@Johannoriel
Bonjour,
J’ai lu votre texte et suis surpris, il est vrai que M. BARREAU n’est pas « tendre » dans ses discours ou propos concernant l’impact du mode de vie d’une portion de l’humanité sur la planète.
C’est cette portion « évoluée industriellement et technologiquement » qui pose problème en fait. Peu impactent beaucoup. Il est vrai que le message de « vie en harmonie avec la nature » parait doucereux, presque infantile, pour cette portion dont la majorité vit dans des centres urbains, loin très loin des conséquences de son mode de vie sur planète, ne s’exerçant en fait que très loin d’eux.
Cette portion en décroissance natale, s’émeut, à peur des autres qui croissent plus vite, voyant en eux un potentiel danger, pouvant porter atteinte à leur mode de vie.
« Nous sommes trop nombreux ou allons être trop nombreux ! » SI l’on ne prend en compte que l’impact environnemental individuel, la bonne question c’est : Qui eux ou nous ?
Les « impacts » de cette portion, commencent à se voir, à prendre forme, Une sorte de « peur » de l’inconnu devant ces derniers, émerge doucement, insidieusement, Elle se rassure se disant que grâce à son évolution, son intelligence, sa technologie, ses savoirs, elle résoudra le problème, empli de certitudes dû à des siècles de « progrès ».
Nous pensons aux générations futures tout en continuant de vivre comme si de rien était. Voilà ce qui se passe en réalité. Toutes les prises de consciences depuis l’avènement de grandes réunions dédiées à l’environnement n’ont jusque là, rien donné, ou si peu eu égard à ce qu’il aurait dû être fait.
Mais cela ne fait rien, la technologie nous sauvera ! Le savoir et le génie humain est sans bornes, sans limites. Peut être, mais quant nous voyons la fragilité humaine et toute sa technologie, son savoir immense devant un simple « caprice » de la nature, je doute.
Alors oui, il y a des trublions, venant contrarier la pensée globale, venant contrarier aussi une somme d’actes insignifiants « écolo-responsables » dont on se glorifie, ces trublions classés comme propagateur d’un certain « catastrophisme » gênent, à force de déclamer le même message, dont une partie se révèle vrai au fur et à mesure.
Eveillant parfois des conscience, ou alors « Mais qu’est ce qu’il vient nous faire chier celui là avec son apocalypse ».. N’est ce pas la peur qui à principalement fait « bouger » le monde ?
Aparté :
L’homme à marché sur la Lune ! C’est une des plus belle démonstration du progrès de l’inutile, qui n’a absolument rien apporté à l’humanité, eu égard aux sommes d’énergie et d’argent qui y ont été consacrées. Nul doute que beaucoup y trouverons des avantages collatéraux ayant apportés un progrès, vaste débat.