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Commentaire de Hervé Hum

sur Période historique en géopolitique : fin de partie pour l'occident !


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Hervé Hum Hervé Hum 4 octobre 2023 14:18

@Panoramix

Votre problème ici présent, c’est de faire d’une généralité un cas particulier.

Bref, soit c’est moi qui dit des conneries, soit c’est tous les autres, du moins, à ma connaissance.

Par exemple, j’ai lu le lien sur la causalité et la mq, avec ce que dit Bernard d’Espagnat que je connaissais depuis 30 ans pour avoir lu un de ses livres sur le sujet, mais dont j’ai oublié le titre. A l’époque, j’étais encore bien ancré dans le même mode de pensé.

Mais comme il le dit justement, soit il faut renoncer à a causalité, soit admettre qu’on ne sait pas tout d’elle, sauf qu’au lieu de parler de causalité élargie, je parle de causalité corrigé et complété.

 selon la causalité que je suit, chaque échelle obéit à ses propres conditions d’existences et est en relation de causalité (intrication) avec l’échelle qui lé précède. Faisant par exemple qu’au niveau subatomique, donc à l’échelle quantique, les notions de vitesses ne sont pas déterminantes, car ce sont les relations causales logiques qui sont exprimées et en logique pure, la notion de vitesse n’a pas de sens, elle prennent sens à l’échelle suivante, atomique, donc, avec la masse.

Le hic étant que nos instruments de mesures se situent à l’échelle atomique et non pas quantique. Autrement dit, les scientifiques font des extrapolations du monde quantique, mais ce dernier obéit totalement à la causalité, mais dans sa dimension purement logique. Sachant que chaque changement d’échelle lui fait prendre une forme discrète par rapport à la suivante et cette discrétion augmente d’autant qu’on change d’échelle. Là encore, ce n’est qu’une simple constatation. L’échelle antérieure reste donc toujours aussi active, mais n’est perceptible dans ses relations que si on rend discrète l’échelle ou es échelles supérieures, ce qui est évidemment plus compliqué à faire.

Si tel n’était pas le cas (la mq respectant la causalité), il serait impossible de créer un ordinateur quantique, car on ne pourrait pas obtenir de résultats respectant la causalité. Or, sans cette condition de respect de la causalité, un tel ordinateur n’aurait aucune utilité pratique.

Bon, il y a quelques autres principes à prendre en considération pour comprendre, mais fondamentalement je ne traite que de la base élémentaire.


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