@pemile

Ton commentaire est typique d’une autruche, car tu as retenu de la lecture du mien que ce qui convient à ton prêt à penser. Mon commentaire invalidant ce que tu écris, notamment sur le fat qu’une guerre est toujours liée à la volonté d’imposer sur un territoire sa propre domination,d’abord pour en percevoir l’impôt et ensuite pour y imposer sa propre culture et de contraindre tous ceux qui y vivent de devoir payer l’impôt et éventuellement de se plier à cette même culture ou bien de se voir éliminer. Note que la première des raisons de toute guerre, passé ou présente et future, est de percevoir l’impôt, ensuite vient la culture, mais cette dernière n’est pas la raison première, car sache que ce n’est pas la culture qui est la preuve de sa souveraineté, mais sa capacité à percevoir l’impôt.

Tu peux le vérifier de manière empirique à travers l’histoire de l’humanité, quel que soit le lieu ou/et le temps.

Pour ce qui est de la guerre en Ukraine, il faut remonter au dernier état de paix relatif, c’est à dire, au moment de la crise de Crimée et de voir que ceux qui ont d’abord eut pour volonté politique de supprimer le « gosse et le vieillard », ce sont les ukrainiens anti russophones, mais il s’agit bien là de dommages collatéraux d’une politique initiée ailleurs qu’en Ukraine, c’est à dire, chez l’oncle sam.

Ici, les preuves sont établies, puisqu’il y a des déclarations publiques des dirigeants ukrainiens le disant clairement et une politique qui va avec.

Perso, mon parti pris dans la vie qu’est la mienne est celui de l’individu au dessus des nations et qui veut que je ne fais pas de distinction de races et de cultures, car pour cela, il me faudrait placer mon appartenance à une culture ou nation devant l’individu.

Si tu veux, tu peux lire mon premier article publié « la fourmi dans la fourmilière » où je montre que la qualité d’un individu dépend de l’échelle à laquelle on le regarde. Ainsi, si je me place du point de vue de la fourmilière (la nation), alors, la fourmi (la personne) perd sa qualité d’être à part entière pour celle d’une simple cellule, remplaçable et sacrifiable pour le bien de la fourmilière ou de la nation.

Sauf qu’au niveau humain il n’y a pas de différence entre un gueux et un roi en dehors de l’imaginaire, tandis qu’au niveau de la fourmilière la différence entre la fourmi et la reine est fondamentale.

Autrement dit, si la fourmi se sacrifie pour sauver la fourmilière et dont la reine est la condition d’existence, un humain ne se sacrifie jamais pour sa nation, mais uniquement pour la « petite minorité » qui en a le contrôle ; car aucun individu est irremplaçable, à commencer par un roi ou président.

Quand Zelensky ou Poutine (ou n’importe qui) disent que les soldats se battent et meurent pour leur patrie, ils se foutent de leur gueule et autant toi que tes opposants jouent alors les idiots utiles, sauf si c’est parfaitement assumé en conscience comme ce roman garev.