@Claude Courty
Je n’ai pas fait de « choix » sur ce point, je me fais à la raison qui dans la réalité fait que soit on l’accepte et on peut vivre dans la réalité avec les lois qu’impose la causalité ou bien on ne l’accepte pas et on ne peut pas ou plus vivre dans la réalité, car on ne peut plus donner sens à sa propre existence. Alors, soit on s’enferme dans son imaginaire, mais où il faut quand même subvenir à ses besoins vitaux, donc, toujours obéir à la causalité, soit on va se jeter du haut d’une falaise.
Ainsi, la polarisation entre l’imaginaire et la réalité obéit à la causalité et n’a rien à voir avec un choix quelconque, car comme je l’écris, même un Dieu tout puissant n’a de choix que de se soumettre à la causalité pour permettre la réalité, soit d’y renoncer et donc de rester dans son seul imaginaire. Car la raison dit que l’être n’a de choix que des buts qu’il se propose d’atteindre, pas des moyens, qui relèvent de la causalité. La causalité qui dit si un moyen est possible ou non, donc, s’il peut être trouvé une solution physique ou non. Dans certains cas, il n’y a qu’une solution possible, dans d’autres une quasi infinité et dans d’autres, aucune solution possible et donc, qui reste du domaine de l’imaginaire. Dans la réalité, la fin ne justifie pas les moyens, elle les nécessites.
Bref, soit vous êtes en capacité de contredire cette affirmation par l’argumentation, soit vous ne le pouvez pas et il ne vous reste alors que votre propre croyance, qui comme vous l’écrivez n’a pas besoin de logique, de se fonder sur la raison.