@Fergus
Bonjour.
Vous écrivez :
« Il est sûr que si l’on n’agit pas dans le cadre d’un projet ambitieux en matière de politique de la ville* »
Cela fait quant même des décennies que ces politiques « ambitieuses » de la ville coûtent et ne produisent aucun effet. Une politique de la ville est là pour amener à mon sens confort, services, embellissement, bref servant à améliorer les conditions de vie de la population locale. Elle n’est pas là pour régler un ou des problèmes socio-culturels.
Ne tournons par autour du pot, les cités « radieuses » des années 60, ne sont plus ce qu’elles étaient, destinées surtout aujourd’hui à parquer l’étranger, l’éloignant de la capitale surtout. Ou la bienséance de salon ne les veux pas dans leur immeubles cossus, malgré qu’ils prônent sans arrêt la mixité. Faites ce que je dis pas ce que je fais.
Majoritairement ces zones, sont devenues progressivement des zones de « non droit », état exacerbé à partir des années 80, sous le couvert de la non stigmatisation, parallèlement un monde associatif s’est créé, non pas pour aider les habitants à vivre avec le restant du Pays mais à vivre entre-eux, mettant en place des concepts un peu étranges.
« projet ambitieux en matière de politique de la ville » Ce ne sont que des mots, dans les fait ils ne sont rien, confortant simplement les auteurs et ceux qui les propagent d’avoir fait ce qui devait être fait, s’accrochant au moindre résultat positif si infime soit-il pour faire d’un exemple une généralité, ou du moins une possibilité.
Je cite votre astérisque
« Et en matière de réforme des procédures d’action de la police »
Donc selon vous, il doit y avoir deux systèmes de lois, celui des « cités », ou la tolérance doit être de mise eu égard à leur conditions de vie et l’autre indéfectible pour le restant de la population.
Ainsi un mineur de banlieue pillant un magasin de chaussure est plus « excusable », qu’un G.J cassant la vitrine d’une banque. Non tous deux sont « hors la loi »,
Un article de la constitution édicte :
La liberté consiste à faire tout ce qui ne nuit pas à autrui.
Il est d’une simplicité limpide et je pense compréhensible par tous, dès le plus jeune âge tellement il est perclus de bon sens !
Mais il est clair que beaucoup déclame le terme liberté, ou revendique des atteintes à cette dernière sans connaître ce qui va avec et qui régit une société dite « civilisée »