@Enki
Merci pour cette participation au débat.
Vous écrivez : « Maintenant, la grippe existait du temps d’Hippocrate, du moins, il a renseigné des épidémies de toux et de pneumonies. Il n’y avait pas de pollution atmosphérique à l’époque, hormis la fumée des feux de bois. »
Il y avait les feux de forêts, il y avait les éruptions volcaniques, il y avait aussi les tempêtes de sable. Je n’oublie pas l’activité solaire.
https://public.wmo.int/fr/notre-mandat/domaines-d’action/environnement/tempêtes-de-sable-et-de-poussière
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35881632/
L’écobuage est une pratique ancestrale. Elle avait lieu (puisqu’elle est pratiquement interdite aujourd’hui) traditionnellement en hiver, en absence de pluie et de vent. Cette pratique entraine une augmentation importante des taux de pollution atmosphérique, comme les feux de forêts.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Écobuage
https://reporterre.net/Le-brulage-des-dechets-verts-un-fleau-pour-la-qualite-de-l-air
https://www.atmo-bfc.org/qui-sommes-nous/actualites/l-impact-des-feux-de-forets-sur-la-qualite-de-l-air
Lorsque certaines conditions atmosphériques sont rassemblées, ce n’est pas le « contact » avec votre voisin qui vous rendra malade mais le fait de « baigner » dans le même environnement toxique pollué que lui.
Les faits sont devant nos yeux mais nous refusons de les examiner.