@Eric F
Pour affirmer l’existence virale, il faudrait simplement apporter des preuves. Vous n’en avez aucune. Vous êtes donc partisan d’un dogme, vous niez les évidences de la non contagion et de la non contamination, parfaitement visibles dans les chiffres.
Eric F, vous niez les évidences, ne renversez pas l’argument. Nulle part, jamais, la contagion n’a été mise en évidence. Pas plus qu’il a été possible de rendre malades des personnes saines à partir de sécrétions de personnes malades.
Les épidémies de maladies respiratoires apparaissent brutalement et disparaissent aussi brutalement. C’est comme ça depuis que l’on observe ces épidémies. Il n’y a ni contagion ni contamination, les gens sont intoxiqués « en même temps », et ensuite le phénomène disparait. Alors, évidemment, l’on peut penser à la pollution, qui tombe sur les gens d’un seul coup d’un seul, et s’en va lorsque les conditions atmosphériques changent. L’on pourrait penser aussi au rayonnement électromagnétique, voire le cumul des deux.
Bref, les chiffres et la manière dont apparaissent les maladies respiratoires vous donnent tort. Je suis désolé, mais cet aspect est indéfendable pour vous. Et ce n’est pas en ayant recours à des digressions que vous aurez raison.
Ce sont des faits Eric F, et vous nous faites la démonstration que vous niez ces faits parfaitement observables pour revenir inlassablement au dogme viral.
N’en parlons plus Eric F. Je communique ce que j’ai compris, en examinant l’évolution des maladies respiratoires. Si d’aucuns veulent examiner ce que j’écris, ils le peuvent. Mais, si de votre côté, vous voulez croire à la théorie virale, c’est votre problème. Alors faites vous vacciner pour vous protéger, puisque les « vaccins protègent ». Laissez les autres réfléchir aux moyens de contrer les épisodes de pollution augmentée, ce qui est tout à fait possible.
https://www.espace-diabete.com/services/le-diabete/les-consequences-du-diabete
Eric F, le « dogme viral » entraine les gens dans une autre direction et masque la réalité biologique. C’est absolument scandaleux.
Risque d’infection dans le diabète de type 1 et de type 2 par rapport à la population générale : une étude de cohorte appariée
Dans une grande base de données anglaise sur les soins primaires, nous avons détaillé le risque accru d’infection chez les personnes atteintes de diabète par rapport à la population générale. Les systèmes d’organes où les infections bactériennes prédominent (pneumonie, septicémie, endocardite, infections cutanées, osseuses et articulaires) ainsi que les maladies fongiques (mycoses) ont été associés à des augmentations substantielles de l’ampleur chez les patients atteints de DT1 et de DT2, mais les risques étaient systématiquement plus élevés pour DT1. Parmi les personnes atteintes de diabète, les personnes les plus à risque d’événements infectieux et de mauvais résultats (hospitalisation) étaient les patients plus âgés (≥ 70 ans), souffrant d’obésité morbide (IMC > 40 kg/m 2 ), fumant actuellement, ayant une plus longue durée de vie . durée du diabète (DT2 uniquement), présentaient de graves comorbidités et vivaient dans des zones plus défavorisées.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29330152/