@Luc-Laurent Salvador
mais où voyez vous de dénégations, puisque mon approche est essentiellement causale !
Relisez donc mon commentaire, il répond à la question en disant qu’on peut être altruiste par choix, mais qu’on ne peut pas choisir le contraire, soit, avoir une conduite irresponsable car dangereuse, en inadéquation avec son environnement et dire par exemple à l’IA de la voiture de prendre le contrôle en cas de crise et préserver sa propre vie contre celle des autres ayant une conduite responsable. Car il ne peut pas y avoir d’accident lorsque tous les usagers sont en adéquation avec leur environnement. Le cas que vous posez ne vaut qu’en cas d’imprévu, comme une chute de pierre, une flaque d’huile, mais normalement, même l’IA sera prise au dépourvu !
Autrement dit, un bon père de famille n’aura jamais une conduite dangereuse et donc mettant en danger la vie de sa famille, ceci n’est vrai qu’avec un mauvais père de famille. Dans ce dernier cas, on ne peut pas considérer les enfants, mais uniquement le conducteur, car au moment de l’accident, c’est déjà trop tard !
Sachant que le principe de responsabilité ne repose pas sur le niveau d’intelligence ou d’instruction, mais sur la conscience de ses actes dans ses conséquences dans le sens de l’équilibre entre ses droits et devoirs.
Donc, hors imprévu où même l’IA sera prise de court, l’éthique ne peut être que la responsabilité définie par une conduite non sécurisée. Tout simplement parce que lors d’un procès, c’est le critère déterminant !