@Boogie_Five
Je note avec regret que tu rompt le débat et préfère rester dans ton imaginaire plutôt que débattre sur la réalité, alors que ton article porte dessus.
Comprends bien une chose si tu y arrive (l’exception ; quand bien même c’est élémentaire), c’est que l’Univers se divise en deux faces observables par toute expérience humaine, dans le sens où tu en fais (comme moi) l’expérience à chaque instant depuis ta naissance, c’est qu’il existe une face ou l’être est une entité parmi d’autres, où notre imaginaire ne commande pas sur les autres mais oblige à passer par un même lieu commun que sont les lois de la nature ou pour les scientifiques, les lois de la physique ou pour moi, le principe de causalité.
Comme l’écrivait Philips K Dick « la réalité est tout ce qui refuse de disparaître lorsqu’on cesse d’y croire ».
En fait pour être précis, il faudrait plutôt écrire que ; on réalise la domination despotique de la réalité (en fait la causalité) à chaque fois que notre volonté née de notre imaginaire ne s’accomplit pas, soit instantanément, soit avant de disparaître emporté par la dernière lois de la causalité sur le principe du cycle de vie.
Ici, peu importe le mot utilisé, car il ne porte que sur la désignation d’un principe ou phénomène physique ou pour moi une relation de causalité, en aucun cas l’inverse !
Ainsi, dès lors où je parle de la responsabilité sur la base de l’équilibre entre droits et devoirs, ce n’est pas le mot qui est étudié, mais ce à quoi il se rapporte et faire comme tu le fais n’est rien d’autre que l’aveu de ne pas vouloir en débattre. Ou si tu veux, c’est comme dire à quelqu’un que le couvert était beau et bien présenté en réponse à la question de savoir si le repas était bon et ne pas devoir dire qu’il était mauvais. Tu vois, même là le conflit intérieur ne pourra donner qu’une seule réponse, un seul état obéissant à la causalité et non pas en la dominant comme tu peux le faire à volonté dans l’imaginaire. Après, que tu fais un conflit de conscience est l’affaire de chacun selon sa personnalité.
Bon, je m’arrête là...
bonne soirée.