@Jean Keim
Mon mode de pensé complète le mode actuel. Notamment avec la dualité inclusive ou la fractalisation, qui sont déjà au coeur de la science actuelle, mais pas vraiment intégré dans le mode de pensé.
Toute idéologie repose sur un mode de pensé et tout mode de pensé repose sur le principe de causalité, sans cela, il ne peut pas y avoir ni mode de pensé, ni idéologie.
Dans le mode de pensé que je suit (ce n’est pas le mien !) l’espace et le temps son intriqués tout comme deux faces d’une même pièce le sont. Autrement dit, il est impossible de donner une dimension d’espace sans le temps car c’est seulement ce dernier qui le permet. Sans temps, l’espace est un absolue sans dimension et sans l’espace, le temps est tout autant un absolue sans période. Autrement dit, séparé l’un de l’autre, le temps et l’espace sont des valeurs absolues et ne deviennent des valeurs relatives que par interaction. Pour définir un point d’espace, il faut créer une séparation entre lui et le reste de l’espace, donc, lui conférer un temps d’existence propre. Sans cela, comment vous faites pour définir un point d’espace particulier ? Ce sera alors seulement ce qu’on appelle une vue de l’esprit, donc, de l’imaginaire, donc, qui ne tient pas dans le temps.
Etc...
Pour ce que vous écrivez de Dieu, visiblement, vous ne pouvez pas intégrer ce que j’écris, c’est à dire, où Dieu ne peut s’affranchir de l’espace et du temps que dans son imaginaire, mais pas dans la réalité ^physique, là, il ne peut pas s’en affranchir sans renoncer à la réalité. Bref, Dieu est à la fois tout puissant et impuissant dans le sens où sa toute puissance consiste à renoncer à la réalité ou bien de se soumettre aux lois de la causalité. Cela vaut aussi pour l’humain ou pour n’importe quelle civilisation extraterrestre aussi évolué soit elle.
Tout cela repose sur l’invariance d’un principe quelle que soit l’échelle ou le domaine auquel on l’applique, seule la forme changeant et ce de manière radicale par changement d’échelle ou de domaine.