Cet article est construit sur « l’existence virale ».

Pour comprendre « pourquoi » les « vaccins », quels qu’ils soient, ne peuvent pas fonctionner, il faut considérer le protocole d’isolement et de purification virale. Ce que l’on « prétend » sur les virus est faux parce ce que l’on prétend sur les virus n’a jamais été démontré. Le génome viral est « théorisé », la protéine « spike » est théorisée. 

Pour « comprendre » la « vaccination », il faut changer de paradigme de pensée. Il faut considérer les virus comme des « artefacts ». Il faut considérer l’origine des maladies respiratoires en automne-hiver comme « non virale ». Il faut considérer ces maladies respiratoires comme « non transmissibles ». En réalité, ces maladies respiratoires, en automne-hiver, sont des « intoxications collectives » parce que certaines conditions environnementales sont rassemblées (on peut mettre en avant le taux de pollution atmosphérique augmenté, on peut mettre en avant le rayonnement électromagnétique, on peut mettre en avant les tempêtes solaires.)

... ( L’augmentation des périodes d’activité solaire et géomagnétique peut directement contribuer à une altération de la fonction pulmonaire et également renforcer les effets des PM 2,5 et du BC -black carbone-. Étant donné que l’exposition à l’activité solaire est omniprésente, des mesures plus strictes pour réduire les expositions à la pollution de l’air sont justifiées, en particulier chez les populations âgées.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35660608/

(... une augmentation 10 µg.m-3 de NO2 se traduit par une augmentation de 3,07 % de la mortalité non accidentelle le jour suivant chez les personnes âgées de 75 ans et plus. Ces associations sont stables à l’ajustement sur les PM10.« ...). 

https://www.santepubliquefrance.fr/determinants-de-sante/pollution-et-sante/air/articles/pollution-atmospherique-quels-sont-les-risques

Lorsque le phénomène d’inversion thermique se produit en automne-hiver, les concentrations atmosphériques de matières particulaires polluantes augmentent dangereusement. Les personnes »sensibles« , celles au système immunitaire diminué, pour une raison ou une autre, sont les premières victimes de ces brusques changements atmosphériques en lien avec la pollution. Et ceci s’applique aussi en été, lors des »canicules« lorsque l’ozone qui se »mélange« aux matières particulaires atmosphériques.

Les maladies respiratoires ne sont pas des maladies transmissibles, ce sont des intoxications collectives lorsque certaines conditions atmosphériques se développent brusquement. Lorsque les niveaux de concentration des particules atmosphériques polluantes reviennent à la »normale« , il en est fini de »l’épidémie« , il en est fini de l’intoxication collective. Jusqu’à la suivante. 

La forme de »courbes en cloche« que prennent les évolutions des épidémies de maladies respiratoires apportent la preuve formelle qu’il n’y a pas de »contamination« ni de »contagion« mais une intoxication collective brusque, avec un pic, et une décroissance aussi brusque, lorsque les conditions atmosphériques environnementales reviennent à la normale. S’il y avait »contamination virale« ou »propagation virale« , l’évolution des épidémies prendrait la forme d’une courbe exponentielle. Ce n’est jamais le cas, mais une majorité de personnes refuse d’examiner, pour ce qu’elle est, cette monstrueuse évidence. 

Le »mythe de la contamination virale".

https://www.youtube.com/watch?v=xq2h2onD7tk&t=1733s