@Jean Keim
Vous me lisez mal ou je m’exprime mal ; peu importe, le fait est que selon mon mode de pensé, Dieu existe vraiment, mais que dans la réalité il n’est pas le maître, c’est le principe de causalité qui l’est. (notez bien que je n’écris rien sur la qualité de Dieu, je ne fais que le citer en tant que quantité)
Je peux en faire la démonstration purement logique et j’en ai donné des éléments à travers différents commentaires sous différents articles.
Mais pour répondre à votre question, un phénomène est dit surnaturel que parce qu’il défi les lois de la causalité selon le mode de pensé actuel qui définit la rationalité.
Cependant, si on change de mode de pensé ou plutôt, que celui-ci soit en phase avec l’Univers observable, donc, y compris les phénomènes surnaturels, alors, ces mêmes phénomènes doivent s’inscrire dans la compréhension fondamentale de l’Univers physique, donc, intégrer toute théorie physique qui se veut décrire les lois de l’Univers dans sa totalité.
Autrement dit, une loi qui voudrait expliquer l’Univers dans sa totalité ne peut faire l’impasse d’y inclure tous les phénomènes surnaturels observés sans tomber dans une forme de déni. C’est le défaut majeur des théories actuelles et dans laquelle seule la mécanique quantique semble pouvoir donner des réponses aux phénomènes surnaturels, mais sans pouvoir actuellement donner la théorie qui le permette.
Sauf que la causalité telle que je la connais le permet, mais son explication est quelque peut complexe, même si tout repose fondamentalement sur quelques principes élémentaires, compréhensible au niveau primaire.
Disons qu’au niveau fondamental ou comme vous dites « la source fondamentale », il n’y a pas de distinction entre la réalité et l’imaginaire, cette distinction est introduite par la causalité en posant une première relation causale fondamentale expérimenté par tout un chacun, tout être. C’est à dire, donner sens à son existence ou ne pas donner sens. Ces deux solutions sont valables d’un point de vue purement causal et la réponse choisi dépend du rapport de force avec l’autre (je ne peux pas aller plus loin, car la complexité explose, même si la logique suivie reste élémentaire). Elles sont valable autant pour un Dieu créateur que pour une humain ou une puce, seule l’échelle crée une différence de forme lié au niveau de conscience.
Un des trois principes physique matériel de la causalité qu’est la fractalisattion de l’espace-temps, pose le principe de stratification, c’est à dire, où la première couche reste active dans le présent mais prend une forme toujours plus discrète à mesure qu’on passe à la couche supérieure. Autrement dit, pour faire appel à la source, il faut être capable de la faire surgir dans le présent en « forçant » toutes les autres strates.
De fait, cela viole le processus causal sans violer le principe de causalité fondamentalement (la question de sens), car ce phénomène s’inscrit dans la réalité et ne la détruit pas ! Autrement dit, cela reste au niveau local lié à l’être, quid alors à l’échelle de Dieu !?
Pour comprendre facilement ce que j’écris là, il faut obligatoirement changer de mode de pensé !
05/10 09:07 - Panoramix
@Hervé Hum Merci de ces indications sur la causalité, cela me parait pertinent.
04/10 14:18 - Hervé Hum
@Panoramix Votre problème ici présent, c’est de faire d’une généralité un cas (...)
03/10 18:17 - Panoramix
@Hervé Hum Donc mon problème ne serait pas d’être sot, mais d’avoir l’esprit (...)
03/10 07:04 - Jean Keim
@Hervé Hum Il y a l’inconnu connaissable, mais absent de mes savoirs, qui est accessible (...)
02/10 09:13 - Lynwec
@leypanou Quand on ose analyser la période historique post URSS pour observer le (...)
02/10 09:09 - Hervé Hum
@Jean Keim Je partage la définition de la conscience comme étant le sens de l’action en (...)
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