@hommelibre.

Les mystères de la naissance. Je pense qu’il y a deux choses à considérer, la première est relativement simple puisqu’elle s’exprime par le physique, la deuxième beaucoup plus difficile à percevoir est d’ordre psychique. Ainsi le développement se faisant, il peut être concevable d’être une femme avec un corps d’homme ou l’inverse car cela existe aussi, mais plus toléré.

Phénomène complexe, que le serviteur médical, doit prendre en compte, faisant abstraction de tous les tabous ou autres choses, inculquées depuis des siècles, je dois dire qu’il ne doit pas être aisé pour ce dernier devant la patient, de faire la différence entre une sorte de phénomène de mode, et la dure réalité.

Le premier cas créé une différence non tolérée, tout ce qui est différent est généralement rejetés, pouvant même susciter de la haine, pour des raisons complètement inexpliquées et inexplicables puisque la présence de ces derniers ou dernières n’influent pas sur la vie courante des détracteurs.

Comment un homme, un mâle, un reproducteur, peut-il être femme ou se sentir femme ? Inconcevable ! Alors come je l’ai écrit une femme « taillée » comme un homme suscite des quolibets bien sûr, mais est acceptée. Il y a beaucoup de questions à se poser à ce sujet, au nom de quoi l’une est plus acceptée ou tolérée que l’autre.....

Je pense que cela existe depuis la nuit des temps, entraînant sûrement pour ceux qui sont dans ce cas, des maux et des vies terribles.

Le problème actuel est l’exacerbation médiatique du phénomène qui reste vraiment minimal, arrivant à procurer chez certains une sensation de transformation sociétale, qui n’existe pas !.

Il n’y a pas de dégénérescence de l’homme, du mâle.

Il est clair au niveau de la « science » qu’un homme au sens génétique même opéré, restera physiquement un homme 

Dans le cas cité dans l’article, il est clair qu’au vu du profil « génétique » de cette dernière aller voir un gynécologue est acte inapproprié, c’est une erreur, même si cette dernière est « opérée ». Il n’en reste pas moins que l’appareil génital n’est en rien celui d’une femme et tout ce qui y est associé.

Est-ce une simple erreur ? Qui aurait du « elle » consulter ? Est ce volontaire pour faire ressortir l’inacceptation de son cas par la société. Une chose est sure cependant, c’est que le praticien est inconséquent lui aussi, ne faisant que confirmer le rejet, au lieu de la/le recevoir et de lui expliquer que médicalement il ne peut rien pour lui/elle et de l’orienter vers la bonne personne pouvant prendre en charge son problème.

Mais voilà..... De réseaux sociaux en média, il en est autrement, ne faisant finalement qu’accentuer la différence entraînant tout ce que l’on sait.