » comme faisant partie du « non soi ». Et si l’organisme considère que cette protéine est une protéine de « danger » pour lui, elle sera attaquée, rejetée et détruite par le système immunitaire. Alors la question qui devrait être posée est bien celle ci : quel est l’avantage de l’injection à ARN messager puisque, de toute façon, la « protéine spike » faisant partie du « non soi » sera pourchassée par le système immunitaire dès son apparition, à quelque endroit de l’organisme, particulièrement dans les voies respiratoires pour où elle est supposée faire son apparition ? Ces injections n’ont strictement aucun sens dans la mesure ou l’organisme « sait » faire la distinction entre « soi » et « non soi ». Le système immunitaire est en mesure, à la seule condition d’être parfaitement bien opérationnel, de se défendre contre n’importe quel agent pathogène portant des protéines du « non soi », sans même y avoir été préparé.